Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree.
Sujet: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 5:36
Ludo Steinfeld
Feat Til Schweiger
Avant tout autre chose, rendons à César ce qui est à César. Mon avatar a été fait par : Redhairedmoira
Je suis né le 16/05/1970 à Stuttgart (RFA/Allemagne). On me décrit souvent comme étant pragmatique – attentif – rigoureux – pessimiste – borné - exessif J'ai décidé de me spécialiser dans un domaine. Appelez moi à présent : Indiana Jones Entre survivants, on doit se serrer les coudes. Ainsi, je fais partie du groupe Marche Comme tout le monde, je fais partie d'une famille. Je vous les présente, un peu pèle mêle. Il y a donc: Kate Mitchell, ma demi-soeur; Zachary et Jonathan Mitchell, mes neveux, du moins était-ce l'intégralité de ma famille avant l'épidémie. Mon groupe de survivants est aussi constitué d'êtres humains. Je vous les présente : il y a donc Dean Chevalier - Lucky Luke.
Comment avez-vous réagi, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? Au début on se dit « les médias et leur manie de tout dramatiser… ». Faut dire que je suis le genre à pas faire confiance à ce qu’ils nous balances à longueur de journée, ils nous effrayent et ils en jouent. Le savant dosage entre la peur qui permet de faire passer n’importe quoi sous prétexte de régler les problèmes et la panique qui ferait perdre tout contrôle… Ils savent s’y prendre. Oui, je pense que c’est la méfiance qui m’a joué des tours au début, je minimisais le problème tout simplement. Ensuite vient le moment où on se rend compte que c’est plus inquiétant, qu’on fait face à une réelle épidémie et non pas à un complot médiatique. Mais je vis aux Etats-unis en plein vingt et unième siècle bordel ! La peste a fait des ravages au moyen âge mais c’est du passé.
Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? Si le mathématicien en moi jubilait de voir en direct la preuve formelle que rien n’est jamais sous contrôle, j’étais comme tout le monde : j’en menais pas large ! J’étais à Chicago, comme tous les jours ou presque depuis que ma sœur m’avait trouvé ce poste des années plus tôt. Je ne crois plus en la chance ou au hasard depuis longtemps, plus depuis que je vois une équation en toute chose, mais je suis forcé d’admettre que je ne sais toujours pas comment j’ai fait pour m’en sortir indemne. Bien sûr, j’ai réfléchi, j’ai pesé le pour et le contre de chaque décision, je me suis bien gardé de faire quoi que ce soit d’irrationnel, mais ça aurait pu ne pas suffire.
Comment êtes vous arrivé à Coaticook et ses environs ? Quel est votre plan de survie, à court terme ? On se retrouve au nord qu’elle a dit. Si je suis capable de vous résoudre des équations d’un autre monde, Kate en revanche a un sens de la survie plus développé, c’est elle qui m’a convaincu de ne pas courir après le gouvernement et de fuir vers le nord. L’instinct féminin ou l’endoctrinement des messages radios qui nous promettent qu’une fois là-bas on s’en sortira ? Qu’importe. J’ai roulé, puis marché, puis marché encore. Et pour trouver quoi ? La même chose qu’ailleurs. Il n’y a plus moyen de la contacter, je vois pas vraiment ce qu’elle avait prévu pour nous retrouver au milieu de tout ce chaos, d’autant que le Canada, c’est plutôt vaste comme pays ! La seule chose que je sais c’est que si on doit se croiser autant éviter qu’elle ait à me coller une balle entre les deux yeux pour sauver sa peau. Alors quand j’ai trouvé les autres, je me suis fait une raison : ici c’est vivre ensemble ou mourir seul. Vivre... survivre serait plus approprié. Vous connaissez la différence entre un astronaute et un astronome ? Je ne suis pas un héros, je n’en ai pas les capacités, mais c’est pas parce qu’on est cloîtré dans un bureau, qu’on enfile pas une belle combinaison pour aller faire mumuse sur le terrain qu’on n’a pas un rôle important à jouer.
Equations différentielles
Toute chose a un commencement et pour bien comprendre mon histoire, il faut remonter il y a quarante-cinq ans, à Stuttgart, un matin de mai comme tant d'autre. Tant d'autre ? Pas tant que ça puisque c'est ce jour-là que j'ai débarqué dans ce grand bordel monstrueux qu'est la vie. Un chanceux d’après certains. Ils n'avaient pas tort, après tout, j'aurais pu naître quelques kilomètres plus à l'est, d'un père ouvrier ou militaire, mais non, le hasard a voulu que je vois le jour de ce côté-ci du mur et que mon père travaille à l'université. Mon père, mon père... et ma mère alors ? Aurait-elle été différente si nous avions vécus du côté soviétique? Aurait-elle survécu à la maladie qui l'a emportée avant que j'ai eu la chance de me faire une provision de souvenirs d'elle ? Bah, les choses sont ce qu'elles sont et je m'égare un peu trop, savoir qui elle était n'a finalement pas grande importance si on y réfléchi bien.
Mon enfance ? Tout ce qu'il y a de plus classique au final pour le fils d'un professeur d'université renommé : les nourrices, les écoles privées, les quelques copains issus eux aussi de familles aisées. Jusqu'au jour où mon père se met en tête d'épouser une biologiste, une américaine. Et voilà qu'à sept ans, alors que la seule chose que je demande c'est un peu d'attention de la part de mon paternel autrement que par tuteur interposé, je me retrouve avec une demi sœur dans les pattes. Certes Kate deviendra plus tard une béquille sur laquelle m'appuyer mais nous n'en sommes pas encore là. Le gosse ingrat que je suis n'y voit qu'une intrusion indésirable dans sa routine. Je continue mon chemin vers l'âge adulte. D’après mes professeurs, je suis plutôt brillant, d’après mon père je peux faire bien mieux que ça, d’après moi... à cet âge-là je crois que je m'en moquais un peu. Surtout qu'au lycée, la raison qui me pousse à travailler avec sérieux porte une jupe et une queue de cheval, je ne suis pas les traces de mon père mais celles d'Emma. D'un an mon aînée, elle est pour l'ado stupide que je suis la fille parfaite, plutôt jolie, excellente élève, elle aime le rock et les romans de science-fiction, que rêver de plus.
J'entre à l'université, le mur tombe, les années continuent à défiler. Les années m'ont rendu moins obtus, j'ai appris à apprécier le fait d'avoir une sœur, oui nous ne partageons qu'une moitié de gènes en commun, non nous ne sommes pas moins une famille pour autant. Emma a fini par céder à mes avances, elle étudie les lettres, moi je me suis rendu à l'évidence, mon père m'a bel et bien collé le virus des mathématiques à ma naissance. Ça ne change pas grand-chose, lui et moi ne nous parlons plus vraiment à cette époque, j'ai curieusement pris le parti de ma belle-mère le jour où ils se sont séparés, j'ai claqué la porte le même jour qu'elle, je le regretterais plus tard. J'ai vingt-quatre ans le jour où Emma devient Mme Steinfeld, en juillet 1994, mon père se contente d'une carte griffonnée à la va-vite.
Points d’équilibre instables
Emma... Elle et moi partons vivre à Berlin, elle y a trouvé un poste d'enseignante dans un lycée, moi je tente de poursuivre sur les traces de mon père, de faire mieux que lui. En 1996, en suivant les conseils de ma femme, je tente de reprendre contact avec mon paternel. J'ai de bonnes raisons, je viens d'être père à mon tour. Kristina... rayon de soleil venu pointer le bout de son nez le premier jour du printemps. Malgré tout ce qui suivra, je ne remercierais jamais assez Emma pour m'avoir poussé à passer ce coup de fil. Le hasard, le destin, appelez ça comme vous voudrez, mon père nous quittait en septembre la même année. Si je n'ai pas eu le temps de rattraper tout ce que nous avions laissé en plan lui et moi, au moins aura-il eu la chance de connaître sa petite fille.
Parfait, mais ça n'explique toujours pas pourquoi je me suis retrouvé à enseigner dans ce lycée miteux de Chicago des années plus tard. Comment je suis passé de jeune chercheur prometteur à mendiant suicidaire. J'y viens je vous dis, bien que je préférerais taire cette période de ma vie.
Les routes peuvent être traîtresses la nuit, on a beau vous mettre en garde contre l'alcool au volant, la vitesse ou que sais-je encore, vous avez beau respecter à la lettre toutes les règles de sécurité que les gens biens et le peu de bon sens que vous avez vous dictent, rien ne vous met vraiment à l’abri. En particulier s'il pleut et que le chauffeur du camion devant vous s'endort sur son volant. Rien ne vous met à l’abri, ni vous, ni la femme que vous aimez assise à côté de vous, ni votre fille de trois ans (1999) dans son siège enfant à l’arrière. Rien ne vous garantit que vous ne finirez pas dans le décor ou que tout le monde s'en sortira indemne. Indemne... Ah pour ça, il faut dire que mes quelques fractures et contusions n'auraient pas été si dures à guérir. Si seulement il n'y avait eu que ça. Si Emma ne m'avait pas tenu pour responsable de la mort de sa fille... Quels ont été ses mots ? « Je sais que c'était la faute de ce camion, mais tu aurais pu éviter l'accident. » Même pas le moindre doute, le moindre « peut-être », le moindre « si » dans son discours. Là où moi je pensais avoir la chance d'avoir quelqu'un avec qui porter mon fardeau, là où je pensais qu'à deux on surmonterait notre deuil plus aisément, elle ne voyait que la douleur de croiser chaque jour l'homme responsable de la mort de sa fille...notre fille.
Systèmes dynamiques
Sans Kate, revenue des Etats Unis où elle et sa mère avaient refait leurs vies après avoir quitté mon père, j'aurais traîné encore longtemps entre deux abri bus de Berlin, ou j'aurai terminé dans un fossé ou au fond d'un des lacs de la ville. Elle est venue me chercher, elle m'a pris sous son aile comme pour inverser les rôles, le grand frère peu attentionné est devenu l’oisillon à protéger. J'ai perdu un peu plus de cinq années de ma vie à tenter tour à tour de recoller les morceaux avec Emma, laisser filer les lambeaux restants de ma carrière, écumer les bars, me laisser aller pour ressembler à l’espèce de loque que ma sœur a pris en pitié. Pourquoi je parle de pitié ? Parce qu'à cette époque il était évident à mes yeux qu'on ne pouvait pas éprouver grand-chose de plus pour ce que j'étais. Et pourtant c'est bien un amour fraternel sans bornes qui a poussé Kate à me traîner avec elle dans un avion pour me donner une chance de tout reprendre à zéro outre atlantique.
La boucle est bouclée ou presque, me voilà à tenter d'enseigner les mathématiques à des ados qui n'en ont rien à faire dans une banlieue paumée de Chicago. Je n'ai pas vraiment refait ma vie, pas de femme, pas d'enfant, j'ai deux neveux, ils me suffisent. J'aurais pu, probablement, sûrement même, mais même si j'ai relevé la tête, Emma et Kristina étaient ma famille, je ne conçois simplement pas d'en fonder une autre.
Tout ça c'est bien beau, la rédemption d'un homme, une histoire de seconde chance comme dans un roman de gare des plus ennuyeux mais qu'on finit par dévorer parce qu'on a que ça à se mettre sous la dent... Et oui, même moi j'étais presque parvenu à me convaincre que cette fois, j'étais sur la ligne droite, que les choses étaient en place une bonne fois pour toutes et que tout allait filer ainsi jusqu'à ce que prenne ma retraite, que je rejoigne les hordes de presque vieux qui jouent aux échecs dans les squares avant de finir vieux pour de bon et de me retrouver dans une de ces maisons mouroir où je ferais tourner les jolies petites infirmières en bourrique jusqu'à en rendre mon dernier soupire.
Le dragon de Heighway
Sauf que la vie n’est pas un long fleuve tranquille, j’en avais déjà fait les frais et je n’étais pas au bout de mes peines. Quand j’étais gosse, j’adorais les romans de science-fiction, Isaac Asimov notamment. Tout me semblait tellement… possible, pas comme ces bouquins bâclés qui vous parlaient de guerre bactériologique et de fin du monde. D’une part parce que la plupart de ces navets incluaient une vision de la guerre froide qui me déplaisait tout particulièrement à moi qui avait grandi à l’ombre du mur, ensuite parce qu’ils ne s’appuyaient généralement pas sur quoi que ce soit de concret scientifiquement parlant. Je veux dire… franchement, des virus qui transforment la population en revenants avides de chair fraîche? Et bien j’avais tort… 2014, pas de robots à l’IA affranchie, pas de voyage spatial hors de notre galaxie, mais cette épidémie sortie de nulle part… comme quoi rien, rien n’est jamais écrit à l’avance, le progrès technologique c’est bien beau mais ça ne surpasse pas l’évolution et la sélection naturelle.
Car c’est bien de sélection naturelle qu’il s’agit. Les mois qui ont précédés la grande panique sont un peu flous, parce que tout est arrivé trop vite, parce que la pandémie nous a tous pris au dépourvu. Tous ? Je ne peux pas m’empêcher de penser que si les gouvernements avaient coopéré entre eux dès le départ au lieu de faire leurs petites tambouilles chacun dans leur coin, peut être aurions-nous pu avoir une chance de gérer les choses… peut être… peut être pas, mais si l’évolution nous a collé cette chose, c’est qu’elle avait ses raisons.
Les raisons, elles étaient bien le cadet de mes soucis le jour où la panique générale a eu raison de ce qui restait de civilisation. Certains collègues biologistes ont dû ricaner, s’ils ne se sont pas fait dévorer, en voyant ces citoyens modèles, ces représentants de l’espèce dominante de la planète se mettre à courir comme un vulgaire troupeau de gazelles devant une bande de lionnes. On a beau dire, quand vous entendez la panique à la radio, que vous tournez la tête vers la fenêtre pour voir une de ces choses dévorer un de vos voisins sur le trottoir en face de chez vous… tout le bon sens, toute votre rationalité s’envole soudainement pour ne laisser place qu’à une seule chose : l’instinct de survie. Je n’ai pas souvenir avoir jamais démarré ma voiture aussi vite que ce jour-là, mon seul objectif étant de ne pas rester seul, rejoindre Kate et sa famille qui vivaient à quelques kilomètres au sud de Chicago. Surtout ne pas rester seul. Les choses étaient à présent officiellement hors de contrôle, tant le virus, ou quoi que ce soit que ce fut, que la population en elle-même et le chaos environnant n’était que le commencement. Je l’ai eue au téléphone avant d’arriver à sortir de Chicago, Chicago où en temps normal il est déjà impossible de circuler alors quelles chances avais-je de sortir rapidement de la ville dans ces circonstances ? Elle disait qu’elle avait pris les garçons et qu’elle partait vers Québec pour atteindre le Groenland, qu'elle voulait atteindre le froid au plus vite, qu’on devait se retrouver en route si on suivait les grands axes. Pas un mot à propos du père de ses gosses, je n’ai pas insisté de peur de tomber sur une nouvelle douloureuse.
Ma Ford s’est retrouvée en panne sèche rapidement, il faut dire que j’ai la fâcheuse tendance à ne pas remplir mon réservoir avant d’être arrivé sur la réserve. Vu l'état des routes, rapidement converties en self à volonté pour les zombies, ça m'a probablement sauvé la vie. J'ai suivi les grands axes comme Kate l'avait suggéré, mais espérer la retrouver dans tout ce bordel c'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin, une botte de foin infestée de parasites à la morsure mortelle. J'ai croisé plusieurs autres réfugiés, plus ou moins bien organisés, jusqu'à ce qu'on tombe sur un groupe de survivants menés par deux médecins, Ethan et Sean et un ex-militaire, Dean. Le petit précis de la survie en milieu hostile, s'il existe un tel ouvrage, ne saurait recommander une meilleure configuration.
"Le rétablissement du système peut se révéler impossible..."
Chaque fois que des êtres humains se rassemblent des règles de conduite s'établissent. Et pourtant je suis persuadé que si nous sommes plutôt bien organisés, nous ne sommes pas les plus ordonnés. Nous? Je suis resté avec eux, nous avançons, nous adaptons, nous serrons les coudes, restons prudents. C'est fou de voir comme l'être humain pourtant devenu si égoïste et individualiste dans la belle société que nous avions établie avant le règne des revenants, peut réussir à faire preuve d'une pensée collective quand sa survie est en jeu. L'instinct de survie une fois de plus. Ethan nous a quitté pour rejoindre un autre groupe de survivants, nous avons perdu un médecin et un meneur mais nous continuons à avancer, Dean en tête comme toujours. C’est un peu sa faute, ou grâce à lui selon le point de vue, que je me suis retrouvé responsable de tout ce petit monde. « On prend quelle direction Chef ? » qu’il a dit. Lapsus révélateur de l’ancien soldat qui a visiblement dit tout haut ce que les autres pensaient tout bas. Il faut croire qu’ils se sentent rassurés par mon bon sens et mon pragmatisme, ou bien est-ce ma logique ou le charisme de l’enseignant qui les a conduit à me faire confiance à ce point. Qu’importe nous avons tous la même volonté : survivre et avancer.
Kate? je suis sure qu'elle a elle aussi trouvé des compagnons d'infortune, qu'elle aussi lutte pour sa survie, qu'elle avance...
Kate Mitchell
(c) Redhairedmoira Kate est ma demi-sœur. Si je n'ai pas toujours été un grand frère attentionné, elle en revanche a toujours su mettre de coté nos différents au nom de l'amour fraternel. J'avais huit ans quand elle est née, treize quand sa mère et elle ont mis les voiles et trente-cinq quand elle m'a sauvé la vie. car c'est bel et bien ce qu'elle a fait quand elle est venue me sortir la tête de l'eau, m'aider à me remettre de la dépression dans laquelle la mort de Kristina et ma rupture avec Emma m'a avaient plongé. C'est Kate toujours qui m'a trouvé ce job à Chicago. Kate encore qui m'a conseillé de fuir vers le nord quand le monde a cédé à la panique. Kate enfin que je ne désespère pas de recroiser un jour si j'arrive à Québec en un seul morceau. Elle y sera, je le sais, c'est une battante, une force de la nature ma petite sœur. (scénario à venir)
Ethan Banks
(c) Redhairedmoira On était un petit groupe, certains sont tombés, d'autres sont partis de leur coté jusqu'à ce qu'on ne soit plus que deux. J'aurais pu me retrouver seul après la blessure de mon compagnon si nous n'étions pas tombé sur un toubib au grand cœur. Ethan, c'était son nom, s'est démené pour nous aider, pour soigner celui qui m'accompagnait. Il nous a même ramenés près de son groupe de survivants. Les marcheurs qu'ils se surnommaient. La dévotion de ce type m'a impressionné, tant et si bien que nous avions commencé à tisser ce qui aurait pu être une belle amitié s'il n'avait pas décidé de nous quitter. N'allez pas croire qu'Ethan nous a lâchement abandonnés, il a rejoint un autre groupe de rescapés qui eux n'avaient pas la chance d'avoir de médecin avec eux. Nous en avions deux, Ethan s'est dévoué parce qu'il est comme ça. (scénario)
Dean Chevalier
(c) Redhairedmoira Quand j’ai croisé les marcheurs pour la première fois et qu’Ethan s’est occupé de soigner l’homme qui voyageait avec moi, Dean faisait déjà parti du groupe. Il montait la garde pendant que le toubib faisait ce qu’il avait à faire. Je ne suis pas d’un naturel bavard mais quand je l’ai vu triturer nerveusement son alliance, le regard dans le vide, je n’ai pas pu m’empêcher d’essayer de le réconforter. Après tout, ces gars nous aidaient, c’était le moins que je pouvais faire. Je lui ai parlé de Kristina, de mon père, sans entrer dans les détails mais juste ce qu’il fallait pour qu’il sache que s’il voulait de l’aide pour supporter son deuil, je pouvais tenter de jouer le rôle de l’épaule sur laquelle pleurer. Sauf que Dean n’est pas veuf, du moins veut-il le croire. Il se fait des illusions si vous voulez mon avis… mais qui suis-je pour juger ça, moi qui espère toujours que ma sœur est toujours en un seul morceau quelque part. C’est lui qui a suggéré officieusement que je prenne la tête du groupe.
Salut moi c'est Redhairedmoira J'ai 26 ans et je suis passionnée de tellement de choses si vous saviez... La lecture, l’écriture, la musique et les framboises sont les plus importants je pense. Aprés en vrac les choses importantes à retenir sont que : j'aime offrir des cookies IRL comme sur la CB, je suis intimement convaincue qu'un jour ce ne sont pas les zombies mais les rats qui domineront le monde et dernier point non des moindres... en vrai je suis nulle en maths Voici mon avis sur le forum : j'ai été conquise dés la présentation du projet , que dire de plus? Ah si, ce design est juste parfait...comme d'hab Je finirais par vous donner le code du règlement :
Dernière édition par Ludo Steinfeld le Ven 22 Aoû - 14:57, édité 28 fois
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 9:02
Bienvenue à toi, qu'est ce que t'as foutu? J'ai cru que tu n'allais jamais venir
Bon courage pour ta fiche et n'hésite pas en cas de besoin
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 9:10
haaaan mais je me suis couchée de bonne heure hier soir et vous avez ouvert en traître en pleine nuit aussi
tu noteras que le premier truc que j'ai fait en me levant (juste après avoir fait couler le café parce que faut pas déconner non plus) c'est de venir check et de poster mon début de fiche
je poursui ça dans la journée
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 9:22
Eheheh, toi aussi t'étais impatiente Welcome !
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 9:33
Ludo Bienvenue sur le forum ! As-tu vu que tu étais sur l'un des headers? J'espère en tout cas que tu te plairas une nouvelle fois parmi nous. Si tu as des questions, je suis là ! On t'attends pour venir hanter la CB en attendant ta validation, et si tu peux, n'hésites pas à voter pour le forum, et à poster dans le sujet mission. Cela permettra de faire connaitre FOM
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 9:43
impatiente? le mot est très faible
uy j'ai vu pour le header, et je vois qu'on t'a pas fait passer le message qui disait "merfiiii ça fait chaud dans mon pitit coeur"
merfi tout le monde
et vous en faites pas pour la CB, je viendrais distribuer des cookies dés que j'aurais un peu avancé quant aux top je savais pas que je pouvais poster dans les missions tout de suite mais j'ai déjà voté
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 11:06
Messages : 2199 Membre du mois : 1 J'ai : 19 ans Je suis incarné(e) par : Emma Watson Crédit(s) : Avatar (c) ?? || Signature (c) quiet rot/tumblr/Kanala Je suis un(e) : Docteur queen femme médecin Vos Liens :
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 12:54
Messages : 8670 Membre du mois : 11 J'ai : 38 ans Je suis incarné(e) par : Christian Bale Crédit(s) : Kanala Je suis un(e) : Lucky Luke Vos Liens :
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 20:28
merfiii
et voila... pour moi c'est bon, si j'ai oublié un truc et bien je me recollerai au boulot bien sagement
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Jeu 21 Aoû - 22:22
Je te demanderais simplement de corriger quelques fautes qui se glissent, genre pas de "s" à héros, ou un e en trop à direct, quelques petites erreurs de conjugaison. Je chipote un peu mais ton texte est tellement bon que ce serait con de laisser quelques fautes du genre! Préviens moi quand c'est fait et je te validerais officiellement :p
Messages : 4465 Membre du mois : 6369 Je suis incarné(e) par : . Crédit(s) : (c)Kanala
Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Ven 22 Aoû - 5:15
han honte sur moi et y en avait plein vers la fin aussi
je viens de tout "bon-patronner"
contente que l'histoire plaise
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Sujet: Re: Ludo Steinfeld - If you don't know history, then you don't know anything. You are a leaf that doesn't know it is part of a tree. Ven 22 Aoû - 9:16
Félicitations Ludo Steinfeld
● Points de vie total : 20
● Niveau de compétence Fouille : 1/5
● Niveau de compétence Défense physique : 0/5
● Niveau de compétence Tir avec Arme à feu : 0/5
● Niveau de compétence soin : 0/0
● Niveau de compétence Arme Blanche : 0/5
● Niveau de compétence Esquive : 0/5
Te voilà validé sur FOM. Je me présente, je m’appelle pas Henri, je voudrais quand même bien réussir ma vie mais surtout… Être détesté ! Vous allez le comprendre, je suis impitoyable mouhahahahahahahaha *ou pas* Arhem, donc dans mon imence bonté, j’ai décidé d’être votre guideenfin c’est que, surtout, j’ai pas eu trop le choix ! On m’a forcé ! Si si je vous jure. Tous les liens ci-dessous sont à visiter Obligatoirement (oui avec un O majuscule en plein milieu de phrase ! C’est vraiment super important de le faire afin de pouvoir bénéficier de toutes les dimensions proposées par et sur le forum. On compte sur vous !Yes YOU CAN ! !