Avant tout autre chose, rendons à César ce qui est à César. Mon avatar a été fait par : @badwolf
Je suis née le 23/10/1993 à New York, New Jersey (USA). Avant la Grande Panique, j'étais étudiante. On me décrit souvent comme étant lunatique - travailleuse - naïve - rigoureuse - timide - fleure bleu - curieuse - loyale - prévisible - aventurière - peu prudente - affective - logique - peu socialeJ'ai décidé de me spécialiser dans un domaine. Appelez moi à présent : Calamity Jane Entre survivants, on doit se serrer les coudes. Ainsi, je fais partie du groupe Errants Comme tout le monde, je fais partie d'une famille. Je vous les présente, un peu pèle mèle. Il y a donc: moi et moi seule, enfin j'crois Mon groupe de survivants est aussi constitué d'êtres humains. Je vous les présente : il y a donc nom - compétence principale, nom - compétence principale, nom - compétence principale, nom - compétence principale, nom - compétence principale, nom - compétence principale, nom - compétence principale,
Comment avez vous réagi, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? Comme le reste de la population à vrai dire. Après tout, il y avait déjà eu tant de film sur des revenants, et ceux depuis de nombreuses années. Comment ne pas croire qu'il s'agissait d'une pub grandeur nature pour le dernier film ou jeux vidéo sortis et qui ferait un malheur chez les jeunes ? Cela n'aurait pas été étonnant, après tout si il fallait toujours plus innover c'était certain que ça allait un jour arriver, alors en terme de réaction je résumerai ça comme de la non réaction. Alors certes, quand les rumeurs ont commencés à se propager au seins des couloirs il y avait de quoi douter. Après tout, elle appartenait à une élite sociale, éduquée, pourquoi se serait elle mis à croire à de telles sottises ?
Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? Les rumeurs s'étaient fait croissantes, la blague n'en devenait plus drôle, il fallait savoir s'arrêter à un moment, mais quand cela allait il arriver ? Alors au bout d'un moment on commence à douter de sois-même, de ses convictions, de la logique, de la raison, et face à la paranoïa générale, on se dit qu'il faudrait peut être se préparer, au cas ou... Un sac de randonnée, des chaussures de marches, des vêtements pour la pluie, quelques provisions, de quoi survivre quelques jours, quelques semaines tout au plus. Prendre la route aurait été suicidaire, de toutes évidences je n'aurai sûrement pas été la première à vouloir prendre le large, alors à quoi bon prendre un risque inutile ? Non, ce qu'il fallait faire c'était avancer en marge des grands axes, des grandes villes. Au fur et à mesure que les craintes se confirmaient, j'établissait un véritable plan de secours personnel. C'est à coup sur la raison qui m'a maintenue en vie, m'imposant des quotas de milles à parcourir, un rationnement on ne peut plus stricte. Mais aussi les connaissances que j'emmagasinais dans les quelques livres qui traitaient des ressources locales et des quelques méthodes de survies pour les touristes égarés.
Comment êtes vous arrivé à Trois-Rivières et ses environs ? Quel est votre plan de survie pour passer l'hiver ? C'est à la force de mes jambes que j'ai rallié la frontière canadienne à , pas seulement à pied, mais aussi en vélo. Quand je le pouvais j'empruntais un véhicule qui avait un peu d'essence pour gagner du terrain, bien que ce dernier avait souvent du mal à tenir la route imposée car trop peu entretenue.. En ne m'approchant pas des grands foyers de populations et en évitant au maximum les chemins naturels que fournissait la nature et qui seraient à coup sur empruntés par les "autres", je m'évitais de fâcheuses rencontres. Cependant, on pourrait se demander, pourquoi le nord ? Je n'étais pas une experte en médecine, mais de ce que je savais, les maladies avaient tendance à pulluler dans les régions humides et chaudes, mais je n'avais jamais entendu parler d'épidémie virale qui se propagerait dans les pays au climat froid, et il y avait certainement une raison à cela, quelle qu'elle soit. Je me suis arrêtée à Trois Rivières par nécessité plus qu'autre chose, en effet, le froid avait aussi son effet sur mon organisme, il était donc judicieux d'attendre que l'hiver passe avant de reprendre la route. Je profiterai de cette pause pour refaire le plein de provisions, pour trouver des armes, des munitions, des vêtements chauds, tout ce qui peut être utile.
Les vacances d'été commencent à peine. Déjà je suis envoyée chez mes grands parents. Pourquoi est-ce que je ne peux pas passer quelques jours de repos avec mes géniteurs ? Suis-je à ce point un poids pour eux ? Suis-je si peu désirable et si énervante au quotidien qu'il en devient nécessaire de se débarrasser de moi à la première occasion ? Que dois-je faire pour attirer un tant soit peu d'attention sur moi ? Que mes géniteurs s'occupent de moi comme de leur enfant ? Certes mes grands parents sont des modèles dans leur genre. Mais comment combler l'absence de la douceur maternel et de l'autorité paternel ? Je nage dans un vide émotionnel, je suis seule dans le désert, le New Jersey me manque, ici il n'y a rien à faire. Et même si mes parents ne m'emmènent pas pratiquer des activités, au moins je les vois. Même si ils ne montrent pas un amour inconditionnel et qu'ils passent une éternité sur leurs affaires importantes, je ne peux m'empêcher de leur vouer un certain culte, mélange étrange d'amour génétique et de respect naturel.
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Mes grands parents n'étaient pas insensible à ma douleur, mais comment des personnes qui possèdent près de soixante ans d'écart pourraient elles communiquer de centres d'intérêts communs ? Ma grand mère avait vécu dans cette époque où les femmes avaient besoin de leur marie pour accomplir la moindre action, où elles devaient s'occuper des enfants, mais aussi de l'entretient de la maison. Un monde nous séparait ce qui provoquait souvent le désaccord des deux partis. Mon grand père quant à lui, entreprit une autre démarche, plutôt que de m'affronter frontalement, il tenta de m'amener sur ses centres d'intérêts pour m'en faire découvrir de nouveaux. Un jour de beau temps, alors que le soleil était haut dans le ciel, et que le vent se faisait discret face à l'astre du jour. Il m'emmena en forêt. Le climat du Minnesota n'était pas ce qu'il y avait de plus stable, mais en cette saison, on pouvait espérer ne pas voir s’abattre des trombes d'eau sur notre dos. Mon grand père avançait à pas de loup, s'appliquant le plus possible à ne pas casser de branches mortes ou à faire crisser les feuilles sèches. Je tentais de l'imiter, ignorant totalement notre destination. Le vieil homme n'avait pas daigné ouvrir la bouche, ne serait-ce que pour répondre à mes questions, lorsque mes yeux s'étaient posés sur le fusil de chasse, j'avais rapidement compris l'objectif. Mon esprit était partagé entre le désir d'en savoir plus, et la souffrance que risquait de causer cette soif de savoir. Dans une détonation tonitruante, que je ne parvins pas à couvrir en appliquant mes mains sur mes oreilles, la mort frappa de façon implacable et miséricordieuse le lapin qui n'eut pas le temps de réagir. Ainsi donc c'était là le sacrifice que devait accomplir chaque prédateur sur terre, ôter la vie pour entretenir la sienne. Il ne s'agissait pas d'une leçon comme quoi l'Homme se trouvait au sommet de la chaîne alimentaire. Mais sur le fait que chaque tir devait être jugé, avec cette question récurrente « Est-ce réellement nécessaire ? ». Nous ne partîmes plus jamais chasser, tout simplement puisque nous n'en avions pas la nécessitée. Cependant, il s'attarda à m'expliquer les rouages et les mécanismes qui composaient son fusil, mais aussi son maniement. Même si ce n'était pas le genre de chose qu'on apprenait à une enfant, il semblait se ravir de pouvoir enseigner cela à quelqu'un, comme si j'étais le fils qu'il aurait aimé avoir.
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« C'est une chose étrange à la fin que le monde Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit Ces moments de bonheur ces midis d'incendie La nuit immense et noire aux déchirures blondes.
Rien n'est si précieux peut-être qu'on le croit D'autres viennent. Ils ont le cœur que j'ai moi-même Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime Et rêver dans le soir où s'éteignent des voix.
II y aura toujours un couple frémissant Pour qui ce matin-là sera l'aube première II y aura toujours l'eau le vent la lumière Rien ne passe après tout si ce n'est le passant.
C'est une chose au fond, que je ne puis comprendre Cette peur de mourir que les gens ont en eux Comme si ce n'était pas assez merveilleux Que le ciel un moment nous ait paru si tendre.
Malgré tout je vous dis que cette vie fut telle Qu'à qui voudra m'entendre à qui je parle ici N'ayant plus sur la lèvre un seul mot que merci Je dirai malgré tout que cette vie fut belle. »
Tandis que je refermais la feuille de papier sur laquelle était inscrit l'extrait d'un poème d'Aragon, j'observais l'assemblée qui se tenait face à moi. Tout de noir vêtu, la plus part en deuil, avec une lueur d'espoir que venait éteindre ma résignation, je cherchais mes parents dans l'assemblée. Aucun des deux n'était venu. Sans doute avaient ils été trop occupés pour apprendre le décès. Même si ma raison et ma logique semblaient s'accorder avec eux, une pointe d'émotion leur en voulait de ne pas avoir assisté aux hommages rendus au dernier de ses grands parents. Mais déjà je ne pouvais plus me soucier de ces problèmes, j'étais seule, ce n'était pas une chose qui était arrivée brutalement, j'avais eu tout le temps de voir dépérir mes aïeuls. Cependant, même lorsqu'on est préparé, la vérité nous met toujours une claque monumentale. Ma logique voulait que je reparte de l'avant, que je ne me soucie plus de ceux qui n'étaient plus là, ils étaient mort, c'était un fait, mais ce n'était certainement pas en s'attardant sur leurs souvenirs qu'ils allaient revenir. Aujourd'hui, je devais penser à moi avant tout.
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Je n'ai jamais été quelqu'un de particulièrement ouverte aux autre, mais le contexte de l'université m'a fait légèrement changer. Il n'y avait là que des personnes de mon âge désireuses de découvrir la vie, d'en profiter. Nul compétition pour savoir qui serait la peste la plus détestable, la mieux habillée, la plus désirée de la gente masculine. En parlant du sexe opposé en question, je n'ai jamais développé l'intérêt particulier et le désir des garçon de mon âge, invisible, trop renfermée, froide, je posais bien trop de difficultés alors que d'autre s'offraient volontiers à leur volonté. Une évolution est à souligner durant cette période. Peu habituée aux effets de l'alcool il ne suffisait pas de grand chose pour que je me retrouve dans les bras de quelqu'un à repousser ses avances en rigolant à gorge déployée. Ces moments de plaisir vécu au présent étaient comparable à une compresse appliquée sur la plaie que représentait la perte des deux seules êtres cher que j'eu jamais eu. Même si je tentais de m'en convaincre, je restais particulièrement atteinte par leur perte.
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Mes études continuaient, une monotonie dans laquelle les quelques soirées étudiantes venaient pimenter un peu cette recette bien morne de la vie. Certains de mes amis passaient leur vie dehors, à sortir, à profiter de la vie, n'avaient ils aucun projet d'avenir ? Ne voyaient ils pas plus loin que le bout de leur nez ? A moins qu'ils ne désiraient passer leur vie à payer des études onéreuses, je trouvais leur comportement des plus stupides. Je me trouve en troisième année, après une de ratée, c'était sans doute l'électrochoc qui me fit réagir, je ne pouvais me laisser aller. Certes il était nécessaire de s’abandonner à quelques moments de bonheur fugaces, mais il fallait apprendre à les rationner. Ma vie était un subtile dosage, une formule qui ne pouvait être atteinte que par l'application exacte de consignes strictes que je me dictais. Chaque semaines commençait par un long footing, l'activité physique était nécessaire pour maintenir un certain équilibre mental, l'endorphine dégagée permettait de s'attaquer à son travail dans de meilleurs conditions. Profitant de cette pause quotidienne, je restait en contact avec le monde, les informations retranscrites à la radio me suffisant amplement. Mais depuis quelques temps, l'une d'entre elle se répétait en boucle, sur un nombre croissant de stations. Quand donc cette stupide blague promotionnelle allait donc se terminer ?
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Cela fait maintenant plusieurs semaines que les rumeurs se répètent, et tout le monde commence à y croire. Et si c'était vrai ? Si il y avait vraiment une maladie incurable qui dévastait tout sur son passage ? Bien sur, le fait que l'histoire passe de bouche à oreille l'avait déformée, mais il ne pouvait y avoir que du faux. L'université se désertait petit à petit, chacun rentrait chez lui, s'assurer que ses proches allait bien, de leurs intentions. Je n'avais personne à rejoindre, nul ne m'attendait. Alors autant se préparer avec ce qui était en ma possession. Il fallait pouvoir se déplacer rapidement, tout en ayant de quoi survivre. En une journée, j'avais réussis à amasser suffisamment d'équipement pour pouvoir tout quitter du jour au lendemain et survivre. Du moins c'est ce que j'espérai. Le Nord serait sûrement la meilleur destination. Il faudrait suivre les grands lacs, peut être les traverser, remonter vers Montréal en suivant le fleuve, et surtout éviter les grands axes.
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La Grande Panique fut sans doute l'expérience la plus terrible que j'eu à connaître. Bien que j'avais prévu tout un plan avec une certaine précision, je me voyais complètement dépassée par l'ampleur des événements, des hordes paniquées couraient, pleuraient et criaient. Des vitres étaient brisés, des bruits d'accidents, partout, partout. Un brouhaha assourdissant qui oppressait. J'étais partagée entre l'idée d'attendre que les choses se calment et de partir sur le champ au risque de me retrouver au milieu de toute la populace et à la portée du moindre danger. Contrariée dans mes choix, je décidais tout de même de m'en tenir à mon plan, tachant de longer les grands axes, me nourrissant de ce que je trouvais sur ma route pour éviter d'utiliser mes prévisions. La traversée de la frontière fut compliquée, elle n'était pas la première et les autorités compétentes n'étaient pas désireuses d'héberger la population des Etats Unis. C'était logique en soit, mais je me devais de déroger à cette règle. Attendant la pénombre, je me glissais entre les mailles du filet. Mes ressources n'étant pas illimitées et dans la mesure où j'étais incapable de m'installer dans cette région, il me fallait donc procéder à un ravitaillement régulier. Pour arriver jusqu'à ma destination finale sans me perdre pour autant, le plus simple était encore de longer les cours d'eau, dont les Grands Lacs américains, jusqu'à la côté. Peut être que s'établir sur un bateau une fois l'Océan Atlantique atteint serait une solution. Après avoir dépassé les lacs, je décidais de m'arrêter dans une ville. L'hiver se faisait sentir, et continuer sans être correctement installée serait dangereux.
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Salut moi c'est Lanesra J'ai 19 ans et je suis passionnée de plein plein plein de choses Voici mon avis sur le forum : Moi j'aime bien, je m'essaye au rp apocalyptique pour une fois, je pense avoir pas mal de mal (berk) à retenir toutes les règles/dés etc u_u Je finirais par vous donner le code du règlement :
Dernière édition par Maud Heynckes le Lun 29 Fév - 12:27, édité 9 fois
Invité
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Sujet: Re: Maud Heynckes Mer 24 Fév - 22:31
Bienvenue parmi nous, Maud ^^ Et bon courage pour ta fiche !
La vie est dure, et pourtant, tout le monde s'y accroche.
Messages : 3965 Membre du mois : 43 J'ai : 37 ans Je suis incarné(e) par : Rachel McAdams Crédit(s) : Shereen (avatar) + Amaaranth ♫♪ (code signature) Je suis un(e) : Docteur Queen Femme médecin
Sujet: Re: Maud Heynckes Mer 24 Fév - 22:46
Merci (:
Invité
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Sujet: Re: Maud Heynckes Mer 24 Fév - 23:25
bienvenue parmi nous ! n'hésites pas en cas de question !
Messages : 2199 Membre du mois : 1 J'ai : 19 ans Je suis incarné(e) par : Emma Watson Crédit(s) : Avatar (c) ?? || Signature (c) quiet rot/tumblr/Kanala Je suis un(e) : Docteur queen femme médecin Vos Liens :
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Philippe, mon père, tout ce qu'il me reste.
Juliette, l'ex compagne de mon père que je n'arrive pas à détester.
Gabriel, celui que je pensais être mon frère (c)tumblr pour tous les gifs
Messages : 2806 Membre du mois : 0 J'ai : 25 ans Je suis incarné(e) par : Holland Roden Crédit(s) : Shereen Je suis un(e) : Calamity Jane Vos Liens : Mes hauts faits :
Sujet: Re: Maud Heynckes Jeu 25 Fév - 21:23
Merci à tous ! (: je risque de mettre un peu plus d'une semaine à terminer ma fiche j'espère que ça ne pause pas trop de problèmes :/
Messages : 8670 Membre du mois : 11 J'ai : 38 ans Je suis incarné(e) par : Christian Bale Crédit(s) : Kanala Je suis un(e) : Lucky Luke Vos Liens :
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Ma fille, pour qui j'endurerais tout.
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Sujet: Re: Maud Heynckes Dim 28 Fév - 9:40
Me voilàààààààààà
Je n'ai rien à dire sur le fond de ta fiche, l'histoire est claire, assez bien documentée, on comprend tout ! Toutefois il y a quelques fautes de forme; des accords mis au pluriel alors que le déterminant est au singulier ou l'inverse, quelques inversions de mots, je te demanderais une bonne relecture sous word ou bonpatron pour faire disparaître au maximum ces petites coquilles!
Et le code du règlement est trouvé mais tu ne l'as pas remis à l'endroit xD
Messages : 8670 Membre du mois : 11 J'ai : 38 ans Je suis incarné(e) par : Christian Bale Crédit(s) : Kanala Je suis un(e) : Lucky Luke Vos Liens :
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Sujet: Re: Maud Heynckes Dim 28 Fév - 20:53
Ah damnit les fautes ! Que vos rétines me pardonnent ! Je corrige ça demain !
Oui le code m'a fait rire et du coup je l'ai à l'envers x)
[EDIT : Corrigé !]
Invité
Invité
Sujet: Re: Maud Heynckes Lun 29 Fév - 9:58
Félicitations Maud
● Points de vie total : 20
● Niveau de compétence Fouille : 0/5
● Niveau de compétence Défense physique : 0/5
● Niveau de compétence Tir avec Arme à feu : 1/5
● Niveau de compétence soin : 0/5
● Niveau de compétence Arme Blanche : 0/0
● Niveau de compétence Esquive : 0/5
Te voilà validé sur FOM. Je me présente, je m’appelle pas Henri, je voudrais quand même bien réussir ma vie mais surtout… Être détesté ! Vous allez le comprendre, je suis impitoyable mouhahahahahahahaha *ou pas* Arhem, donc dans mon immense bonté, j’ai décidé d’être votre guideenfin c’est que, surtout, j’ai pas eu trop le choix ! On m’a forcé ! Si si je vous jure. Tous les liens ci-dessous sont à visiter Obligatoirement (oui avec un O majuscule en plein milieu de phrase ! C’est vraiment super important de le faire afin de pouvoir bénéficier de toutes les dimensions proposées par et sur le forum. On compte sur vous !Yes YOU CAN ! !