Je me suis dis que c'était encore un abrutit qui avait réussi à diffuser un message pour faire paniquer tout le monde. Alors je continuai de rouler en regardant la route blasé. Mais quelques minutes plus tard, la sonnerie de mon téléphone retenti et je décrochai. Ma mère m'annonçait en larme que mon père et mon frère était en train de détruire la porte de sa chambre pour entrer. Des cris, sortaient du micro du portable. Mais une fois la porte ouverte, ma mère prononça un dernier mot. Un mot que je n'avais jamais entendu. "Je t'aime". Et ce n'est qu'après ça qu'elle raccrocha pour ne pas que j'assiste à sa mort.
       
J'étais dans ma voiture, sur l'autoroute pour rentrer chez moi. Je fredonnais une chanson qui passait sur une vieille chaîne. La circulation était plutôt rapide pour l'instant. Le message passa, et on commençait à entendre certains cris affolés. Moi, je restai calme en pansant que c'était un genre de canular. Mais ce n'est qu'après avoir raccroché que je réfléchis à la situation. J'accélérai et doubla toutes les voitures avant que tout le monde fasse la même chose. Je tournai vers la plus proche station et m'enfonça dans les bois après avoir acheté quelques provisions.

       
J'ai passé plusieurs semaines seuls, dans les bois à espérer ne pas tomber sur un contaminé. Mais je n'avais plus rien. Plus d'eau, plus de nourriture. Je dormais sur la banquette arrière, un pied de biche collé contre ma poitrine et un couteau sur la ceinture. Peut-être que tout ceci allait s'arrêter. Peut-être que je vais me réveiller et je serais là, chez mes parents avec mon frère. Mais non. Chaque jour, je vivais le même calvaire. Pendant la nuit, j'allumai le contact, et revint sur mes pas pour venir sur la route. Mais elle était détruite, des voitures étaient entassées, comme s'il y'avait eu un accident. Alors, je longeai la route pour essayer de trouver une sortie. Mais la seule chose qui me semble assez calme était une prairie qui donnait sur des routes étroites. Je pris mon courage à deux mains et roula sur ces chemins... Je me suis fais une promesse que je tiendrais toute ma vie. Ne faire confiance à personne.

       
Je n'ai tué qu'un pauvre homme qui venait me demander quelque chose pour éteindre sa soif. Il donnait de gros coups dans ma portière pour m'appeler en poussant des cris stridents. Je regardai cet homme en laissant la fenêtre fermée et le pied de biche dans ma main. Je sortis quand cet homme tomba contre l'arbre. Je collai l'outil contre sa gorge en le regardant plein de rage, comme si c'était lui qui avait tué toute ma famille. Il me demandait de l'eau en toussant. Je regardai sa main et aperçue une morsure.  Je ne lui donna pas d'explication plus précise et lui enfonça le couteau dans la gorge. Je m'éloignai de deux mètres et enleva brutalement la lame qui a fait mon premier meurtre, laissant le cadavre tomber à terre.


               

               

▪▪ Lumos ▪▪ 11 ans  ▪▪ 17 si tout ce passe bien ▪▪ Google est ton ami    ▪▪ J'aime les zombies. Nan franchement j'adore l'histoire ▪▪ Rien ▪▪ Nope ▪▪
       

                nowgamer

Il n'y a franchement pas grand-chose à dire sur ma naissance. Le 12 octobre 1985 à 4 h du matin, ma mère sentit des contractions. "Pas né et déjà chiant" disait t-elle. L'accouchement se passa bien et quelques jours plus tard, elle quitta la maternité. Mes petits yeux découvrirent alors ma maison. Elle était belle à l'époque... De la tapisserie au parquet, des lustres aux meubles. Un petit pavillon à la campagne. Mon père travaillait dans une entreprise de gel douche, et ma mère était secrétaire. Ils avaient une belle vie tous les deux. Mais vers mes cinq ans, ils ont commencés à se disputer et mon ère devenait violent. Plus les disputes se répétaient, plus je voyais le visage de ma mère se dégradait. Ça pouvait aller de quelques bleus au nez cassé. Et ce qui était le plus bizarre, c'est qu'il venait tous les matins s'excuser avec des fleurs ! Vous imaginez un peu ? Moi je ne comprenais plus rien ! Un jour, pendant que mes parents se disputaient, j'ouvris la porte et cria que j'en avais marre de tout ça. Ils s'arrêtèrent et foncèrent sur moi pour venir me calmer. Et c'est à partir de ce jour, qu'ils décidèrent de se séparer. J'eu beaucoup de peine, mais je pense que c'était mieux comme ça. Depuis, je n'ai jamais revu mon père. 6 ans plus tard, ma mère tomba amoureuse d'un autre homme. Plus jeune quelle et au chômage. Il était vraiment sympa au début, mais il commença à planter du cannabis et autre saloperie de ce genre. Ma mère n'était pas au courant, il ne les montrait qu'à moi. Il essayait de temps en temps de me donner un ou deux plants, mais j'ai toujours refusé. Il commençait à être plus insistant et ma mère commençait à se douter de certaines choses. A seize ans, j'arrêtai mes études et resta à la maison. Ma mère finit par trouver les plants de cannabis, stupéfaite, elle m'appela moi, et mon soit disant "père". Elle demanda à qui appartenait tout ça en les pointant du doigt. Ayant souvent refusé  les proposition de mon père, il cria que ces plants étaient à-moi. Ma mère folle de range me met une claque et pare dans sa chambre. Deux ans plus tard, je décide de partir de la maison, seul.  La santé de ma mère s'aggrava et elle démissionna. A eux deux, ils ne pouvaient pas payer le loyer de la maison, alors elle fut racheter par une famille nombreuse. Mes parents emménagèrent dans un petit appartement en ville. Quant à moi, je restais seul dans mon petit studio. J'enchaînais les petits boulots pour payer mon loyers. J'optai finalement pour la plomberie. Mes parents eurent mon frère, que je n'ai jamais vu d'ailleurs. Puis en revenant du boulot, le message passa à la radio. Croyant que c'était un idiot qui voulait faire paniquer tout le monde, je continuai de rouler serins. Mais après avoir eu ma mère au téléphone, je doublai tout le monde et donna un coup de volant pour tourner devant une voiture et aller vers une station service.  J'achetai de l'eau, de la nourriture et quelques bouteilles de rhum (on ne sait jamais). Je remontai dans ma voiture et m'enfonça à toute vitesse dans la forêt. Une fois arrêté, je sortis le pied de biche de mon coffre et le couteau de mon père. Je remontai dans la voiture et me coucha sur la banquette arrière pour essayer de fermer l'œil. Mais pendant les trois premiers jours, je ne réussis pas à dormir. Je n'avais pas faim, pas soif. Je buvais seulement du rhum. Les paroles de ma mère résonnaient dans ma tête. Les autres jours furent mieux, je commençais à manger et à boire autre chose que de l'alcool. Je ne rencontrais personne à part quelques personnes qui passaient leurs chemins. Mais plus le temps passait, plus j'entendais des cris de zombies qui se rapprochaient. Alors j'essayai de ma rappeler le message qu'avait diffusés les autorités. "Allez vers le nord" ? Oui, c'était ça ! Je terminai mon repas et monta dans la voiture. Je traversai la forêt et finis par tomber sur une grande plaine.  On pouvait apercevoir des traces de pneus traverser le près. Je suivi cette piste qui m'amena sur des routes de campagne. Tout ce passait bien, jusqu'à ce que je tomba sur un carrefour. Puis je me rappela que j'avais une veille carte sous le siège. Je l'empoignai et la déplia pour essayer de m'y retrouver. Après quarante-trois minutes à examiner la carte, je réussis enfin à me trouver. Je suivis du doigt la direction à prendre en écarquillant les yeux. Y'avait tellement de route à faire ! J'étalai la carte sur mes genoux et reprit mon courage à deux mains. Je remis le contact et avança sur le chemin de droite. Plusieurs mois passèrent, et j'arrivai à destination. Ben ouais attend, entre Velva et Trois-Rivière, y'a du chemin ! La première chose que fis est de posa ma voiture à un endroit sûr, et de DORMIR.
               

   

● Points de vie total : 20

   ● Niveau de compétence Fouille : 0/5

   ● Niveau de compétence Défense physique : 1/5  

   ● Niveau de compétence Tir avec Arme à feu : 0/5

   ● Niveau de compétence soin : 0/5

   ● Niveau de compétence Arme Blanche : 0/5

   ● Niveau de compétence Esquive : 0/0

   

Te voilà validé sur FOM. Je me présente, je m’appelle pas Henri, je voudrais quand même bien réussir ma vie mais surtout… Être détesté !  Vous allez le comprendre, je suis impitoyable mouhahahahahahahaha *ou pas* Arhem, donc dans mon immense bonté, j’ai décidé d’être votre guide  enfin c’est que, surtout, j’ai pas eu trop le choix ! On m’a forcé ! Si si je vous jure. Tous les liens ci-dessous sont à visiter Obligatoirement (oui avec un O majuscule en plein milieu de phrase ! C’est vraiment super important de le faire afin de pouvoir bénéficier de toutes les dimensions proposées par et sur le forum. ) On compte sur vous ! Yes YOU CAN ! !