Sujet: Skeeter Summers - Killing me softly Sam 1 Oct - 15:01
Skeeter Summers
29 février 1988 ▪▪ C’est le début de l’histoire. De mon histoire. Ce jour est celui de ma naissance. Je suis né sous l’entière bienveillance de la lune, à 23h03 un jour qui n’existe qu’une fois tous les quatre ans. Je viens m’ajouter à ce groupe de personnes liées par le sang appelé « famille » et deviens la troisième fierté de mes parents. 12 juillet 1991 ▪▪ Au revoir Athènes, bonjour New York. J’ai trois ans lorsque mes parents bouleversent mes repères spatiaux. Je me suis adapté très facilement à ce nouvel environnement urbain. La Grèce ne me manquait pas. J'avais l’habitude d’y faire escale occasionnellement pour rendre visite à mes grands-parents. 11 septembre 2001 ▪▪ J'ai peur. Peur de ce que sera mon avenir sans elle. Elle m'a promis qu'elle serait toujours là pour moi. Mais elle m'a menti. Je veux qu'elle revienne. Je veux que cet avion n'ait jamais décollé. Je veux que cette tour ne se soit pas effondrée. Maman, papa... Revenez. Ne m'abandonnez pas. 7 novembre 2005 ▪▪ Il s’appelle Kit. Kit Hamilton. Il est différent des autres. Il aime la vie, il profite. Il n'a pas peur, lui. Il se fout des jugements et fait ce qu'il lui plait. Il se bat pour ce qu'il croit être juste. Il provoque en moi des sentiments paradoxaux. Je l'admire mais il m'agace. Il se comporte comme un gamin. Au fond de moi, je l'envie. Je crois que je l'aime et ce jour-là, je l'embrasse. 23 décembre 2013 ▪▪ Kit est mort. Je regarde son cercueil se noyer dans les enfers. Il m'a volé ma vie, mes espoirs. Plus rien ne fait sens. Je ne suis pas en colère, je ne suis pas triste, je n'éprouve plus rien. Qu'en est-il de moi ? Comment vivre sans lui ? Mon cœur est aveugle, il refuse d'accepter. Je suis en deuil, ni plus, ni moins. 9 juillet 2015 ▪▪ L’horreur. Cela fait des mois que l'on entend parler d'émeutes, d'épidémies, de guerres, de maladies. Cela me semblait si loin. J'ai fermé les yeux, égoïstement, sur les maux du monde. Pourtant, c'est arrivé. C'est arrivé dans mon pays, ma ville, ma rue. Ces personnes infectées ne sont plus humaines. Pourtant, j'ai pris conscience grâce à elles que je voulais vivre.
Famille et statut ▪▪ Nia Portokalos, mère, décédée en septembre 2001. Nick Summers, père, décédé en septembre 2001. Shelley Summers, sœur, en vie. Sawyer Summers, frère, disparu en août 2004. Kit Hamilton, fiancé, décédé en décembre 2013. David Kennedy, tuteur, en vie.
N°1 ▪▪ Comment avez-vous réagi, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ?
Je n’ai pas réagi. Pourtant, j’étais persuadé que c’était vrai. L’information me semblait trop dangereuse pour que ce soit un mensonge. Le gouvernement n’aurait jamais souhaité un mouvement de foule de cette ampleur. Ou alors dans quel but ? Les gens s’affolaient, paniquaient, s’inquiétaient, bref, ils perdaient la raison. Ils avaient peur. Et ils avaient raison. Quant à moi, j’étais anormalement calme.
N°2 ▪▪ Où étiez-vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet 2015, et comment y avez-vous survécu ?
Tous fuyaient vers le nord. Cela m’était impossible de partir sans lui dire adieu. Alors que New York était à feu et à sang, je faisais face à la tombe de Kit et j’ai exprimé des derniers mots. Lorsque la situation est devenue urgente, j’ai chevauché ma moto et j’ai roulé en direction de Coaticook. Seulement, le trajet s’est révélé plus difficile que prévu…
N°3 ▪▪ Comment êtes-vous arrivé à Trois-Rivières et ses environs ? Quel est votre plan de survie pour passer l'hiver ?
Je ne suis pas arrivé seul à Trois-Rivières. Nous avons marché deux semaines. Au cours de ces dernières semaines, beaucoup de mes camarades d’infortune sont morts. Certains ont été tués par des coups de feu de l’armée. Les autres par les infectés. Pendant deux mois, j’ai intégré un groupe de personnes appelé Padawan. C’est en se soutenant que j’ai survécu. J’essaye d’être solidaire, j’essaye d’être fort et d’être présent parce qu’il n’y a qu’en vivant en communauté que je peux survivre.
N°4 ▪▪ Avez-vous déjà tué d'autres humains? Pourquoi?
Oui. J’ai tué ces orphelins, ces vieillards, toutes ces personnes vulnérables qui furent dans la détresse et que j’ai croisées et laissées. J’ai renoncé à mes valeurs pour survivre. J’ai renoncé au syndrome du chevalier blanc. J’ai abandonné mon destrier et mon heaume au profit d’une paire de baskets et d’un masque d’individualisme. J’ai la chance d’être en bonne santé, en pleine possession de mes moyens physiques et intellectuels et j’en use tous les jours pour me sauver en oubliant les autres. Alors oui, j’ai déjà tué. Je tue tous les jours et je continuerai de tuer demain et les jours qui suivent jusqu’au jour où un étranger me tuera. C’est comme ça, c’est la loi du plus fort, du plus malin, du plus chanceux.
Entre vous et nous.
▪▪ Keet ▪▪ vingt-cinq ans ▪▪ Je ne peux pas évaluer ma présence, cela dépendra de mon emploi du temps et de mon intégration. Je peux aussi bien être très actif en RP et HRP que devenir un membre fantôme selon comment je me sens. ▪▪ Comment avez-vous connu le forum? Sur un TOP mais je ne sais plus lequel. ▪▪ Qu'est-ce qui vous a poussé à vous inscrire? Le contexte, le mode de jeu, l’envie de jouer dans un forum sombre avec de l’action. ▪▪ Qu'est-ce qui vous a rebuté? Il y a beaucoup d’informations, dans plusieurs annexes. Les repères chronologiques sont difficiles à suivre de même que les intrigues. Je me suis perdu à la lecture. Je vais avoir besoin que vous me guidiez. ▪▪ Quelque chose à ajouter? Respect pour le boulot ! Et… Je ne sais pas… J’aime Pokemon peut-être ? ▪▪
Dernière édition par Skeeter Summers le Dim 2 Oct - 9:48, édité 2 fois
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Sam 1 Oct - 15:02
Règle 32 : Savourer les petites choses.
Mon histoire n’a pas réellement de valeur. Je vais plutôt vous raconter ces derniers mois, depuis qu’ils ont débarqué, depuis que la vie est devenue une survie.
juillet 2015
Il n’y a rien que je puisse faire. Je me poste droit devant lui, fixe son nom et me souviens. Je me souviens de notre rencontre, de notre complicité et de nos engueulades, de tout ce qui apportait à notre relation le sentiment d’être différent. « C’est la fin. Plus rien ne sera comme avant. Je vais me battre et survivre. Je te le promets. Je t’aime. » Mes paupières déclinent trois secondes et j’accélère le pas avant de trottiner puis courir vers mon deux roues que j’enfourche. Le casque assurément attaché, je fonce à travers les rues et quitte New York sans encombre.
Bridgeport a marqué le début des ennuis. Le pneu arrière éclate, je chute de ma bécane. Cet accident me coûte quelques égratignures. Autour de moi, les gens hurlent, courent, se battent. J’entends un coup de feu mais l’écho m’empêche d’en identifier la provenance. Ce tir m’insécurise et je fonce me réfugier vers un immeuble. Apeuré, je monte les étages. Je cogne à toutes les portes. « S’il-vous-plait, ouvrez-moi ! Je vous en supplie ! » Je tambourine chaque porte à coup de poings et de pieds, paniqué, mais je comprends que personne ne me sauvera. Ils sont morts de peur. Un infecté apparaît dans le couloir. Je n’ai pas d’échappatoire. Je me prépare à la confrontation quand une porte s’ouvre. J’entraperçois un homme âgé. Il me lance une batte de baseball et referme la porte derrière lui. Sans attendre, je fracasse le crâne de l’infecté avec la batte. Je cogne, encore et encore, avec acharnement. Je quitte Bridgeport quelques jours plus tard après avoir trouvé un abri. Il n’y a plus de cris dehors. Je me faufile dans les rues, entre les voitures, esquivant silencieusement tout infecté, tout humain.
Je me guide vers le nord en prenant des chemins non fréquentés. Parfois je rejoins quelques routes perdues. Je repère dans certains véhicules abandonnés de quoi me ravitailler : sandwichs, eau, trousse de premier de secours, vêtements. Je marche, toujours, pendant plusieurs jours. Sur le trajet je croise quelques personnes. Certains d’entre eux m’aideront à avancer. Je ne trouve aucune arme, rien pour me défendre. Ma batte de baseball demeure compagnie. Les jours se succèdent aussi bien que les kilomètres m’éloignant de la frontière se raccourcissent.
Je traverse Saint-Johnsbury lorsque je suis confronté à un gang de bikers. Ils m’encerclent sur le pont de l’US-2. Trois d’entre eux sont au bout du pont, deux sont derrière moi, au début du pont. Plusieurs mètres nous séparent. Cela me semble être un piège. Comme si les entrées et les sorties de ce pont sont surveillées. L’un des motards me surnomme « petit » et me prévient que c’est dangereux de rester seul. Il s’avance vers moi et me propose de faire la route avec eux. Avant qu’il ne m’atteigne, je recule, surveillant mes arrière. Je n’ai pas confiance. Il s’arrête d’avancer, commente que je suis méfiant, que c’est une qualité pour rester en vie. Je comprends qu’il m’incite à garder mes positions. Le leadeur se présente sous le nom de Steeve et me promet qu’il ne me veut aucun mal. Sa voix semble sincère ; mais pourquoi insister ? Mes genoux légèrement cambrés sont prêts à décamper. Plus il souhaite que je le suive, moins je lui fais confiance. Le biker tente une nouvelle approche. Il me pousse à reculer encore de quelques mètres. Ceux derrière moi campent sur leurs engins. Je ne peux plus reculer désormais. Ma seule chance est de fuir. Je me jette hâtivement dans Passumpsic River. Mon sac-à-dos me force à remonter à la surface et je dérive jusqu’à Northeastern Vermont Regional Hospital, deux kilomètres plus loin. Là, je me repose quelques heures.
Je suis à moins d’une journée de marche pour rejoindre la frontière. Je décide de fouiller l’hôpital. J’y trouve un scalpel et du désinfectant. L’hôpital est infesté d’infectés mais certains services sont sûrs. En pédiatrie, je rencontre une femme, Nora, et sa fille, Emily. Elles se sont enfermées dans la chambre d’Emily. Nora me demande de rester avec elles. Elle me supplie de les aider. Elle me confie avec discrétion qu'Emily est gravement malade. Elle ne peut pas tuer sa fille et me témoigne sa détresse. Son regard est envahi de désespoir et de détresse alors j’accepte. J’accepte de tuer sa fille pour la libérer de ce poids mais sous mes conditions. « Dîtes-lui que vous allez au distributeur et que vous me la confiez pendant ce temps. » Je refuse que Nora soit témoin du meurtre de sa fille. Elle s’exécute. Dans la chambre, j’enlace Emily qui cherche du réconfort auprès de moi. Je prends mon scalpel et je l’enfonce sèchement dans le crâne. Ce moment est particulièrement difficile. Je suis habituellement sage dans mes émotions. Je semble indifférent à tout, comme un étranger. Mais là, c’était insupportable et je suis bouleversé. Je continue de serrer le corps de cette gamine plus que je ne le devrais. Il me faut une poignée de minutes pour me ressaisir. Je l’allonge dans le lit et la couvre d’un drap. Nora s’effondre et je la quitte sans un regard.
août 2015
Je fais partie d’un groupe. C’est en atteignant la frontière que j’ai croisé ces personnes avec lesquelles je me suis lié. L’objectif est de se soutenir et d’éviter autant que possible les autres communautés regroupées à Coaticook. Nous sommes réfugiés dans des fermes aux alentours. Je me suis reconnu dans leur état d’esprit. Vivre ensemble, s’entraider mais sans dépendre les uns des autres. Cela me permet de garder mon indépendance. Au fil des jours, je finis par en apprécier certains. Je m’attache à eux. Bien qu’isolé des autres groupes, cela ne me prive pas de faire d’autres rencontres plus ou moins agréables. La vie semble s’installer sereinement. Nous cultivons, rénovons. Chacun de nous a une tâche précise. La plupart du temps, je patrouille pour assurer la sécurité du groupe. Je suis aussi appelé pour soigner des blessures. Pour l’instant, ce quotidien me convient. Mes relations évoluent, j’apprends à sourire, à rire, à me confier… A redevenir celui que j’étais…
Penser que cette période lune de miel durerait était une erreur. Nous apprenons qu’une horde d’infectés s’est déchaînée contre nos défenses au sud. Certains de mes camarades s’y trouvaient. Je me suis senti impuissant. J’ai conscience que je ne peux pas sauver le monde. Je dois espérer que les miens s’en sortent…
septembre et octobre 2015
La survie reprend son cours. Je suis intégré à mon clan. Mais me voici tourmenté dans cet esprit de camaraderie. Je me demande s’ils sont mes amis, ou bien si nous restons ensemble uniquement parce que nous le devons. De fait, je n’ai pas d’autre choix que de leur faire confiance.
Les rumeurs courent selon quoi un nouveau groupe se serait créé. Leur chef, surnommé le prophète, justifie l’apocalypse par la volonté de Dieu. Je pense tout simplement que ce gars est un malade. Je pense que son discours est dangereux et qu’il va tuer des innocents, des personnes influençables qui aveuglées par la peur se font manipuler. Tout au long de ces semaines, j’évite soigneusement de les rencontrer. Lorsque cela s’impose à moi, je me sens fortement farouche.
A la fin du mois, nous sommes victimes d’une foule d’infectés et d’une attaque de l’armée. Les plombs transpercent les chairs, les blessés hurlent à mort. Il faut esquiver, se couvrir, se cacher et se défendre. Ceux au mauvais endroit n’ont eu aucune chance. Je revis le mois de juillet. La souffrance fait partie de notre histoire et elle continue d’exister. Nous sommes contraints de nous éclater et de nous disperser.
novembre 2015 à aujourd'hui
Philipe Esclavier est le chef de notre groupe. C’est lui qui domine la marche. Ce n’est pas un homme simple à comprendre mais il est d’une grande loyauté. Il pense à l’intérêt commun. Ses décisions sont fines et son instinct protecteur. C’est un homme honnête à qui je fais confiance et que je suivrai jusqu’à la fin. Il a ses défauts, comme nous tous. Nous avançons difficilement, le froid et la fatigue tue chaque jour nos membres. Le silence prouve notre état d’esprit. Certains pensent à se donner la mort. Puis, la radio de Philippe se réveille. Un rébus de message est entendu. Cela génère de l’espoir. Peut-être trop. Mais s’ils retrouvent de la force physique et morale, je l’accepte et je ne dis rien. J’apporte du soutien et je me veux rassurant, notamment pour les enfants.
Après de nouvelles péripéties, nous débarquons sur la zone du parc de la Rivière Bastican. Nous y sommes installés et nous affrontons l’hiver. De nouvelles personnes nous ont rejoint. Notre groupe se renforce et une nouvelle fois nous profitons du calme. Mais chacun de nous sait que cela ne durera pas et que de nouveau un drame surviendra.
Dernière édition par Skeeter Summers le Mer 5 Oct - 18:08, édité 12 fois
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Sam 1 Oct - 15:06
Messages : 2553 Membre du mois : 0 Je suis incarné(e) par : Chris Pratt Crédit(s) : Sheeren Je suis un(e) : Lucky Luke Vos Liens :
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Sam 1 Oct - 15:37
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche ! Si tu as besoin, n'hésite pas à embêter le staff :p (et un infirmier chez les égarés, il va nous falloir un lien )
Messages : 2199 Membre du mois : 1 J'ai : 19 ans Je suis incarné(e) par : Emma Watson Crédit(s) : Avatar (c) ?? || Signature (c) quiet rot/tumblr/Kanala Je suis un(e) : Docteur queen femme médecin Vos Liens :
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Philippe, mon père, tout ce qu'il me reste.
Juliette, l'ex compagne de mon père que je n'arrive pas à détester.
Gabriel, celui que je pensais être mon frère (c)tumblr pour tous les gifs
Mes hauts faits :
Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Sam 1 Oct - 15:51
Hey !
Merci à vous,
Aucun problème pour Skittles. Par contre, je ne me fais pas croquer le premier soir, je ne suis pas ce genre de garçon.
Un lien ! Avec plaisir, ça rassure.
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Sam 1 Oct - 16:19
Bienvenu par ici Skeeter !
Bon courage pour ta fiche, et au plaisir de se croiser en RP !
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Sam 1 Oct - 16:41
Oh tu sais en pleine apocalypse zombie, les principes hein :D
La vie est dure, et pourtant, tout le monde s'y accroche.
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Dim 2 Oct - 13:49
Merci, merci !
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Mer 5 Oct - 7:22
Bienvenue
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Mer 5 Oct - 12:38
merci !
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Mer 5 Oct - 16:18
Messages : 8670 Membre du mois : 11 J'ai : 38 ans Je suis incarné(e) par : Christian Bale Crédit(s) : Kanala Je suis un(e) : Lucky Luke Vos Liens :
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Ma fille, pour qui j'endurerais tout.
Ma partenaire, mon amie, ma compagne
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Mer 5 Oct - 16:22
J'avance doucement.
Je me suis relu et il me reste la fin à écrire, j'essaye de bien suivre "résumé des intrigues précédentes" et "chapitre un" pour ne pas commettre de bourdes...
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Sujet: Re: Skeeter Summers - Killing me softly Mer 5 Oct - 20:20
Me voilà !
Alors tout d'abord: - Pour les infos aucun souci, on va guider au fur et à mesure ^^ - Pour l'activité; on demande simplement en cas de ralentissement de nous prévenir. Après on ne laisse pas les gens devenir membres fantômes, soit ils jouent à leur rythme, soit on les supprime s'ils se sont inscrits et ne font rien derrière ^^ - Tu n'as pas rempli dans ta fiche le crédit de ton avatar, penses bien à l'ajouter :p - Pour l'histoire j'aimerais avoir un passage, fut-il bref, pour savoir ce que tu faisais avant; où tu vivais, ce que tu faisais, ce genre de choses, histoire de contextualiser un peu ^^ - Un scalpel dans la tête ça me semble un peu chelou; un scalpel tranche mais ça me semble vraiment trop fragile et trop fin surtout, pour percer un crâne comme ça. Je me trompe peut être, je vais me renseigner. - On ne cultive pas encore en pleine grande panique, à l'été 2015. L'Etat se bat encore, les camps de réfugiés sont encore organisés et les récoltes sont de toutes façons déjà faites, ou abandonnées sur place par ceux qui savent s'en occuper. A ce moment-là, les survivants se cachent, pillent ou se rationnent, mais on n'est pas encore dans une logique d'auto-suffisance; la situation part en vrille mais tout n'est pas encore perdu.
Sinon c'est très bien écrit et dans sa majeure partie parfaitement assimilé pour le contexte! Il n'y a que les quelques détails sur le dessus :p -