Fall of Man
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June Harmon - Walking on a wire
MessageSujet: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyDim 19 Avr - 22:03

June Harmon

Anne Hathaway

Avant tout autre chose, rendons à César ce qui est à César. Mon avatar a été fait par : Pomme

Je suis né(e) le 05/06/1990  à Chicago (Etats-Unis). On me décrit souvent comme étant Intuitive - Loyale - Solitaire - Entêtée - Impulsive - Imaginative J'ai décidé de me spécialiser dans un domaine. Appelez moi à présent : Xena .Entre survivants, on doit se serrer les coudes. Ainsi, je fais partie du groupe Errance Comme tout le monde, je fais partie d'une famille. Mais celle-ci s'est éteinte bien avant les événements...   Mon père, William Harmon, et ma mère, Grace O'Hara Harmon   ne sont aujourd'hui plus que des souvenirs. Mon groupe de survivants était aussi constitué d'êtres humains avant l'errance. Je vous les présente : il y a donc Iwona  O' Neill (Nana) - Décédée, Connor O'Leary - Décédé, Vivien O'Leary - Décédée, Ciaran O'Leary - Présumé décédé, Peter Guilbert - Disparu, Elena Lawrence - Disparue




Comment avez vous réagi, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? A cette époque de l'année, j'étais au Brésil. Là-bas on ne parlait que d'une chose : de mystérieuses disparitions dans les quartiers défavorisés qui commençaient à faire peur à tout le monde. D'autant que l'enquête ne donnait rien et que l'on avait pas de corps. Cela faisait froid dans le dos mais j’étais encore loin de croire à l’épidémie. De ce que je savais, il s'agissait encore d'un cinglé qui s'amusait à tuer des gens dans la forêt. Et puis je passais le plus clair de mon temps perdue en pleine Amazonie avec trop peu de moyen de communication pour me rendre compte de ce qui était réellement en train d'arriver.

Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? J'étais rentrée à Chicago depuis avril et je vivais chez Nana. Le climat qui régnait partout en ville ne laissait rien présager de bon. Marc un reporter et ami du National Geographic m'avait envoyé des images d'Asie. Les voir me fit l'effet d'une bombe. Comment le gouvernement avait-il pu nous cacher une chose pareille ? Comment pouvait-on nous dire que nous étions en sécurité ? Que les zones de quarantaine suffiraient à empêcher la contamination ? J'étais révoltée et pourtant la seule chose à laquelle je pensais c'était d'emmener Nana en lieux sur avant que tout n'éclate au grand jour. On a sauté dans une voiture et on a roulé jusqu'au Lake Village. On y a rejoint le frère de Nana, Connor qui avait une ferme, un peu avant les premiers bain de foule. Les images défilaient sur internet mais aussi à la télévision. Des émeutes se déclanchaient partout. En quelques jours la pagaille avait déchiré la ville créant des embouteillages monstres. Les gens ne savaient pas vraiment où aller. Si certains prenaient déjà la route du nord, d'autres se dispersaient au quatre coins du pays pour rejoindre leur famille. Puis rapidement, plus rien. Nous nous retrouvions coupés du monde chez les O'Leary au milieu des champs. Et malgré ça nous n'avons pas survécu bien longtemps. Le bétail détenu par les O'Leary se fit rapidement décimé par les contaminés. Nous avions beau être à l'écart de la grande ville, les infectés s'étaient déplacés. La contamination semblait être partout et pour limiter les risques, nous avions décidé de ne plus manger les récoltes. Avec le fils de Connor, Ciaran, nous effectuions des ravitaillements au possible dans les villes alentours. Du moins tant que nous avions encore de l'essence et celle-ci ne durerait pas. Nous écoutions les quelques émissions encore présentes sur le territoire afin de mieux comprendre la situation. Une seule chose semblait être claire : il fallait fuir vers le nord.

Nos premières rencontres avec les contaminés furent difficiles. Qui pourrait être préparé à un tel combat ? Les premiers que nous ayons eu à tuer étaient les voisins des O'Leary un charmant couple de retraités soudain devenu deux cadavres pâles au regard vide n'ayant plus goût qu'à la chair fraîche. Très vite, il fallut nous résoudre à abandonner tout principes moraux : ces choses n'étaient plus humaines et il était donc impossible de ne pas les tuer. (La mort de Larry, garçon de ferme venu se réfugier avec nous, nous avait rapidement fait prendre conscience de la dangerosité des infectés). Pour nous protéger, nous avons décidé de barricader la ferme. Volets, portes et fenêtres avaient été renforcés afin d'empêcher les morts d'entrer.

Un soir d'août une jeune femme arriva à notre porte avec un enfant dans les bras. L'enfant hurlait si fort qu'il avait sans doute du attirer tout les infectés du coin. C'est sans doute affreux à révéler mais je sentais bien que la bonté de ce cher O'Leary arriva ce soir là à ses limites. Il refusait d'ouvrir la porte. Malgré son refus, Ciaran et moi décidèrent de prendre les devants. Hors de question de laisser une personne mourir alors que nous avions de quoi l'aider. Nous ouvrîmes la porte à l'étrangère en tuant 4 à 5 des contaminés qui étaient sur le porche. Je montais à l'étage accompagnée du vieux O'Leary et de Ciaran pour tenter de frapper les autres qui continuaient d'avancer vers nous. Il fallait que l'enfant se taise sinon nous ne tiendrions pas. Heureusement, à défaut d'être patient, Connor était un homme doué au tir. Et son fils avait hérité de ses qualités de tireur. L'incident se calma rapidement et croyant avoir échapper au pire nous nous endormirent tous.

Durant cette nuit là, j'entendis de nombreux murmures émanant du rez-de-chaussée où dormait la jeune femme. Au petit matin, lorsque je descendis, je notais que Viviven était déjà au chevet de l'inconnue. Alors que nous pensions avoir le contrôle de la situation, je me rendis rapidement compte que le corps inerte de l'enfant gisait au milieu de la pièce. La jeune femme avait continué son repas en mangeant Mme O'Leary et me  voyant arriver elle s'était décidée à me manger moi aussi. J'appelais à l'aide et commençait un combat avec l'infectée. Je la maîtrisais rapidement alors que Ciaran et Connor découvraient la scène avec horreur. Soudain je pensais à Nana. Je gravis les escaliers au pas de charge pour aller à sa rencontre. Heureusement la vieille femme était encore endormie.

Une fois le corps de Mme O'Leary mit en terre. Je suggérais de fuir la ferme car nous ne pouvions plus vivre seul. Le vieux O'Leary eut du mal à céder mais nous quittâmes la ferme à la fin août.

Nous prîmes la direction du nord tantôt en voiture si l'on en avait la chance tantôt à pied en évitant les zombies au possible. C'est sur la route que nous avons rencontré Peter et Elena. Lui était étudiant en médecine et elle une militaire chevronnée. Notre groupe a été attaqué un peu après Ottawa du côté de Cornwall. Bien que nous évitions les grandes villes, un groupe de zombie nous était tombé dessus alors que nous étions dans un supermarché en quête de nourriture après avoir passé près d'un mois avec presque rien dans le ventre. Nana avait été touché et Connor y avait perdu la vie. Ciaran ayant tenté de les éloigner avec la voiture en sortant du magasin, je l'avais perdu de vue. Les autres aussi s'étaient dispersés mais je m'étais refusé à les suivre préférant rester avec Nana. Je passais ces dernières heures avec elle avant de mettre fin à ses jours et de reprendre la route.

Comment êtes vous arrivé à Coaticook et ses environs ? Quel est votre plan de survie, à court terme ? J'ai pris la direction du nord parce que j'espère retrouver Peter et Elena. Ce sont les dernières indications que nous avions échangé : rendez-vous à Coaticook en cas de problème. Je sais que ça ne stoppera pas ces choses mais l'idée de retrouver les autres, c'est aujourd'hui la seule chose qui me fait avancer. Si j'arrive enfin à Coaticook, je suis une personne différente. La perte de Nana, le manque de nourriture et de sommeil m'ont rendu méfiante. J'ai appris sur la route que la nature des hommes a changé elle aussi et que parfois il faut mieux éviter certains groupes.





Je n’ai jamais cru en la possibilité d’un monde meilleur, je me contentais de penser que celui-là ne pourrait pas être pire …

Je suis née et j’ai grandi à Chicago, bercée au rythme de la circulation incessante et des coups de klaxons. Et bien malgré ça, j’ai toujours adoré cette ville. J’aimais aller courir le long du lac sous le soleil ardent du mois de juillet, m’asseoir sur l’un des bancs du Millénium Park pour lire l’un des derniers romans fantastiques que mon père m’avait acheté ou encore faire un tour de grande roue au Navy Pier à la nuit tombée pour découvrir la ville dans son habit de lumière. J’aimais l’agitation qui régnait dans les rues, le fourmillement d’inconnus se pressant chaque jour dans le métro pour se rendre aux quatre coins de la ville. Ici, on pouvait se fondre dans la masse et n’être plus qu’une autre personne dans l’immensité des rues et des buildings. J’aimais disparaître, fuir, je crois que depuis toujours j’étais plutôt douée pour ça.

Mes parents s’étaient rencontrés à Londres. A l’époque, mon père était un jeune et déjà talentueux avocat américain, venu en Angleterre pour affaire. Il avait déjà tout pour lui, et pas seulement sur le plan intellectuel. Il était charmant et poli avec un visage qu’on ne pouvait oublier. Les pommettes hautes, le nez droit, et des yeux d’un vert intense qui laissaient rarement indifférent. Il lui suffisait de sourire pour finir de vous faire tomber sous son charme. Ma mère avait une beauté d’un tout autre genre. Une beauté mystérieuse cachée au creux de ses lèvres que l’on ne pouvait que rêver d’embrasser. Elle n’avait pas l’assurance de mon père bien qu’elle aussi avait un don. Un don pour la musique. Elle avait appris le violon dès son plus jeune âge et chantait dans les music-halls londoniens. C’est d’ailleurs dans un théâtre que mon père l’a rencontrée. Lui qui ne faisait que se jouer de ses charmes venait pour la première fois d’être touché par le sortilège d’une autre. Sa musique l’avait si profondément touché qu’il avait tenu à lui faire parvenir des fleurs, dès le lendemain, avec une note la priant de se rendre dans un luxueux café du côté de Mayfair.

Mon père était un homme sûr de lui et il ne se doutait pas un seul instant que ma mère ne viendrait pas. Il l’attendit des heures durant avant de finalement rentrer à l’hôtel. Mais leur histoire se devait de continuer. De retour à Chicago, il découvrit avec stupeur que la jeune femme devait jouer quelques mois plus tard. Mon père décida alors de lui faire envoyer des fleurs chaque soir. Ainsi chaque jour ou ma mère montait sur scène, elle recevait en loge ces mêmes fleurs. La date de Chicago arriva rapidement et elle décida de le rencontrer. Ils passèrent quelques temps à se fréquenter, jusqu’à ce que ma mère tombe enceinte. Venant tous deux de famille très catholique, les deux amants durent alors se résoudre à se marier, signant la fin de leur romantique amourette…

Oui, ni mon père, ni ma mère, bien qu’ils s’aimaient n’avait voulu ce mariage et les années qui allaient s’en suivre ne feraient que renforcer ce sentiment. Mes parents s’installèrent près de Lincoln Park, au nord de la ville de Chicago. Bien sûr, ils ne manquaient de rien sauf de la liberté que leur avait enlevé leur mariage. Je fis donc mes premiers pas dans un appartement somptueux, niché au 7ème étage d’une tour immense, déjà à l’image de la chute qui attendait notre belle et heureuse famille. Car bien que le mariage de mes parents n’ait pas été désiré, l’un comme l’autre se refusait le divorce préférant vivre une vie parallèle qui leur permettait de fermer les yeux sur la réalité. Mon père avec l’âge s’était plongé dans le travail et dans le décolleté de ses jeunes assistantes. S’il continuait avec brio sa carrière, il avait toutefois des penchants pour les jolies blondes et les massages « exotiques ». Ma mère de son côté s’était lancée à corps perdu dans la musique pour oublier les infidélités de mon père. Elle s’était remise à fumer et rapidement, la nicotine ne lui suffit plus.

De mon jeune âge, j’avais encore du mal à voir les choses comme je les vois aujourd’hui. A l’époque j’avais seulement des parents absents et une nourrice que je considérais comme ma grand-mère. Iwona O'Neill était une irlandaise d’origine. Sa famille avait fui la grande famine en émigrant aux Etats-Unis un siècle plutôt. Elle y avait toujours vécu modestement sans jamais accéder aux études supérieures, elle avait pourtant acquis une culture immense grâce à son amour des livres. Elle me racontait toutes sortes d’histoires extraordinaires et m’aidait à faire mes devoirs, sans compter qu’elle faisait le meilleur cheese-cake de tout Chicago. Je l’appelais Nana à cause de ma mauvaise prononciation d’enfant et ce surnom lui était toujours resté. Elle était la seule personne de la maison a réellement prêté attention à mon existence et elle m’emmenait souvent dans sa famille. Bien que nous n’en parlions pas, Nana savait que cette situation de famille faisait de moi une enfant réservée et rêveuse et c’est peut-être ce qui la poussait à m’emmener partout avec elle pour me donner un semblant d’enfance normale. Je ne la remercierais jamais assez pour ça.

Mais ce dont je me souviens, ce qui a profondément marqué mon enfance, c’est ce soir de novembre 2002. J’avais alors 12 ans. Je me trouvais dans ma chambre, blottie sous ma couette et feuilletant le dernier J.K. Rowling. Dans le salon, ma mère sortit le violon et se mit à jouer. Mon père lui demanda d’arrêter mais elle jouait de plus belle parce qu’elle savait qu’il avait une fille de plus à son palmarès. Il sortit alors en trombe de son bureau jetant le violon sur le sol. L’instrument se brisa sous la violence du choc. Ensuite vinrent les cris. Je soupirais et rangeais ma lecture pour sortir mon baladeur mp3 et oublier cette énième dispute. Mais cette fois les choses étaient différentes.

Une porte s’ouvrit à la volée et les cris de mes parents s’arrêtèrent net. Je ne me souviens pas vraiment de la conversation qui a suivi. Seulement des coups de feu et de la course de mon père dans l’appartement avant d’entendre ses supplications. Je n’ai jamais su comment ni pourquoi mais je me suis alors jetée sous mon lit. C’est sans aucun doute de cet instant précis que viens mon instinct de survie. J’entendis alors les personnes parcourir l’appartement. Puis le silence, le silence avant que la police n’arrive.

J’entrouvris la porte de ma chambre avançant vers le salon. Ma mère était étendue sur le sol au côté de son violon, les cheveux défaits. Son visage était taché de sang tout comme son chemisier blanc. Son sourire était tordu dans une grimace de douleur et de peur. Je reculais, terrifiée par ce corps mort qui gisait au milieu du salon. Je voulais crier, partir en courant mais je ne pouvais pas. Et soudain, je trébuchais. Je tombais nez à nez avec des yeux exorbités d’horreur qui me fixaient avec une lueur vide. Ces yeux qui avaient autrefois fait succomber plus d’une femme étaient aujourd’hui dénués de toute vie. J’eus un mouvement de recul, plongeant ma main dans le sang encore chaud qui s’écoulait le long du corps inanimé de mon père. Je hoquetais de peur, me collant face au mur en fermant les yeux pour ne plus croiser ce regard. Lorsque la police arriva sur les lieux, je tremblais comme une feuille. Je n’avais pas bougé d’un pouce. Je frémis de peur lorsque la première policière s’approcha de moi.  Et il me fallut du temps pour parler à nouveau.

Je vécu les funérailles, les interrogatoires et mon placement par mes grands-parents dans un pensionnat  pour fille sans dire un mot. En quelques mois, ma vie avait basculé et d’un appartement je passais à un dortoir pour filles. Mais le plus dur, c’était de ne plus revoir Nana. Je continuais à lui écrire parce qu’elle était la seule personne qui comptait vraiment pour moi. Bien sûr j’étais triste pour mes parents mais cela me passa rapidement. Et grâce aux lettres échangées avec ma nourrice, je recommençais même à parler. Le reste de ma vie se passa assez simplement. J’avais toujours été bonne élève aussi mon manque de parole ne m’empêcha jamais de progresser. Je lisais beaucoup même trop. Les livres étaient mes échappatoires au monde réel et à l’enfermement que m’imposait le pensionnat. Et c’est ce qui m’a poussé à choisi des études de reporters. Je voulais être libre de voyager et de rompre la monotonie de mon quotidien en écrivant mes propres histoires.

J’ai donc intégré une école de journalisme et acheté ma première caméra avec l’agent que me donnaient mes grands-parents. J’avais tout prévu, je voulais changer ce que j’étais au fond de moi, me créer une nouvelle identité, une nouvelle vie, un nouveau moi débarrassé de ce passé, de cette douleur, pour redevenir quelqu’un de vivant. Mais ce n’était pas facile … Ce que je voulais avant tout c'était oublier. Mon premier reportage se passa donc en Alaska. Je restais plusieurs mois sur place en échange universitaire afin de réaliser un montage sur les peuples Inuits et Yupiks et l’évolution de leur mode de vie. J’étais loin du monde et au fond ça me plaisait assez. Je reprenais confiance en moi et j’en avais besoin. Je réalisais ensuite mon premier documentaire sur les Awá, peuple isolé d’Amazonie, qui se déplace constamment et peut construire un abri en quelques heures et l’abandonner quelques jours plus tard. J’admirais ses gens sans attaches, capables de repartir de rien. Aujourd’hui ces longues heures passées avec les autochtones sont sans doute ce qui m’a permis de survivre aussi longtemps. Après mes études, je   tentais ma chance au National Geographic où je décrochais  un petit poste d’assistante marketing. Le job n’était pas rêvé mais au moins je ne quittais pas Chicago où je vivais avec Nana qui avait déjà 50 ans.  

Voilà où en était ma vie avant que mon monde ne s’effondre une nouvelle fois…







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Salut moi c'est Pomme J'ai 23 ans (et toutes mes dents)   et je suis passionnée de séries, cinéma, voyages …Voici mon avis sur le forum : J'aime beaucoup le design bien travaillé sans en faire trop, ce qui rend la lecture très fluide. Le système des points de compétence est vraiment intéressant et j'ai hâte de le découvrir en rp !Je finirais par vous donner le code du règlement :


Dernière édition par June Harmon le Dim 19 Avr - 22:43, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyDim 19 Avr - 22:09

Bienvenue ici !!!

Hâte de te voir survivre en notre compagnie. Puis si tu en as marre d'errer seule et perdue, on te chouchoutera chez les padawans! June Harmon - Walking on a wire  4105402281
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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyDim 19 Avr - 22:33

Bienvenue parmi nous June Harmon - Walking on a wire  4176695846
Miria Graham

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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyDim 19 Avr - 22:35

Bienvenue sur le forum :D
Javik Lawson

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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyDim 19 Avr - 22:41

Merci à tous les 3 June Harmon - Walking on a wire  2082409092
Etre padawan ou ne pas être padawan ? Tel est le dilemme, Pelleas. Mais quoiqu'il arrive, une chose est sûre : rester seule de nos jours n'est pas la meilleure façon de rester en vie June Harmon - Walking on a wire  453970820
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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyDim 19 Avr - 23:13

Si tu veux un lien ou un futur RP Miss, j'ai mon DC Skylar que je dois lancer (groupe errance aussi ^^)
Javik Lawson

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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyLun 20 Avr - 4:43

Bienvenue demoiselle \o
Rafael Tyler

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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyLun 20 Avr - 8:44

Bienvenue Mademoiselle o/

Surtout si tu as des questions n'hésitent pas ^^

June Harmon a écrit:
Mais quoiqu'il arrive, une chose est sûre : rester seule de nos jours n'est pas la meilleure façon de rester en vie
T'as tout compris ma chère :3
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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyLun 20 Avr - 10:47

Ta fiche m'a vraiment semblé très bien!

Tu as fort développé les réponses aux questions, du coup ça complète très bien ta fiche! Je te valide donc :p


     
     
Félicitations June!


     


● Points de vie total : 22

     ● Niveau de compétence Fouille : 0/5

     ● Niveau de compétence Défense physique : 0/5  

     ● Niveau de compétence Tir avec Arme à feu : 0/0

     ● Niveau de compétence soin : 0/5

     ● Niveau de compétence Arme Blanche : 1/5

     ● Niveau de compétence Esquive : 0/5  

     
Te voilà validé sur FOM. Je me présente, je m’appelle pas Henri, je voudrais quand même bien réussir ma vie mais surtout… Être détesté !  Vous allez le comprendre, je suis impitoyable mouhahahahahahahaha *ou pas* Arhem, donc dans mon immense bonté, j’ai décidé d’être votre guide  enfin c’est que, surtout, j’ai pas eu trop le choix ! On m’a forcé ! Si si je vous jure. Tous les liens ci-dessous sont à visiter Obligatoirement (oui avec un O majuscule en plein milieu de phrase ! C’est vraiment super important de le faire afin de pouvoir bénéficier de toutes les dimensions proposées par et sur le forum.  On compte sur vous ! Yes YOU CAN ! !
     
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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  EmptyLun 20 Avr - 12:51

je déplace
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MessageSujet: Re: June Harmon - Walking on a wire    June Harmon - Walking on a wire  Empty

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