20/12/1985 ▪▪ Naissance à Portland, Maine Juin 1998 ▪▪ Placement en foyer Avril 2001 ▪▪ Première arrestation pour vol à l'étalage Mars 2005 ▪▪ Arrestation pour possession et vente de drogue Septembre 2006 ▪▪ Libération et début d'une nouvelle vie. Février 2013▪▪ Approchée par l'agent Mason Price de la D.E.A. Devient son indic' Décembre 2013 ▪▪ Condamnation pour homicide volontaire Juillet 2015 ▪▪ Désertion du personnel de la Cumberland County Jail; une surveillante libère les détenues malgré les ordres reçus. Début du périple direction Trois rivières Mars 2016 ▪▪ Rencontre avec un survivant, et adhésion à un nouveau groupe.
Famille et statut ▪▪ Sawyer n'a plus aucun contact avec sa mère depuis qu'elle est majeure, donc elle ignore ce qu'elle est devenue. Elle se considère donc comme étant seule
N°1 ▪▪ Comment avez vous réagi, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ?
J'étais en prison quand tout a commencé. On ne savait ce qu'il se passait qu'à travers ce qu'en disaient les journalistes, ou en écoutant les conversations des matons. Au départ, je n'y ai pas fait plus attention que ça. Après tout, j'étais trop préoccupée par le joyeux bordel qu'il y avait dans ma vie. J'avais été condamné pour homicide volontaire, je purgeais ma peine depuis un petit moment déjà. J'arrêtais pas de penser à la merde qu'allait être ma vie, au fait que la seule personne qui se préoccupait de mon sort à l'extérieur n'était nul autre que mon agent référent à la D.E.A, qui était loin de me laisser indifférente, même si cette idée ne me plaisait guère... Alors au départ j'ai pas plus percuté que ça... Et puis progressivement cette histoire d'épidémie a été au cœur de toutes les conversations, alors j'ai commencé à m'y intéresser réellement. Autant dire que le fait d'être enfermée alors qu'un mal inconnu commençait à tout ronger ne rassuraient pas les taulardes qu'on était. Qui allait se préoccuper de notre sort quand les choses dégénèreraient??
N°2 ▪▪ Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet 2015, et comment y avez vous survécu ?
J'ai été condamné en décembre 2013, et j'étais enfermée à Portland, alors je ne peux pas dire que j'ai vécu ça de près, et c'était dans mon malheur pas plus mal! Je peux ainsi dire que j'étais alors relativement à l'abri de l'apocalypse!
J'assistais au début de la fin en spectatrice, suivant l'évolution funeste de la situation grâce aux reportages télé. Je dois bien avouer que je me sentais quelque peu... impuissante. Regarder était la seule chose qu'on pouvait faire en taule. Mes co détenues s'inquiétaient pour leurs proches, moi je me moquais bien de savoir ce qu'était devenue ma mère, cette femme qui n'avait jamais été là pour elle, qui avait démissionné de son rôle dès mon plus jeune âge. Mason était ma seule source d'inquiétude désormais, car il était finalement le seul à s'être donné du mal pour moi.
N°3 ▪▪ Comment êtes vous arrivé à Trois-Rivières et ses environs ? Quel est votre plan de survie pour passer l'hiver ?
Comment j'y suis arrivée, ça je dois dire que ça relève à la fois du hasard...et de la chance. Quand je me suis retrouvée dehors, on était un petit groupe de détenues à avoir décidé de rester ensemble pour se diriger vers le nord, comme cela nous avait été conseillé. On s'est contentée d'avancer et tâcher de rester en vie, même si le second objectif a été bien difficile à tenir, et que beaucoup n'y sont finalement par parvenues...
Je n'ai jamais vraiment eu de plan dans ma vie, ayant toujours agi sur le moment, suivant mon instinct, ou plutôt mon impulsivité. Je suis récemment tombée sur un groupe de survivants auquel je me suis ralliée, sachant pertinemment que les chances de survie sont plus élevées quand on n'est pas seul. La recherche de vivres, le fait de pouvoir dormir sur ses deux oreilles, tout ça a de l'importance aujourd'hui. Et puis, après avoir fait deux séjours en prison, la vie en communauté, ça me connaît!
N°4 ▪▪ Avez-vous déjà tué d'autres humains? Pourquoi?
Les zombies étaient humains avant, est-ce que ça compte?? Parce que ça on est bien obligé de le faire, et parfois c'est un défouloir non négligeable permettant d'évacuer certaines tensions!
J'ai tué un homme, c'est d'ailleurs ce qui m'a conduit en prison fin 2013. Il s'appelait Andy, et c'était avec lui que j'avais eu mes premiers démêlés qui m'avaient fait faire un premier séjour en taule en 2005. Et dire que je suis sortie avec ce sale type.. Il a tué ma meilleure amie, ma confidente, mon pilier, quand il a découvert que j'étais l'indic' de la D.E.A. Il voulait me le faire payer au prix fort. Et puis il s'en est pris à moi, à cette fille qu'il avait jadis aimé et qui l'avait trahi; mais, malheureusement pour lui, c'est moi qui ai eu le dernier mot
Entre vous et nous.
▪▪ SweetPea ▪▪ 30ans ▪▪ Présence sur une échelle de 1 à 20: disons 15 ▪▪ Comment avez-vous connu le forum? Sur un top site ▪▪ Qu'est-ce qui vous a poussé à vous inscrire? Le contexte, le fait que le forum semble plus approfondir, plus mature, que ce que j'ai pu voir jusqu'alors ▪▪ Qu'est-ce qui vous a rebuté? Peut-être un peu la quantité d'infos à savoir....▪▪ Quelque chose à ajouter? Non c'est tout pour le moment! ▪▪
Dernière édition par Sawyer Lane le Mer 19 Oct - 17:23, édité 4 fois
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Sujet: Re: Sawyer Lane (Terminé) Dim 16 Oct - 17:14
Règle 32 : Savourer les petites choses.
Chapitre 1 : « Quand j’étais petit, j’étais un Jedi »
Je m’appelle Sawyer, Sawyer Lane. Je suis née il y a un peu plus de 30ans de ça à Portland, ville maritime la plus grande du Maine. Ma mère avait 20ans quand je suis née ; il s’avère que Maria s’était entichée d’un marin de 15ans son aîné, Dylan. Dylan était un homme bon et travailleur, un grand passionné par son métier de marin, qui était exercé de père en fils. Il était tombé sous le charme de cette jeune femme à l’esprit torturé, élevée par un père alcoolique, et abandonnée par une mère qui a préféré fuir le domicile familial alors qu’elle avait à peine 5ans. Tableau pathétique me diriez-vous, et vous auriez franchement bien raison. Mon père n’était ainsi pas souvent là, et j’ai grandi avec une mère trop jeune pour assumer ses responsabilités. Trop instable pour garder un boulot bien longtemps, elle passait ses journées à traîner, à dépenser le peu d’argent que nous avions en vêtements, en cigarettes, et en alcools. Je n’ai jamais vraiment eu l’impression d’avoir une mère ; elle me laissait seule, et la petite fille que j’étais ne pouvait que penser qu’elle n’en avait rien à faire de moi, que je n’étais pour elle qu’un poids qu’on devait nourrir, soigner, habiller.
J’apprenais ainsi très tôt à me gérer seule, passant mon temps libre à rêver que j’étais en mer avec mon père, ou que je partais très loin d’ici pour vivre une vie meilleure. Comme vous l’aurez compris, mon enfance ne fut pas des plus heureuse, aussi j’arrêterai là le mélodrame, pour vous épargner un récit à la « Misérables ». Disons simplement que je vivais comme je pouvais, tenant le coup en pensant au moment où mon père, aimant et présent, rentrerait au port, me raccrochant au doux rêve qu’un jour on partirait loin lui et moi.
Chapitre 2 : « I’m on the highway to hell »
Quand j’avais 10ans, mon père a soudain cessé de partir en mer. Cette nouvelle a fait de moi, du moins au départ, la plus heureuse du monde. Mais ce n’était pas par choix qu’il était resté. Fumeur depuis ses 14ans, la cigarette avait eu raison de lui, et on lui avait diagnostiqué un cancer des poumons, qu’il avait fait traîner suffisamment longtemps pour en être à un stade assez avancé, ne laissant aucun espoir. Il est mort l’année de mes 12ans, me laissant seule avec elle… Maria était une belle femme, aussi elle ne mit pas longtemps avant de se trouver un autre homme, un avocat qui avait 20ans de plus qu’elle. Que voulez-vous, elle n’en avait qu’après les hommes plus âgés ! Un bon psy dirait certainement qu’elle avait quelque chose à régler avec son père…
Toujours est-il que son nouveau pigeon, divorcé et père de grands enfants, ne voulait pas se traîner une gamine dans les pattes alors qu’il batifolait avec une jeunette. Les rapports entre ma mère et moi devinrent ainsi de plus en plus tendus, violents même, et c’est ainsi que je me retrouvais en foyer à peine 1ans après la mort de mon père. Je devenais une ado « sauvage », impulsive, en manque total de repères. A 16ans je me faisais choper pour vol à l’étalage… Je fréquentais des jeunes aussi pommés que moi, et à ma majorité je décidais de quitter le foyer, ayant trouvé un boulot de nuit dans une usine de conserves de poissons. Ce fut cette année là que je rencontrais Andy, un petit dealer de 3ans mon aîné, auquel je finis par m’attacher. Je ne pouvais pas dire que j’étais amoureuse de lui, mais lui était amoureux de moi. Il nourrissait tout un tas d’attentions à mon égard, et c’était tout ce dont la petite fille qui sommeillait encore en moi avait jamais eu besoin.
Je fis mon premier séjour en prison à peine 2 ans plus tard ; Andy m’avait « associé » à ses petits trafics, travaillant lui-même pour une organisation bien plus vaste et complexe que ce que je soupçonnais à l’époque. Inculpée pour possession et vente de drogues, j’écopais de deux ans, dont 18 mois fermes. Ce fut au cours de ce petit séjour que je réalisais l’engrenage dans lequel je m’étais fourrée, et que je prenais conscience de mon envie « de mieux ». Outre cette prise de conscience, la prison m’a aussi permis d’apprendre à me défendre, et j’en ressortais quelque peu différente.
Chapitre 3 : « What doesn’t kill you makes you stronger »
A ma sortie, mon agent de probation m’expliqua sans prendre de gants que trouver un boulot pour une ancienne taularde était chose difficile. Je passais donc les semaines qui suivirent à « vivoter » comme je pouvais, travaillant un peu au black, jusqu’à ce que ma route croise celle de Miranda. Âgée d’une petite quarantaine d’années, elle a su déceler en moi la jeune femme avide de rédemption et d’un nouveau départ, et elle m’a donné ma chance, m’offrant un boulot dans sa boutique de fleurs, et une chambre dans sa maison familiale. Miranda devint mon repère, mon pilier, m’éloignant du milieu glauque dans lequel j’avais jusqu’alors vécu.
Mais il est bien connu qu’après le calme vient la tempête… En janvier 2013, Andy, qui lui aussi s’était fait choper et avait été condamné à une peine plus lourde que la mienne, fut libéré. Contrairement à moi, il était bien décidé à continuer à faire tourner le business du cartel auquel il était rattaché. Et malheureusement pour moi, il comptait bien sur ma « coopération », allant jusqu’à menacer Miranda si je refusais de m’y remettre. Je n’eus donc pas le choix…
Chapitre 4 : « Let the sky fall… » Je replongeais ainsi dans la merde dont je pensais m’être enfin sortie, et ce fut à peine plus tard que je tombais sur l’agent Mason Price, un agent de la D.E.A, qui fit de moi son indic’, en échange d’un accord qui me mettrait à l’abri d’une nouvelle condamnation si je coopérais pleinement. Avec le temps, une certaine confiance et une complicité s’installèrent entre nous. Price était un homme d’apparence froide, quelqu’un de droit dans ses bottes, mais malgré cela il veillait sur moi, il me protégeait à sa façon.
Entre nous c’était fluide, on pouvait se comprendre sans même se parler. On était sur la même longueur d’onde, et c’était évident qu’il y avait une…alchimie qui opérait entre nous. Mais l’agent Price était professionnel, et moi j’étais concentrée sur mon rôle « d’infiltration », surtout qu’une rumeur sur la présence d’un indic’ s’était répandue, ce qui nous inquiétait tous les deux. Une info avait fuité, et c’était pas bon signe pour la suite. La D.E.A avait décidé d’intervenir, mais pas assez tôt malheureusement. Andy m’avait collé aux basques, et avait compris que c’était moi. Un soir, en rentrant chez moi, je découvris le cadavre de Miranda, de cette amie, ce pilier, qui m’avait offert une seconde chance. J’étais dévastée, en colère, mais je n’eus pas le temps de faire quoi que ce soit, Andy étant toujours là, attendant mon retour pour s’occuper de moi…
Après m’être battue du mieux que je le pouvais, j’étais parvenue à le désarmer et, alors que j’aurais pu appeler Price pour le faire coffrer, je décidais de faire moi-même justice à Miranda et, portée par ma rage, je vidais mon chargeur sur celui qui avait autrefois été mon petit ami.
J’avais tout perdu, et j’avais complètement merdé…. Mason avait essayé d’intervenir en ma faveur, mais la condamnation était inévitable. Je retournais dans cette prison que je connaissais déjà pour y purger ma peine, résignée et complètement abattue. J’avais perdu Miranda, et j’avais instauré une distance avec Mason, souhaitant qu’à présent il puisse mener sa vie et être heureux, ce que je ne pouvais pas lui offrir. Mais ce dernier restait malgré tout présent, passant me voir toutes les semaines une fois que ma peine fut prononcée. J’avais beau me montrer froide avec lui, il revenait tout de même et, me connaissant, ça forçait l’admiration ! Je réalisais qu’il tenait probablement autant à moi que moi je tenais à lui, mais, avec la peine qui était la mienne, c’était peine perdue, et il méritait mieux, j’en étais convaincue.
Chapitre 5 : « Till the word ends » Janvier 2015: Cela faisait 13 mois que je me la jouais à la « Orange is the new black ». Je n’avais aucune perspective d’avenir, j’étais restée au moins 3 mois à déprimer dans mon coin, mais au moins dans mon malheur je m’étais fait une amie : Kerry, ma codétenue, une femme battue qui avait fini par tuer son mari. On entendit parler des premiers cas d’épidémie à la télé et à travers ce que nous en disait Jenna, une matone avec laquelle on avait fini par « sympathiser ». Au départ on n’y a pas plus prêté attention que cela ; après tout, on avait chacune suffisamment de bazar comme ça dans nos vies respectives sans s’en rajouter davantage. Et puis les autorités disaient que les foyers épidémiques étaient maîtrisés alors…
Ce n’est que 6mois plus tard qu’on commença vraiment à s’en faire…Les médias appelèrent ça « la grande panique » : les cas se multipliaient, échappant à toute tentative de contrôle. On voyait bien à travers les divers reportages que c’était vraiment le chaos le plus complet. Ça commençait aussi à sentir le roussi par chez nous, et progressivement la prison se vida de son personnel. Jenna nous confia qu’on leur avait donné l’ordre de nous laisser pourrir sur place ; il fallait croire que des personnes comme nous ne méritaient pas de tenter leur chance face à cette pagaille… Cette dernière décidait néanmoins de nous accorder un sursis et, quand elle fut la seule à être encore sur place, elle ouvrit les portes du quartier pour femmes, nous offrant ainsi notre chance.
Avant que les communications ne soient coupées, je parvins en sortant à joindre Mason ; ce dernier était parti essayer de mettre ses parents, sa sœur et son neveu, qui habitaient vers la frontière canadienne, à l’abri. Il me dit d’aller vers le nord, qu’on se rejoindrait dans un endroit appelé « Trois rivières ». La communication coupa alors qu’il essayait de me dire autre chose, que je ne saisis pas.. Commença alors un long périple, semé d’embuches et de pièges mortels. Car bon nombre de ceux qui auparavant étaient comme nous s’étaient transformés en monstres dévoreurs de chaires. Le petit groupe s’était séparé, chacun cherchant à rejoindre les siens. Nous étions cependant une petite demi douzaine à être restées ensemble, petit groupe de femmes perdues et solitaires, décidées à se battre côte à côte.
Le temps passa, et nos conditions de vie, de survie, devinrent de plus en plus difficiles. Ceux qui avaient survécu avaient pillé tous les magasins qu’on pouvait croiser sur notre route. Aussi, au fur et à mesure qu’on avançait et qu’on rentrait dans un hiver s’annonçant rigoureux, seuls notre volonté et nos espoirs nous permettaient de tenir le coup. A ce qui devait correspondre à la fin de l’année, nous avions déjà perdu 2 membres de notre groupe, tuées par ceux qu’on appelait les « zacks ». On avait trouvé refuge dans une vieille grange abandonnée, mais c’était sans compter sur ce bon vieux karma qui était bien décidé à ne pas nous laisser trop de répit.
Une nouvelle attaque survint en pleine nuit. 2 autres membres du groupe furent tuées, et on parvint à s’enfuir, Kerry et moi. Mais cette dernière avait été mordu… Lorsque la fièvre la fit tomber dans le coma, et, à sa demande, je plantais le couteau de chasse que j’avais piqué dans un magasin spécialisé dans son oreille, mettant un terme définitif à sa vie, et me retrouvant désormais seule au monde…
Chapitre 6 : To be continued
Survivre seule relevait du suicide. En dehors de la difficulté à trouver de l’eau, de la nourriture, et un abri sûr, dormir relevait de l’impossible, les zacks pouvant se trouver n’importe où, et attaquer n’importe quand. J’avais l’impression de n’être plus que l’ombre de moi-même, ne tenant que grâce à l’espoir de retrouver Mason, celui qui m’avait aidé, qui était resté à mes cotés, celui qui malgré mes réticences ne m'a jamais laissée indifférente.
Je ne sais pas combien de temps passa ainsi, mais un jour je tombais sur quelqu’un appartenant à un groupe de survivants, et qui me mena jusqu’à eux. Un nouveau jour se levait, un nouvel espoir aussi. Je ne suis dans ce groupe que depuis quelques jours, mais j’espère sincèrement que je vivrais assez longtemps pour retrouver celui que j’attends depuis trop longtemps...
Règle 5 : Pas d’attachement
INDICATIONS A EFFACER : Si vous n'avez pas de lien, ne modifiez rien dans la partie ci-dessous. Nous l'effacerons nous même. Au contraire, si vous avez plus de quatre liens, signalez le à la suite de votre fiche combien de champs il vous manque et nous vous les rajouterons.
Pseudo du lien
On réécrit ici le lien. PAS de copier-coller. C'est à vous d'utiliser VOS propres mots pour nous décrire le lien qu'à votre personnage avec cette personne là. Vous n'êtes pas limité en terme de taille ici, cependant essayez quand même d'être concis.
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Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
Sujet: Re: Sawyer Lane (Terminé) Dim 16 Oct - 18:29
Oh, sweetpea, ça me dit quelque chose comme pseudo !
Bienvenue sur le forum et n'hésites pas à me mpotter si tu as des questions :p
Messages : 2806 Membre du mois : 0 J'ai : 25 ans Je suis incarné(e) par : Holland Roden Crédit(s) : Shereen Je suis un(e) : Calamity Jane Vos Liens : Mes hauts faits :
Sujet: Re: Sawyer Lane (Terminé) Dim 16 Oct - 19:53
Hannn !! Comment je valide ce choix d'avatar (ça me donne envie de jouer Sullivan XD).
Messages : 2199 Membre du mois : 1 J'ai : 19 ans Je suis incarné(e) par : Emma Watson Crédit(s) : Avatar (c) ?? || Signature (c) quiet rot/tumblr/Kanala Je suis un(e) : Docteur queen femme médecin Vos Liens :
Spoiler:
Philippe, mon père, tout ce qu'il me reste.
Juliette, l'ex compagne de mon père que je n'arrive pas à détester.
Gabriel, celui que je pensais être mon frère (c)tumblr pour tous les gifs
Mes hauts faits :
Sujet: Re: Sawyer Lane (Terminé) Mer 19 Oct - 19:32
Félicitations Sawyer
● Points de vie total : 25
● Niveau de compétence Fouille : 0/5
● Niveau de compétence Défense physique : 1/5
● Niveau de compétence Tir avec Arme à feu : 0/5
● Niveau de compétence soin : 0/5
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Te voilà validé sur FOM. Je me présente, je m’appelle pas Henri, je voudrais quand même bien réussir ma vie mais surtout… Être détesté ! Vous allez le comprendre, je suis impitoyable mouhahahahahahahaha *ou pas* Arhem, donc dans mon immense bonté, j’ai décidé d’être votre guideenfin c’est que, surtout, j’ai pas eu trop le choix ! On m’a forcé ! Si si je vous jure. Tous les liens ci-dessous sont à visiter Obligatoirement (oui avec un O majuscule en plein milieu de phrase ! C’est vraiment super important de le faire afin de pouvoir bénéficier de toutes les dimensions proposées par et sur le forum. ) On compte sur vous !Yes YOU CAN ! !