Comment avez vous réagi, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? En réalité, je n'ai rien vu venir... J'étais en prison quand tout a commencé. Alors on entendait parler de cela aux informations ou dans les parloirs, mais franchement, pour nous, ce n'était pas crédibles. Et pour les plus trouillards d'entre nous, c'était finalement rassurant d'être enfermés entre quatre murs. Paradoxal non ?

Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? J'étais dans un fourgon... Même s'il y avait soi-disant des rumeurs de fins du monde, l'administration bizarrement, tentait encore de tourner... Nous avons été plusieurs détenues à être transférées... Un simple transfert, en plus, nous étions plutôt calmes... Mais c'était sans compter sur la folie des gens... Quand il a été renversé et que les portières se sont ouvertes, j'ai foncé dans la cabine du conducteur pour prendre les clés et me libérer, alors que mes autres comparses se dispersaient pour échapper à l'attaque. Bref, j'étais quelque part en direction de ma nouvelle prison quand c'est arrivé... on nous conduisait au nord... si seulement j'avais su !

Comment êtes vous arrivé à Coaticook et ses environs ? Quel est votre plan de survie, à court terme ? J'ai été blessée quand le fourgon qui nous transportait a été attaqué et renversé. Entre les survivants qui devenaient fous et les zombies qui déboulaient de partout, j'ai bien cru que je ne m'en sortirais pas. J'ai dû me battre et aller au bout de mes forces pour m'en sortir, mais j'ai été blessée. Je perdais beaucoup de sang, et je ne savais pas combien de temps je tiendrais... Je suis tombée sur un groupe de survivants... j'ai profité de leur inattention pour leur voler une voiture à . On ne se refait pas, il faut croire. Et j'ai roulé. Je voulais fuir le Québec, ignorant complètement qu'en réalité, j'aurais été plus en sécurité au Nord... Non, au lieu de cela, comme une pauvre conne, j'ai fait route vers le sud, je voulais traverser la frontière... Le drame de la prison. J'ai roulé jusqu'au lac Massawippi pour m'écrouler. Mais un homme m'a trouvée. Il était déjà avec des enfants, enfin des ados, mais il est venu m'aider. Pourquoi, je n'en sais rien, je n'étais rien de plus qu'une inconnue... Mais il m'a aidée, ses gosses aussi, ce sont eux qui m'ont remise sur pieds et j'ai finalement fait route avec eux. Je n'ai nulle part où aller, et cet homme, Kentigern, il m'a tout l'air d'être débrouillard, alors pourquoi pas. Tant que tout le monde s'y retrouve, je peux le suivre, lui et ses deux gosses... et ceux qu'il attire dans son sillage. Peut-être qu'il arrivera à fonder une communauté qui tienne la route....

12 juin 1982
Ellie et Thomas Roy et leur fils sont heureux de vous annoncer la naissance de leur petite Savannah. Elle mesure 52 cm pour 2kg630. Elle et sa maman se portent bien

Je suis née dans une bourgade du Québec comme il y en a des centaines... dans une famille tout ce qu'il y a de plus normale. Un frère ainé, qui me chahute, avec qui je me dispute, que j'accuse, qui me dénonce, qui joue au grand frère surprotecteur au pire des moments - comprenez quand enfin j'embrasse un garçon pour la première fois. Bref, une enfance diablement ennuyeuse, dans une ville ennuyeuse. Mais un talent... véritable. Je dessine particulièrement bien, un vrai génie du pinceau. J'aime ça, ça me parait diablement naturel. Je décroche même mon entrée pour les Beaux-Arts de Montréal. Et là, je commence vraiment ma vie. Je sors, je m'amuse, je danse, je ris, je suis heureuse.

15 septembre 2003
Accident de voiture dramatique. Aujourd'hui, à 5h42, un homme a perdu le contrôle de son véhicule avant de percuter de plein fouet une voiture circulant en sens inverse. Les premiers éléments de l'enquête ont révélé que le conducteur en faute s'était endormi au volant et qu'il roulait avec presque deux grammes d'alcool dans le sang. Il a succombé quelques heures après son admission à l'hôpital. Les deux passages qu'il a percutés sont morts sur le coup, il s'agissait de Thomas et Ellie Roy.

J'ai 21 ans et je raccroche le téléphone sans vraiment réaliser. C'est mon frère qui m'a prévenue. Jusqu'à l'enterrement, je ne réalise pas qu'ils ne sont plus là. Et pourtant... A partir de ce moment, mon frère et moi commençons à nous voir de moins en moins souvent. Pourtant, on s'aime toujours, réellement. Mais il nous manque quelque chose... et moi je manque d'argent. Un an... deux ans s'écoulent... Et je peine à trouver un travail. Ma façon de dessiner fascine, intrigue, mais ça ne remplit pas le frigo. Je me réfugie dans les musées, je peins les tableaux des grands maitres, ça me réconforte. C'est comme cela que tout a commencé... J'ai été abordée un jour par un homme que mon art inspirait... pour de mauvaises choses. Il m'a proposé une grosse somme d'argent pour reproduire à l'identique un tableau de maitre qu'il voulait "vendre" aux enchères. Je l'ai fait... Je l'ai fait et ça a marché. Même les experts n'y ont vu que du feu !
C'est ainsi que ma vie a pris un tout nouveau tournant. Je deviens faussaire, je m'enrichis, et je fais partie d'une équipe réduite, mais digne de confiance. Et enfin, je ne manque de rien, et mon art rapporte.

21 septembre 2005
La police de Montréal a aujourd'hui déclaré qu'une caisse contenant des œuvres d'art d'une valeur inestimable, en provenance de Libye, a été dérobée lors de l'importation. Aucune piste n'est actuellement privilégiée, et l'identité des receleurs, ainsi que leur façon de procéder, demeurent inconnues.

Je souris en lisant le journal et en sirotant mon café dans mon appartement. Ce vol, c'est moi. On est passé au stade supérieur, sans vraiment faire attention... enfin moi, j'ai glissé dans cette ouverture et que ce soit bien ou mal ne m'atteint pas réellement. En réalité, j'avais une motivation bien précise. Et elle s'appelait Pierre. Je suis avec lui depuis un an et demi maintenant, une histoire qui dure, une belle histoire. Bien sûr, il ne sait pas ce que je fais. Bien sûr, je m'en veux de lui cacher une chose pareille. J'aurais pu arrêter... J'aurais pu. S'il n'avait pas été malade et s'il n'avait pas eu besoin d'un traitement particulièrement cher. Il n'a pas beaucoup d'argent, et sa couverture sociale... bref, je lui finance son traitement, alors je ne peux pas arrêter. Et en août, on nous annonce l'existence d'un autre traitement... mais les frais sont encore plus élevés. Quand j'ai raconté ça à mon mentor, celui qui m'avait mis le pied à l'étrier dans le monde du "banditisme" (même si je n'aime pas du tout ce terme), il évoque la possibilité de passer à la vitesse supérieure, de monter un coup qui rapporterait plus que mes faux. Si j'hésite un moment, quand je me couche auprès de Pierre, je ne doute plus. Je dois tout faire pour le sauver. Nous avons donc volé cette caisse. Nous avons eu beaucoup d'argent... fin de l'histoire. Mon activité de faussaire bat son plein, mais je me suis diversifiée. Vol de tableaux dans les musées, de statuettes dans les expositions, je développe des capacités plutôt intéressantes. Je deviens agile, rapide, et mes mains ne tremblent jamais. Un grand atout. Pierre s'étonne de notre soudaine rentrée d'argent, mais je lui fait croire que je vends mes tableaux... Des tableaux bien à moi. J'ai même prétendu avoir hérité de mes grands-parents - paix à leurs âmes. J'ai honte de lui mentir ainsi, mais au moins, on peut lui payer son traitement, et garder espoir.

17 décembre 2010
Madame Savannah Roy, vous êtes reconnue coupable de vol en réunion avec circonstances aggravantes, de trafic d'œuvres d'art, de faux et usage de faux et d'homicide involontaire. Vous êtes condamnée à vingt ans de réclusion. Vous effectuerez votre peine à la prison de Sherbrooke.

Tout allait bien... et rien ne va plus. Ce coup ne devait pourtant pas être difficile... Le tableau était dans un petit musée municipal, pas très protégé. Seulement voilà... il y a eu ce gardien qu'on n'attendait pas, et qui a eu le temps de prévenir la police. Et l'un de nous qui panique alors que les sirènes retentissent. Nous ne sommes jamais armés normalement, je ne sais pas d'où il sort ce flingue... je ne sais pas pourquoi il tire. Enfin si, il pète un câble, il panique, ça devient dangereux. Ça dégénère alors que les flics sont à l'entrée. J'essaye comme une idiote de lui arracher son arme pour qu'il arrête ses conneries alors qu'il a déjà blessé le gardien, mais rien à faire, au lieu de cela, je me prends un coup de crosse dans la tronche, avant d'être rouée de coups. Ce sont les complices qui le maitrisent momentanément... Il va me tuer... j'ai mal, je sens que l'une de mes côtes craque... et là, alors que je suis sur le sol, je pense à tout ça... C'est con quand même, dix minutes avant j'étais heureuse, j'avais même un petit-ami... j'aurais dû décrocher... Son arme tombe... je ne sais pas ce qui me prend de tendre la main vers elle... je cède à la panique, juste un instant, juste assez longtemps pour que je commette l'irréparable... je tire...
Je suis arrêtée, jugée... incarcérée. Pierre rompt avec moi, alors qu'il prévoyait de me demander en mariage. J'intègre la prison de Sherbrooke. Je vous passe les détails, mais sachez que cela endurcit. J'apprends à répliquer, à me défendre, à être langue de vipère... Mon frère vient me voir... au début et puis au bout de deux ans... Quatre ans de taule... Quatre ans avant que l'apocalypse ne s'abatte...

juillet 2015
« Vous ne savez vraiment pas ce qui est en train se de passer ? »

Je suis transférée... Pourquoi ? La prison de Sherbrooke n'est pas des plus débordante, on n'est pas 15 par cellules alors quoi? On nous annonce qu'on va aller plus au nord... certains détenus disent que c’est à cause de ces rumeurs, comme quoi des morts-vivants rôderaient. Pitié... sérieusement ? Et ils sont assez tarés pour croire ça ? A tous les coups, le gouvernement a encore fait une connerie qu'il tente de dissimuler en détournant notre attention. Ou alors c'est un canular annonçant la sortie d'un film de zombies. Allez savoir. Tout ça pour dire que je monte dans le fourgon avec les autres, et qu'on fait route dans le calme, dans nos jolies tenues saillantes... Sauf que très vite le conducteur pile. Des mains se mettent à frapper la carrosserie. On entend des cris, ça tangue. Ils veulent le fourgon, ils disent qu'ils veulent une chance... mais qu'est-ce qu'ils racontent putain ? Le fourgon bascule sur le côté et je me cogne sévèrement l'épaule... les portes s'ouvrent et des tarés débarquent... Des fous, pris d'une frénésie meurtrière.. Ils exécutent certaines de mes codétenues alors que d'autres - dont moi - parviennent à s'extraire du véhicule en profitant de la pagaille... sauf que dans la mêlée je me prends un coup de couteau. Par chance, mon agresseur est vite occupée avec une de mes codétenues. J'en profite pour m'écarter. Ça pisse le sang, j'ai mal, mais si je m'arrête, je meurs. Il me faut les clés des menottes, alors je m'approche de l'avant de la voiture... surveillé par un gars... Sournoisement, j'arrive derrière lui et finis par l'étrangler avec mes menottes... A l'intérieur... Un massacre... Pas le moment de se perdre en sensiblerie mal placée, je les fouille pour trouver le trousseau de clés et me libérer, avant de me mettre à courir, en produisant une trainée de sang dans mon sillage, et je vois et comprends que certaines ex-prisonnières ont eu la même idées. Des ombres - nos ombres - se sauvent dans toutes les directions possibles.

Quelques mètres plus loin, je tombe sur... Des monstres... je n'en crois pas mes yeux, alors c'était vrai leurs conneries ? Une vraie terreur profonde s'empare de moi. Je crois que j'ai failli me pisser dessus... Ils sont tellement... immondes, puants, terrifiants. Leurs mâchoires claques, leurs griffes fendent l'air. Je recule, machinalement. L'un d'entre eux surgit à mes côtés dans un râle. Je chope une branche, en assomme un, mais je prends conscience que je ne peux pas aller loin dans mon état... Par je ne sais quel miracle, je tombe sur un groupe de survivants un peu plus loin. Ils font un feu... ils rigolent... et moi j'ai encore en tête ces monstres, j'ai l'impression de les entendre, d'en voir à chaque ombre. Et ces gens, je ne les connais pas, s'ils étaient aussi fous que ceux qui ont attaqué le fourgon ? Je suis morte de trouille, fatiguée, alors je ne réfléchis pas. Je vois qu'ils ont une voiture... discrètement, je m'approche... et je le leur emprunte en démarrant en trombe. Et je roule. Direction les Etats-Unis, j'ai toujours idéalisé ce pays et je m'étais toujours dit que si je m'évadais de prison, j'irai refaire ma vie là-bas... grossière erreur que j'apprendrai bientôt.

Je me vide de mon sang sur le siège et je suis en sueur. Mes paupières se ferment toutes seules tandis que ma tête est plus que lourde. Je dois m'arrêter, je n'ai pas le choix. Je repère un lac, descends de voiture et me traine jusqu'au bord de l'eau. Là, je m'écroule. Allongée, je tente de boire un peu et de nettoyer ma blessure mais j'ai si mal... c'est à peine si j'aperçois ces silhouettes... des monstres ? Des humains ? Et après tout qu'elle différence ? Je perds conscience...

Quand je me réveille, je ne suis pas seule, mais j'ai l'impression d'être dans un mauvais remake de la petite maison dans la prairie. Un homme est là, avec deux ados... des ados... Et la fille - Eileen si je comprends bien son nom - n'a pas l'air de m'aimer beaucoup... Tous trois me soignent. Pourquoi, je ne sais pas... Mais ils s'occupent de moi et je me surprends à murmurer un "merci" alors que je suis à demi-consciente.
Kentigern - encore un nom à coucher dehors mais puisque c'est le sien, allons-y franco - m'explique alors tout ce qui se passe... le sud envahi... les zombies... la fuite vers le nord. Je suis si larguée... Il prend alors de m'expliquer les choses et parfois, je surprends son gamin m'observer mais il n'a pas l'air méchant. En fait, il parle même bien avec moi. Pas comme la gamine qui n'a pas desserré un mot, mais je me souviens que j'ai été une ado de 17 ans moi aussi... Et au cours d'une nuit, Kentigern m'a demandé... la fameuse question qui tue... Qu'est-ce que je fichais en prison? J'aurais pu lui mentir, cela aurait été la réaction la plus censée, mais je ne suis pas réellement quelqu'un de logique. Il m'a aidée, il a des gosses, c'est normal qu'il s'inquiète. Et puis même, s'il me chasse, je poursuivrais ma route, je préférais donc qu'il l'apprenne maintenant qu'il ne le découvre de lui-même bien plus tard. Sans compter que j'avais perdu pierre à cause de mes mensonges... Je lui dis tout. Des reproductions de tableaux au vol d'œuvres d'art... sans omettre l'homicide involontaire. Et franchement, je m'attendais à ce qu'il me demande de partir après cela... Au lieu de cela il me fait part de ses plans pour l'avenir, et c'est que ce n'est pas idiot. Après quelques jours de repos, on reprend la route tous ensemble. J'ai une dette envers eux et j'aime bien ses gamins, je sais faire deux trois choses qui leur seront utiles et j'ai l'impression que tous ont leur petite spécialité.


dernière quinzaine de juillet 2015
Bienvenue à Barnston ! Ses 572 habitants sont ravis de vous accueillir !

Je regarde le panneau... Depuis que nous nous sommes remis en marche, d'autres personnes nous ont rejoint... certains restent, d'autres partent. Certains sont plutôt finauds, d'autres sont des abrutis finis. Je me prends le chou avec certains, m'entends bien avec d'autres. Et c'est pareil pour tout le monde. Même au sein de la famille Halliwell, je m'entends de mieux en mieux avec Kentigern et Kyle, par contre, la communication ne passe toujours pas avec Eileen. Mais elle ne dit rien sur moi aux autres. Alors que le groupe se compose d'électrons libres, Kentigern tente de les rassembler. J'ai un peu de mal à comprendre pourquoi il fait tout ça, pour ces gens ingrats, mais je ne sais pas... quand il parle comme ça, il dégage un petit quelque chose qui fait qu'on y croit. Il propose un plan, et alors que certains commencent à le contester, je m'écarte du troupeau pour me placer à ses côtés et l'appuyer. Peut-être que mes coups de gueule contre certains les ont impressionnés, mais ils se taisent. Kyle en fait de même et je passe mon bras autour de ses épaules. Même Eileen nous rejoints. Ici, ça peut être une bonne planque. Le village est petit, on pourra le protéger en nous organisant bien. Surtout, avec la marche, je me suis rendue compte du danger que représentent les morts-vivants. Ils sont féroces, dangereux, et ce sont les Halliwell qui m'ont expliqué qu'il fallait viser le crâne. Ils me terrifient, en réalité, mais je m'oblige à ne rien laisser transparaitre. Pour les enfants, et pour les autres. Ils ont besoin de leaders et de rocs, alors j'essaye de ne pas flancher, de ne pas laisser la trouille m'envahir pour les protéger au mieux.
Alors tout doucement, la vie s'organise dans cette communauté fragile. Oh les coups de sang arrivent toujours, mais on tente de trouver un équilibre. C'est si étrange... régulièrement, Kentigern me demande un coup de main pour gérer tout ce petit monde, ce que je fais volontiers. Les choses se sont faites naturellement... Parce que nous nous faisons confiance lui et moi et parce que ma grande gueule en impose. Donc quand il faut mettre un peu d'ordre, pousser une gueulante, on fait appel à moi. A force de me voir aussi proche de celui qui s'est imposé comme notre "leader", certains m'ont prise naturellement comme référent, en cas de problème ou de doléance... Etrange mais cet équilibre fonctionne... du moins, tant qu'ils ne savent pas qui je suis. Peut-être que les choses changeront un jour, car nous n'avons pas signer de contrat... mais pour l'instant, cette situation de "second" ou d'"assistante" donne un sens à ma vie dans ce chaos.

Salut moi c'est walle J'ai 26 ans   et je suis passionnée de rp, c'est une catastrophe, je suis une boulimique de rp Voici mon avis sur le forum : assez complexe au premier abord, je risque de me planter une fois ou deux dans les actions mais cela change vraiment avec ce système "réel" Je finirais par vous donner le code du règlement :