Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il !
Sujet: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Sam 11 Juil - 15:38
Ariane Louise Varella
Feat Louise Bourgoin
Avant tout autre chose, rendons à César ce qui est à César. Mon avatar a été fait par : ex nikilo.
Je suis né(e) le 28/11/1986 à Vannes (France). On me décrit souvent comme étant Impulsive - Passionnée - Rancunière - Optimiste - Secrète - Souriante. J'ai décidé de me spécialiser dans un domaine. Appelez moi à présent : "Docteur Queen Femme médecin". Entre survivants, on doit se serrer les coudes. Ainsi, je fais partie du groupe Culte Comme tout le monde, je fais partie d'une famille. Je vous les présente, un peu pèle mèle. Il y a donc : des fantômes du passé qui m’ont renié. Mon groupe de survivants est aussi constitué d'êtres humains. Je vous les présente : il y a donc Jack Tannen - « Batman », Ryan Tannen - « Panoramix », Elisabeth Sherman - « Camility Jane », Laïla Harrison - «Black Widow».
Comment avez vous réagi, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? Ces fameuses rumeurs ! J’aurais préféré qu’elles se transforment en mythes. Ma première réaction a été de me montrer sceptique car dans mon métier cela était chose courante d’entendre des ‘‘on-dit’’ au sujet de maladie aussi horrible qu’intraitables. Mais par professionnalisme je me suis renseignée pour que mes patients bénéficient eux-aussi d’informations. C’est en creusant que je me suis rendue compte qu’il était étrange de constater que le peu de données que je récoltais étaient floues mais terrifiantes. J’ai donc commencé à avoir peur même si je ne l’ai jamais montré. Je devais préserver mes patients. Car ils étaient ma priorité !
Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? Lorsque la Grande Panique a commencé j’étais à un… quelle honte ! J’étais à un ‘‘Speed Dating’’ à Montréal. Bien que cela ne soit pas une fierté de le dire je peux vous assurer que c’est ce qui m’a sauvé. Je n’aurais jamais pu sortir de la ville si le type qui me chantait ses louanges ne m’avait pas aidé. C’était un homme imbu de sa personne mais surtout un militaire. La survie c’était son dada et non pas le mien. Aussi, s’il a eu la galanterie de me conduire à la sortie de la ville, il n’a pas voulu de la présence d’un boulet à ses côtés. Car oui je l’avais ralenti dans notre fuite mais cela n’était-il pas normal ? J’étais terrifiée et ce que ce passait devant nos yeux était une horreur sans nom. Autant dire que j’étais perdue si on faisait preuve de logique. Mais mon optimisme et mon envie de survie me firent avancée pour m’éloigner de la ville. Il fallait à tout prix fuir les zones trop habitées. Ma détermination paya puisque je fus recueilli par un convoi de militaires. Des brutes, certes mais des sauveurs.
Comment êtes vous arrivé à Coaticook et ses environs ? Quel est votre plan de survie, à court terme ? C’est un miracle qui m’a conduit à Coaticook ! Je le pense sincèrement car je n’étais vraiment pas apte à la survie lorsque j’ai réussi à échapper à mes bourreaux, ceux qui m’avaient pourtant permis d’être encore en vie. Après avoir pu prendre la fuite, j’ai appris à devenir invisible car c’était le seul plan que je pouvais imaginer pour ma survie. Je ne savais pas me battre et je ne le sais toujours pas. Des jours durant j’ai donc marché sans vraiment savoir où j’allais, en me réfugiant dans des maisons désertées pour me reposer, éviter les Zacks, trouvé de la nourriture… Cependant, ce n’était pas assez et je m’affaiblissais. C’est en arrivant aux abords d’un campement que je me suis écroulée. Je ne savais pas si je devais ou non tenter d’aller à la rencontre de ces autres survivants. Mais l’un d’entres eux est venu à moi et m’a aidé !
Il y a des hauts paradisiaques et des bas infernaux…
Tout le monde ne nait pas avec une petite cuillère en argent dans la bouche et pourtant c’était mon cas. Fille du grand neurologue Théodore Varella et de la richissime rentière Elisabeth de Bruchard, j’avais également un frère. George était de trois ans mon ainé et nous n’avons jamais eu de liens très forts au commencement de notre vie. Cela venait surement du fait que les relations dans les membres de familles bourgeoises sont rarement chaleureuses ! Et puis dès notre plus jeune âge nos parents nous ont mis en compétition. Ils faisaient ça pour que nous donnions le meilleur de nous même. Est-ce que cela avait fonctionné ? Pour mon frère sûrement mais pas pour moi. Si j’avais été une enfant adorable, l’adolescence me changea ! J’étais lassée de cette perpétuelle compétition avec un frère qui me donnait plus l’impression d’être un total étranger. Il devait devenir médecin, suivre le même parcours de notre très cher père et moi ? Devenir une femme au foyer respectable et dévouée se consacrant à des associations diverses ! Mes parents avaient déjà en tête toute une liste de riches héritiers destinés à devenir mon futur mari. Quel destin ! Devoir subir un mariage forcé… Je refusais ! Je voulais moi aussi faire des études. Pas en tant que médecin mais comme infirmière. La lutte fut tenace mais je remportais la victoire sur mes parents avec le soutien de mon aîné. Contrairement à mon frère, je n’étais pas la première pour mes études mais j’avais de bons résultats et surtout j’étais passionnée. Au cours de ma vingt-deuxième année je rencontrais, après quelques flirts sans importance, mon futur fiancé. Il ne faisait pas parti de la liste de mes parents mais sa situation n’avait rien à envier à celles des autres.
Les années passant, ma famille ressembla de plus en plus à une famille. Mon frère faisait la fierté de mon père qui n’en était pas moins content que sa fille ai fait le choix de travailler. Bien sûr, jamais il ne l’avait dit ouvertement et encore moins devant ma mère. Cette dernière n’avait jamais vraiment compris ce choix que j’avais fait… ‘‘Celui de travailler pour les autres’’ d’après ses propres mots ! Cependant, elle faisait avec et se montrait aimante avec moi. N’avais-je donc pas une vie de rêve ? Bien sûr que oui. D’ailleurs mon bonheur fut à son comble lorsque je décrochais un travail immédiatement après l’obtention de mon diplôme. Je me doutais que mes parents avaient sûrement fait un don généreux pour que cette clinique privée accepte ma candidature mais je faisais comme si je l’ignorais. Cependant il est dangereux de vivre avec des œillères lorsqu’on l’on a été privilégiée. Jamais je ne sus qui porta la première accusation mais les autres suivirent et me plongèrent en Enfer tout en bafouant le nom de ma famille. Cela venait-il d’une famille torturée par le chagrin ou d’un collègue jaloux ? Bonne question. Cela n’empêchait pas que je fus accusée d’homicides volontaires sur plusieurs de mes patients en phase terminale. Les preuves n’étaient pas fiables… et j’avais toujours traité mes patients avec respect, même ceux dont la fin était si proche qu’ils ne devaient que ressentir ma présence bienveillante. Voilà ce que je répétais tout au long du procès durant lequel ma famille ne fut pas d’un grand soutien. J’avais toujours fait primer le bien être de mes patients !
De nouveau l’argent familial me sauva. Les charges furent abandonnées par manque de preuve comme je le fus par manque d’amour ? de confiance ? Ma famille me tourna le dos et mon fiancé me quitta. En deux années seulement j’avais tout perdu et j’étais devenue une paria ! Je ne trouvais pas de travail et je décidais de quitter la France qui m’avait vu naître et grandir. Le Canada devint ma terre d’accueil et ce fut là-bas que je recommençais une nouvelle vie. Plus pauvre mais plus calme. Je commençais même par un boulot de serveuse dans la grande ville de Montréal avant de pouvoir trouver un poste d’infirmière dans une petite clinique privée à Sainte-Julie. Je vivais simplement et retrouvais mon optimisme tout comme mon sourire. La petite française que j’étais attirait la curiosité des gens mais très peu insistaient concernant ma vie passée. Mes collègues les premières, des femmes adorables qui auraient du être conseillères matrimoniales plutôt qu’infirmières. J’évinçais donc les pauvres jeunes hommes que l’on me présentait tandis que des rumeurs concernant d’étranges épidémies se faisaient entendre. Je pensais à des bêtises pour commencer mais je tentais de me renseigner quand même sans grand succès. En toute honnêteté je pensais à une maladie qui ferait des ravages dans les pays du tiers monde sans nous atteindre mais je me trompais. Le monde plongeait peu à peu dans les Abîmes !
Les âmes damées connaîtront les Enfers…
La Grande Panique comme on l’appelle aujourd’hui arriva si vite, trop vite… Je ne m’y attendais pas ! La preuve était que je m’étais rendue à un stupide ‘‘Speed dating’’. Pour faire plaisir à mes collègues j’étais allée, sans motivation, à la recherche d’un homme bien. J’ai honte en y repensant… Mais cette stupidité m’a sauvé la vie. Je n’avais jamais été combative et je ne connaissais rien à la survie. Pour moi elle consistait à regarder un mec à la télé qui nous expliquait ce qui devait être fait ou non pour échapper à la mort sous diverses apparences. Et encore je n’écoutais jamais vraiment. J’aurais du mourir à Montréal mais l’homme avec qui j’étais à ce moment là m’avait pris en pitié. Un militaire ? Ma bonne étoile me souriait donc encore puisqu’il me fit sortir de la ville. Sa galanterie n’alla pas plus loin car il n’avait pu que constater à quel point j’étais un fardeau. Mais ne lui avais-je pas dit ? Il me souhaita bonne chance et disparu pour toujours. Seule, je décidais tout de même de suivre ses conseils. M’éloigner de la grande ville et ne pas utiliser les routes fréquentées. J’avais peur, j’avais faim mais je continuais de marcher en évitant ou en fuyant les zombies. Pour aller où ? Je n’en savais rien. J’allais au hasard et ce dernier fit bien les choses. Je fus secourue par des militaires… des légionnaires apparemment qui m’acceptèrent uniquement parce que je savais soigner ! C’était mieux que rien comme raison. Du moins c’est ce que je pensais au départ.
Je compris très vite que mes sauveurs n’étaient en réalité que des brutes sans cœur. Ces derniers pensaient avoir tous les droits sur celles et ceux qu’ils sauvaient et utilisaient en fonction de leurs compétences. Seule leur vie avait de l’importance et ils n’hésitaient à piller, violer et tuer. Ma reconnaissance envers eux s’envola vite mais je ne pouvais pas fuir. J’étais constamment surveiller car aucun d’eux ne voulaient voir la petite infirmière s’éclipser. Et encore, si les ‘‘soins’’ aux torturés n’avait été que ma seule mission mais non… Je leur devais en plus de ça des faveurs sexuelles. A deux nombreuses reprises j’ai espéré être tuée lors d’attaque de Zacks sur notre groupe mais non. J’étais encore et toujours vivante… pire ou mieux, je gardais l’espoir de m’en sortir. Pourtant ma survie, à ce moment là, s’apparentait à l’Enfer. Était-ce là son jugement dernier ? Peut-être. Je n’étais pas un ange après tout. La fin de ce calvaire arriva lors d’une attaque massive par de Zack. Je n’étais pas au campement ce soir là mais je me souviens parfaitement des cris, des coups de feu et de ces grognements. J’avais peur et je pensais que j’allais mourir mais je ne voulais pas baisser les bras. Je devais fuir… Je profitais de l’inattention de mon violeur pour l’assommer. Mais je ne m’arrêtais pas là ! Tout ce que lui et les autres m’avaient faire subir remonta à la surface et je déchainais ma violence contre lui jusqu’à ce qu’il gise au sol le crâne défoncé. Tremblante, je ramassais son arme et partait à l’opposé du campement où un feu brûlait tout. Je n’avais qu’une simple robe blanche pour vêtement maculée de sang et de terre.
De nouveau j’étais seule et je comptais le rester sans me rendre compte que je ne survivrais pas sans aide. Il allait juste falloir que j’apprenne davantage selon moi… Je ne saurais jamais me battre et je le savais. Voilà pourquoi j’apprenais à devenir invisible. Au début je me faisais repérer et ce, très souvent. Je devais fuir sans avoir pu trouver de la nourriture, à boire ou des vêtements. Je m’affaiblissais mais je tenais bon ! Puis, je m’améliorais. J’arrivais à entrer dans des maisons inhabitées pour m’y reposer, récupérer de nouveaux habits et surtout trouver des vivres. Incroyable quand on connaissait mon inaptitude à la survie ! Je ne restais jamais longtemps au même endroit car je n’étais pas assez douée pour barricader correctement une maison. J’errais donc dans un monde en ruine sans être certaine que la solitude était un bien ou un mal. Puis, petit à petit j’arrivais à repérer les Zacks avant qu’ils ne le fassent et je pouvais les éviter. Malheureusement, la fatigue de ne pas avoir de lieu sûr et fixe se faisait sentir comme le manque sommeil et de nourriture. Faisant mon possible pour tenir mes efforts furent payants. Alors que ma faiblesse atteignait des summums j’aperçu au loin des gens… pas des infectés, pas des militaires !
Tu survivras… Ainsi soit-il !
Arrivée aux abords du campement qui semblait avoir été établi dans une église je me dissimulais tout en sachant que je ne pourrais pas rester là éternellement. Mais j’avais peur ! Qu’est-ce que je ferais si ces personnes étaient comme celles que je venais de quitter ? Je ne pourrais pas vivre de nouveau un tel Enfer. Idée complètement folle, je choisissais de les observer sans me rendre compte que mon état aurait voulu que j’aille les voir, que je leur demande de l’eau et un endroit pour dormir. A ce moment là, je ne sais pas si je m’étais assoupie ou évanouie mais je revins à la réalité en entendant quelqu’un venir vers moi. Un jeune homme ! Immédiatement, je paniquais malgré mon état assez pitoyable de faiblesse. L’étranger fut alors patient, il me dit qu’il s’appelait Ryan, qu’il allait m’aider, que je ne pouvais pas rester là… Il avait tellement raison raison ! Je me souviens à peine de mon arrivée au campement et lorsque je me réveillais j’apprenais que j’avais dormir une journée entière. On m’expliquait aussi que j’allais rencontrer LE leader du groupe et que pour rester parmi eux il me faudrait faire mes preuves. Pour ma part ce que je notais et qui m’encourageait c’est que personne ne violentait personne ici. Juste pour cela je leur prouverai que je pourrais les aider, leur être utile. Après tout, une infirmière n’est jamais de trop ! J’avais donc été conduite devant Le Prophète et j’avais su que ma vie était encore en danger. Je devais passer un test sans savoir ce qu’il était mais je devais le réussir… La présence de l’homme armé d’un couteau dans la même pièce me le prouvait. J’avais peur mais depuis que la Grande Panique j’avais connu pire. Cependant, si je devais réaliser une prouesse physique j’étais condamnée. Alors que je m’agenouillais devant Lui je priais mentalement pour qu’il ne s’agisse que de questions ou un truc dans le genre. Mais rien de ce qui se passa ne ressembla à ce que j’avais imaginé… Après m’avoir fixé Il avait posé ses mains sur ma tête et déclarer que j’étais pure. Sans que je comprenne je venais d’être intégrer au groupe et même si leur vision des choses me paraissait étrange ce qui comptait c’est que je n’étais plus seule.
Elisabeth Sherman
(c) Evie Elisabeth, Beth comme tout le monde l'appelle, est une jeune femme du groupe qui m'a recueilli. Elle est chaleureuse et n'a pas hésité à venir me voir pour se présenter. Le courant est bien passé puisqu'elle comme moi ne sommes pas timides. Après, bien qu'elle soit pleine de joie de vivre il est déjà arrivé que je la vois triste et à l'écart. Je n'en connais pas les causes mais j'essaie toujours de lui changer les idées en tentant de la faire rire en racontant tout et n'importe quoi !
Ryan Tannen
(c) Ave Je vois en Ryan un sauveur ! C'est lui qui m'a ramené sur le campement alors que je ne lui ai pas rendu la tâche facile au départ. J'étais à moitié dans les vapes et voir un homme venir à ma rencontre m'a terrifié... J'ai donc tenté de partir ce qui a été un échec sans nom. J'étais trop affaiblie et effrayée pour lutter. Cependant, il a su trouvé les bons mots et le ton adéquat pour me rassurer et me dire qu'il allait me conduire en sécurité ! Je lui dois la vie et même si je l'ai remercié une fois rétablie je trouve que ce n'est absolument pas assez. Concernant nos rapports, ce jeune homme a beau ne pas parler beaucoup j'aime être en sa présence car elle me rassure. Elle m'aide à me rappeler que tous les hommes ne sont pas des brutes.
Salut moi c'est Lilith J'ai le même âge que Deanette et je suis passionnée de littérature, cinéma, rp, séries, etc. Voici mon avis sur le forum : J’adore le contexte, les intrigues et le seul point dommage jusqu’à maintenant c’est le manque d’interaction entre les différents groupe.Je finirais par vous donner le code du règlement :
Dernière édition par Ariane L. Varella le Sam 18 Juil - 7:01, édité 10 fois
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Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Sam 11 Juil - 15:40
Messages : 2806 Membre du mois : 0 J'ai : 25 ans Je suis incarné(e) par : Holland Roden Crédit(s) : Shereen Je suis un(e) : Calamity Jane Vos Liens : Mes hauts faits :
Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Sam 11 Juil - 15:46
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Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Sam 11 Juil - 16:04
Merci
Oui, j'ai bien avancé mais normal. Il faut dire que ça fait un bout de temps que j'ai ce perso en tête. Je n'attends plus que la réponse des membres du Culte pour finir.
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Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Sam 11 Juil - 16:05
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Lun 13 Juil - 22:45
Normalement je n'ai pas de question... Ce qui est bizarre ! J'en ai toujours...
Sinon ma fifiche est finie. J'espère ne pas avoir écrit de bêtises *croise les doigts et les orteils*
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Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Ven 17 Juil - 1:07
Bonsoir ! Ou bonjour vu qu'il est tard/tôt ! Alors pour ta fiche, j'ai juste une ou deux choses à te faire remonter. Tout d'abord, pourquoi avoir choisie la compétence Jane Storm si tu étais infirmière? Cela n'est pas le plus cohérent qui soit et je n'ai pas compris ce choix. Ensuite, le groupe culte ne se trouve pas dans un campement, mais dans une église ;) Du coup, il faut que tu modifies en ce sens. Enfin, il faudrait que tu parles de ton introduction dans le groupe et du passage "rituel" qu'impose le leader, à savoir le fait de tester la pureté de ton âme, alors que quelqu'un se tient nous loin avec un couteau, prêt à te tuer si tu es déclarée impure. Dès que tu as modifié/rajouté/justifié cela, je pourrais te valider avec grand plaisir
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Ven 17 Juil - 12:53
En retard comme d'habitude mais je tenais à te retourner la politesse, cette fois c'est moi qui te souhaite la bienvenue
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Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Sam 18 Juil - 7:04
Merci Sean
1/ Pourquoi Jane Storm ? Bah... euh... comment dire ? C'est suite à un bug cérébral indépendant de ma volonté. Mon cerveau avait associé cette compétence aux personnes ayant des compétences en médecine. J'ai modifié.
2/ Quand je mentionnais le campement c'était dans le sens "Ils ont établi leur campement..." ; le lieu pouvait être une supérette, une église, une maison... Mais c'est vrai que les gens ne sont pas dans ma tête ! Lol. J'aurais du préciser et je viens de le faire.
3/ J'ai rajouté mon introduction dans le groupe et le passage "rituel" imposé le leader. C’est le dernier paragraphe que voilà :
Ariane L. Varella a écrit:
« J’avais donc été conduite devant Le Prophète et j’avais su que ma vie était encore en danger. Je devais passer un test sans savoir ce qu’il était mais je devais le réussir… La présence de l’homme armé d’un couteau dans la même pièce me le prouvait. J’avais peur mais depuis que la Grande Panique j’avais connu pire. Cependant, si je devais réaliser une prouesse physique j’étais condamnée. Alors que je m’agenouillais devant Lui je priais mentalement pour qu’il ne s’agisse que de questions ou un truc dans le genre. Mais rien de ce qui se passa ne ressembla à ce que j’avais imaginé… Après m’avoir fixé Il avait posé ses mains sur ma tête et déclarer que j’étais pure. Sans que je comprenne je venais d’être intégrer au groupe et même si leur vision des choses me paraissait étrange ce qui comptait c’est que je n’étais plus seule. »
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Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Jeu 23 Juil - 13:28
Désolée de pas avoir pu passer plus tôt, mais me voilà !
C'est ok pour moi du coup je vais te valider de ce pas !
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
Sujet: Re: Ariane Louise Varella - Tu survivras… Ainsi soit-il ! Jeu 23 Juil - 13:35
Félicitations Ariane
● Points de vie total : 20
● Niveau de compétence Fouille : 0/5
● Niveau de compétence Défense physique : 0/0 (bloquée)
● Niveau de compétence Tir avec Arme à feu : 0/5
● Niveau de compétence soin : 1/5
● Niveau de compétence Arme Blanche :0/5
● Niveau de compétence Esquive : 0/5
Te voilà validé sur FOM. Je me présente, je m’appelle pas Henri, je voudrais quand même bien réussir ma vie mais surtout… Être détesté ! Vous allez le comprendre, je suis impitoyable mouhahahahahahahaha *ou pas* Arhem, donc dans mon immense bonté, j’ai décidé d’être votre guideenfin c’est que, surtout, j’ai pas eu trop le choix ! On m’a forcé ! Si si je vous jure. Tous les liens ci-dessous sont à visiter Obligatoirement (oui avec un O majuscule en plein milieu de phrase ! C’est vraiment super important de le faire afin de pouvoir bénéficier de toutes les dimensions proposées par et sur le forum. On compte sur vous !Yes YOU CAN ! !