Comment avez vous réagi, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? J'ai toujours été attiré par tout ce qui sort de l'ordinaire, avant tout ce foutoir j'étais quelqu'un de plutôt solitaire et casanier, je passais de longues heures avec pour seule compagnie mon ordinateur. J'aimais profondément l'informatique, enfin, surtout internet quoi. De nature assez paranoïaque je suis tout de suite rentré dans le jeu de nombreux sites farfelus tenue par des fanatiques de théorie du complot. Que ce soit les OVNIS, la fin du monde annoncé en 2012, les théories sur les reptiliens ou encore les illuminatis, j'étais friande de ce genre d'informations et je croyais un peu à tout et n'importe quoi. Alors, quand j'ai entendu parler de cette fameuse épidémie, je suis bien évidemment allé fouiller les méandres du net pour y recueillir des témoignages, des vidéos ou encore toutes sortes d'informations sur le sujet. Après plusieurs nuits passé à fouiner sur la toile, quelques dizaines d'articles et de vidéos plus tard je ne savais pas trop quoi en penser. Cette épidémie avait l'air relativement sérieuse mais arriverait-elle jusqu'à nous ? Soyons sérieux une minute, certes la société peut laisser toute la population du tiers-monde mourir sans pitier mais nous les Américains ne courront clairement aucun risque. J'ai suivi le sujet quotidiennement sur internet, sans trop le prendre au sérieux non plus, après tout l'engouement suscité à l'annonce de la fin du monde du 21 décembre 2012, je ne voulais pas trop me monter la tête pour rien une fois de plus. Si j'avais su...

Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? La Grande Panique, je ne m'en souviens que trop bien, pendant quelques secondes j'ai cru être en plein cauchemar, sauf que cette fois-ci je ne me suis pas réveillé.
C'était clairement l'enfer, j'ai vu les gens courir pour sauver leur vie, j'ai vu des mères cherchaient leurs enfants, j'ai vu des gens pleurer de désespoirs et hurler leur colère en tenant un cadavre à moitié dévoré dans leur bras, j'ai aussi vu la mort pour la première fois, qui aurait cru que la première fois que je verrais passer quelqu'un de l'autre côté, serait en étant mangé vivant par un zombie. J'ai vu tant de gens en détresse à travers les vitres de notre voiture mais je n'ai rien fait. A ce moment il n'y avait rien d'autre que des animaux en proie à leur instinct le plus fort... l'instinct de survie, on ne se doute pas de ce que l'on est capable de faire pour survivre. Je n'ai jamais fait aucun effort pour vivre, mais la survie c'est différent, ça te prend aux tripes, tu ne réfléchis plus, tu agis. C'est ce que j'ai dû faire j'ai dû agir, nous avions dû quitter notre voiture, il était impossible d'avancer dans cette jungle qu'étais devenu la ville, les voitures étaient abandonnées ça et là. Toute la ville était partie en même temps, créant ainsi un gigantesque embouteillage. Nous marchions d'un pas vif vers le nord, comme l'avait conseillé les messages d'urgences diffusés par le gouvernement. Nous n'étions pas prêt pour ça, nous n'étions certainement pas assez prudent, à l'heure actuelle je n'aurais pas fait cette erreur, mais pourtant c'est arrivé tout bêtement. De nombreuses voitures abandonnés parsemaient la route et nous slalomions entre celles-ci comme tout le monde, nous n'avions pas vu ses deux zombies qui étaient derrière l'une d'elle en train de terminer un repas, c'est ici que mon père s'est fait attraper.. Ce fut rapide je n'ai rien pu faire, je l'entend encore hurler mon nom lorsqu'il s'est fait arracher les entrailles. J'ai juste couru à en perdre haleine, aussi loin que mes jambes pouvaient me porter. Il fallait que je sorte de la ville. C'est ici que ma mère et moi avons été séparées. 

Comment êtes vous arrivé à Coaticook et ses environs ? Quel est votre plan de survie, à court terme ? J'ai suivi le plan de base, une fois sortis de la ville, après avoir repris mes esprits j'ai continué à marcher vers le nord. Beaucoup de gens avaient dû mourir en essayant de fuir le chaos de la ville, renforcent ainsi, pour ceux qui n'avaient pas été dévoré entièrement, le camp adverse. J'étais seule et presque sans provisions, j'étais à pied, je n'irais pas bien loin. C'est au bout de quelques semaines que j'ai frôlé la mort, Eva m'a sauvé la vie et Chloé m'a soigné. Depuis je suis resté vers Coaticook.

Mon histoire commence dans une chambre d'hôpital, comme tout le monde penserez-vous. Sauf que moi, je suis née à l'âge de 21 ans. J'ai appris par la suite que j'étais victime d'une amnésie d'identité, cela implique l'oubli de l'ensemble des souvenirs personnels, nom de famille, profession etc. Mon nom était Léna, Léna Strife, il ne m'était pas familier tout comme le reflet que me renvoyé le miroir ou ces étrangers qui prétendaient être mes parents. Les médecins ne savaient pas trop si la mémoire allée me revenir, je peux maintenant vous dire qu'elle n'est jamais revenue. Je suis restée plusieurs semaines à l'hôpital, avant de retourner chez ce qui était censé être chez moi. Comment ce lieu que je ne connaissais pas pouvait-il être ma maison ? Mickael et Betty, ceux qui étaient mes parents étaient tous deux architectes, ils avaient l'air d'être plutôt aisés, ils avaient eux-mêmes fait les plans de notre maison. J'étais troublé, je savais qu'ils étaient mes parents, qu'il y avait un lien entre nous et pourtant ces deux étrangers me mettaient très mal à l'aise. Ils étaient si gentils, ils voulaient tellement que la mémoire me revienne, nous avons regardé de nombreux albums de familles, avant et après ma naissance, les cadeaux que j'avais offerts à mes parents étant petite pour diverses occasions, ce collier de pattes ne me parlé vraiment pas pourtant....




Même sans l'avoir vécue j'ai beaucoup appris sur mon ancienne vie. Mickael et Betty se sont rencontrés pendant leurs études d'architectures. Peu après l'obtention de leur diplôme ils se sont mariés et ont décidé d'avoir leur premier enfant, moi-même. Je suis né dans la ville de Chicago qui se trouve dans l'état de l'Illinois lui même situé aux États-Unis. J'étais une enfant plutôt sage et studieuse d'après mes parents.. Pendant l'adolescence il y aurait eu peu de travers. Je n'ai jamais fumé, je n'ai jamais fugué, je ne suis jamais rentrée ivre à la maison et je ne suis jamais tombée enceinte. J'ai obtenu mon baccalauréat avec mention. J'ai ensuite entamé des études de médecines à l'université de l'Illinois à Chicago, comme nous étions sur place je n'ai jamais quitté le domicile familiale.
J'ai évidemment fait mes propres recherches sur qui j'étais avant l'accident, je me suis rapidement rendu compte que la vision de Mickaël et Betty envers l'ancienne Léna était quelques peu idyllique, il était clair que personne sur cette terre ne peut être aussi parfait.


Lorsque suis rentré à la maison j'ai décidé de fouiller ma chambre de fond en comble. J'allais enfin pouvoir découvrir qui j'étais. La chambre était spacieuse et lumineuse et vraiment impeccable, rien ne dépasser. Les murs étaient couleur taupe et j'avais harmonisée les couleurs de mon mobilier dans les tons verts clairs, ce qui donnait une ambiance très zen à cette pièce. Je me souviens l'avoir inspecté sous tous ses angles, j'avais l'impression de fouiller dans les affaires de quelqu'un d'autre. Il me semble avoir directement remarqué cette immense bibliothèque remplis d'ouvrages, à ma grande surprise ils étaient rangés par auteur et par ordre alphabétique, je remarquais rapidement une étagère entière dédiée à la médecine, mes parents m'avaient en effet spécifiés que j'étais étudiante en 5ème année de médecine, j'étais d'après eux une élève vraiment brillante. J'ai par la suite fait la découverte de mon dressing et j'en fus plutôt satisfaite, il est clair que j'avais une belle garde-robe, plutôt chic mais sans trop en faire non plus. Un bon point pour toi ancienne Léna. J'ai ouvert tous les tiroirs que j'ai pu trouver, inspectant même la marque du paquet de chewing-gum posé sur le bureau.
Je suis enfin arrivée sur l'ordinateur, j'ai lu les historiques de conversation, je voulais savoir qui étaient mes amis, ce que je pouvais avoir comme informations sur eux, ma manière de parler ou d'écrire. Il fallait absolument que je me retrouve... En fouillant mon propre disque dure externe j'y ai découvert un véritable trésor de photos, de vidéos, de moi, de mes amis, ou encore de mes amours. En dehors du contexte familial je n'avais pas vraiment l'air d'être le petit ange décrit par mes parents. Mes historiques de conversations Facebook m'ont appris que j'avais eu des relations plus ou moins longues avec plusieurs garçons, j'avais l'air d'avoir bon goût.




Au fil des mois, j'ai compris que je ne retrouverais jamais la mémoire. Mes amis qui furent très présent au début désertèrent les uns après les autres, j'avais l'impression de leur faire peurs, ils ne voyaient plus en moi celle que j'avais été. Je ne les connaissais pas après tout et la réciproque était vraie. J'ai essayé, j'ai fait de mon mieux pour essayer de maintenir la vie que j'avais avant mais je n'ai pas réussis, c'était trop difficile d'essayer d'être quelqu'un d'autre. Mickaël et Betty étaient des parents extraordinaires pour moi, mais je voyais bien qu'ils espérés à tout prix que je me souvienne de tout. J'ai fais de mon mieux pour retrouver la vie que j'ai perdue, pour ne pas les décevoirs mais je n'y arrive pas, je m'en veux. Je m'en veux pour ses parents qui ne retrouveront jamais leur fille et je m'en veux d'être dans ce corps qui me donne l'impression de ne pas m'appartenir. Ce visage que je vois chaque jour dans le miroir et maintenant le mien, il est temps de faire le deuil de l'ancienne Léna.



Au fil des années nous avons appris à vivre ensemble, Mickaël et Betty sont devenues pour moi une famille, j'ai l'impression qu'ils ont fait le deuil de leur fille. Ils doivent sans doute la regretter, je ne suis pas aussi douée, j'ai du mal à me concentrer et à trouver quelque chose qui m'intéresse, j'ai d'abord essayé de reprendre les études de médecines là où elle les avait laissé, mais ce fut un échec, bizarrement j'avais du mal avec la médecine et particulièrement avec l'anatomie humaine vue de l'intérieur, lorsque je me suis retrouvée en cours de pratique pour la première fois, face à mon cadavre-cobaye, je me suis évanouie au moment même ou mon binôme à planté le bistouri sur son ventre. J'ai finalement décidée de faire des études d'informatique, mes parents mon soutenue dans ce choix mais je sais bien qu'ils étaient déçus. J'ai arrêté après le premier semestre c'était vraiment pas passionnant. Depuis je n'ai pas fais grand chose, je passe la plupart de mon temps enfermé dans ma chambre, je n'ai pas d'amis, pas de passions. Je perds pas mal de temps sur l'ordinateur, je joue beaucoup aux consoles ça me permet sûrement de m'évader un peu.


C'était vraiment fou, j'avais clairement l'impression d'être en enfer, ma vie n'était-elle pas déjà assez compliqué ? Pourquoi avait-il fallut qu'un événement de ce genre arrive à mon époque. Les gens étaient dans un état second, presque animal. Certains c'était barricadés chez eux, d'autre comme nous ont préférés fuir. Fuir ce fléau qui s'abattait sur nous, l'épidémie, cette même épidémie que j'avais suivis à travers des vidéos sur internet était arrivée jusqu'à nous et personne n'avait rien pu faire, cela semblait fou mais c'était pourtant bien la réalité. Les infectés étaient des êtres plus répugnants que tout ce que l'on peut imaginer. Et au milieu d'une foule de gens hystériques ils peuvent faire des ravages croyez moi. Je ne sais pas combien de personnes ont périt en essayant de fuir ou en essayant de se cacher mais les pertes ont été lourdes, j'ai vu de nombreux corps partiellement parfois presque entièrement dévorés. Nous étions partis en voiture mais en route nous avons dû l'abandonner. Nous avons continué à fuir la ville mais à pied, direction le Canada, seul endroit sur d'après les messages diffusés par le gouvernement. Sur le chemin suite à une attaque mon père est décédé est ma mère et moi avons été séparés. Je continue donc ma route seule en direction du nord, je ne les connais que depuis 2 ans, mais lorsque mon père a perdu la vie, j'ai senti un immense chagrin monter en moi. Difficile de faire son deuil dans des circonstances comme celle-là... J'espère que ma mère arrivera à destination et que nous pourrons nous retrouver.


J'ai tenté de rejoindre le Canada tant bien que mal, j'étais loin d'être une grande aventurière. Les premiers jours furent sans doute les pires, j'avais décidé de rester loin des grands axes préférant les endroits reculés afin de croiser le moins de monde possible. Vivant où mort dans un monde comme celui-là il était difficile de faire confiance à quelqu'un. Je pouvais à tout moment me faire dépouiller du peu de biens que j'avais où pire me faire manger vivante par des monstres. Je n'avais en ma possession qu'un sac-à-dos contenant quelques provisions et des vêtements de rechanges mais je devais à tout prix les conserver. Les nuits étaient longues et froides, il m'était difficile de trouver le sommeil, le moindre bruit pouvait être une menace. Après le manque de sommeil, il y eu le manque de nourriture et d'eau, il m'arrivait parfois de passer dans des villages. Je me suis quelques fois aventurée à la recherche de nourriture dans des maisons abandonnées, j'y suis parfois resté quelques jours, bien que la plupart aient déjà étaient pillés, il était agréable de retrouver un semblant de sécurité.. Le plus compliqué était de ne pas faire de mauvaises rencontres, les humains comme les zombies me paraissaient dangereux. J'étais très prudente et discrète dans ces moments-là, la moindre erreur pouvait être fatale... J'ai peu à peu perdu la notion du temps, la solitude, le manque de sommeil et de nourriture ont mis mon corps et mon mental à rude épreuve. J'avais l'impression de n'être plus qu'une ombre, un corps sans âme ou presque, animé seulement par l'envie de vivre.


J'étais endormis, quand j'ai été réveillée par un coup de feu et des hurlements, je me suis réveillée en sursaut, la première chose qui m'est venue à l'esprit fut de fuir dans la direction opposée. Mais il y a eu ce cri d'enfant, je n'ai pas vraiment réfléchis,  j'ai foncé. Il était trop tard quand je suis arrivée, il n'y avait plus qu'une dizaine de contaminés autour de cette pauvre famille. Je ne pouvais plus rien pour-eux, et les zombies étaient trop nombreux pour que je puisse récupérée leur affaires. A bout de souffle j'ai rebroussé chemin, dans ma course je n'avais pas vu que j'étais passée à côté de plusieurs infectés. L'un d'eux m'avait repéré il fallait que je lui échappe, j'ai couru sur un peu plus d'une centaine de mètres avant que mon pied se prenne dans une racine, j'ai chuté sur plusieurs mètre avant qu'une pierre stop net ma chute. Pendant un instant je ne voyais plus rien, le choc fut brutal. Un liquide chaud s'écoula le long de mon visage, sûrement du sang, mon sang c'était la fin, un zombie avancé vers moi, j'étais trop faible pour bouger, c'est dans une tentative désespérée pour vivre que j'ai tenté de ramper pour lui échapper, il arrivait vers moi, je me sentais partir. Un instant avant de perdre connaissance j'ai vu une silhouette s'avancer vers lui et trancher sa gorge d'un coup net avant de laisser tomber son corps au sol... Puis plus rien
.
…

J'avais mal, mon corps tout entier n'étais que douleur, j'étais éveillé mais trop faible pour ouvrir les yeux ou faire le moindre mouvement. Je fus presque heureuse de souffrir à ce moment précis, j'étais bien vivante. La fille qui avait égorgé l'infecté avait dû me traîner je ne sais où mais dans quel but ? Je n'eus pas le temps de trop me poser de question, ma tête était terriblement douloureuse et je retombais rapidement dans les bras de Morphée.


…

Lorsque j'ouvris les yeux je découvris l'intérieur d'une maison, je m'assis sur le bord du lit dans lequel je me trouvais, chaque mouvement était difficile à effectuer, mon corps étaient lourds, mes bras et mes jambes étaient couverts de bleus et d'hématomes, j'avais fait une belle chute et j'étais plutôt contente de m'en être sortie sans trop d'encombre, je n'avais apparemment aucune fracture, seulement un bandage à la tête. Des voix se firent entendre dans la pièce à côté, je n'étais pas seule. Ceux qui m'avaient soignés étaient là. Je senti mon coeur s'accélérer dans ma poitrine, j'étais partagée, j'avais du mal à savoir pourquoi des gens auraient pris la peine de m'aider.


Une jeune fille apparu dans l'entrebâillement de la porte, elle était jeune, 20 ans, voir moins... A l'âge où sa vie aurait dû commencer elle était plongée en pleine apocalypse. L'apocalypse, la fin du monde, ou plutôt la fin de l'humanité semblait arrivé à grands pas, combien d'entre nous avait déjà péris ? Combien de temps faudra-il pour qu'il ne reste plus personne... Avons nous seulement une chance de retrouver une once de sécurité ? Ou allons nous seulement survivre jusqu'au jour ou nous deviendrons des proies.
Je suis restée ici plusieurs jours, Chloé a pris soin de moi c'est une fille sympathique et plutôt joyeuse au vu de ce qu'il se passe dans le monde actuellement. Elle passe la plupart de son temps ici, avec moi, j'ai cru comprendre qu'elle ne pouvait pas vraiment partir quand elle le voulait.  Malgré son jeune âge, elle possède quelques compétences vraiment utiles en médecine. J'ai appris que la fille qui m'a sauvé dans les bois s'appelle Eva, elle aurait assisté à ma fuite, à ma chute et m'aurait sauvé la vie puis ramenée ici afin que je puisse recevoir des soins appropriés, quand elle m'a ramassé j'étais en piteux état. D'après Chloé j'étais déshydratée et en malnutrition, j'avais de nombreuses contusions sur le corps et j'aurais eu besoin d'une dizaine de points de suture au niveau du  front. Je me remet sur pied doucement, d'après Chloé j'étais bientôt arrivée dans ce qui était la zone sûre mais en fait il n'y a rien là-bas. Je ne sais pas trop quoi faire, j'aimerais retrouver ma mère mais le plus judicieux serait peut-être de rester avec ces gens. Ils ont l'air de savoir ce qu'ils font si je parviens à me rendre utile peut-être que je pourrais rester avec eux.
.Blabla, Blabla, Blabla, Blabla et Blabla

Code:

<span class="Gp1">Blabla</span>, <span class="Gp2">Blabla</span>, <span class="Gp3">Blabla</span>, <span class="Gp4">Blabla</span> et <span class="Gp5">Blabla</span>

Salut moi c'est Betty J'ai /   et je suis passionnée de /Voici mon avis sur le forum : / Je finirais par vous donner le code du règlement :