Sujet: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Ven 12 Sep - 23:21
Morgane Beaulieu
Feat Odette Annable
Avant tout autre chose, rendons à César ce qui est à César. Mon avatar a été fait par : Maybe Tomorrow.
Je suis né(e) le 12/05/1987 à Laval (Canada). On me décrit souvent comme étant Sans scrupule, vénale, solitaire, sociopathe, sensuelle, discrète, tacticienne. J'ai décidé de me spécialiser dans un domaine. Appelez moi à présent : Jane Storm Entre survivants, on doit se serrer les coudes. Ainsi, je fais partie du groupe Marche Comme tout le monde, j'avais une famille. Aujourd'hui, ils sont tous morts.
Comment avez vous réagi, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? Franchement, je m'en fichais complétement. Si je devais prendre peur à chaque fois que quelqu'un crie au loup dans notre monde occidental... La grippe H1N1, la vache folle, Ebola aussi, rien, franchement, rien n'a jamais été vraiment crédible. Alors la Rage Africaine... Franchement, le nom était tellement risible. Et je ne suis pas particulièrement altruiste. Ce qu'il se passe à l'autre bout du monde, je n'en ai clairement rien à foutre. Quand j'ai commencé à m'intéresser au problème, celui ci grattait déjà à ma porte... Comme beaucoup de gens, sans doute. A force de crier au loup pour rien, on a tendance à plus le reconnaître quand on le voit pour de bon.
Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? Chicago, au bord des grands lacs. J'étais là bas pour « affaires », si vous voyez ce que je veux dire. C'était franchement moche à voir. Ce voyage a été un fiasco du début à la fin.Ca a commencé par une mauvaise organisation de notre casse, puis ça a dérapé encore plus. L'un de nous s'est fait mordre par un SDF en essayant de fuir la police, quand celle ci a pointé le bout de son nez. On s'est tous fait coffrer, et franchement... Le pire que j'ai jamais connu. Le pire. J'avais même pitié de tous ces gens autour de moi, qui se faisaient dépecer vivants.
Comment êtes vous arrivé à Coaticook et ses environs ? Quel est votre plan de survie, à court terme ? Cela a pris du temps, beaucoup de temps. Je ne suis pas très fière de ce que j'ai dû faire pour réussir à parvenir jusqu'ici. Et quand je pense à tous ces gens sur la route... Franchement, c'est pas tant que je tiens à mes congénères, hein, que penser que tout ça aurait pu m'arriver à moi... Une fois le fourgon de police à sec, j'ai volé, encore et encore, et j'ai compris que continuer à prendre des véhicules à leurs propriétaires ne servirait à rien à part me faire tuer par eux ou par les contaminés qui infestaient très vite les zones de bouchons. J'ai marché, encore et encore. Et j'ai continué à voler. Et à tuer. Et lorsque j'ai rencontré ce groupe qui marchait vers le nord, je les ai rejoints. Pour l'instant, je me tais et je fais ma part... Mais je ne compte pas forcément rester très longtemps.
On court, tous, et aussi vite qu'on peut. Derrière nous, les hurlements des sirènes de police se multiplient. On se sépare ; Tom part à droite avec Adam. Ed et Bruce me suivent au pas de course. Nos vêtements noirs nous fondent dans le décor, mais même ainsi... L'urbanisation fait en sorte d'éclairer la nuit comme en plein jour. Je crois me rappeler de mon professeur d'histoire, qui m'expliquait il y avait une vie de ça que l'on pensait il y a plus d'un siècle que l'avénement de l'électricité et de l'éclairage public allait finir par avoir raison de la criminalité, en ôtant leur principale alliée aux délinquants de tous poils ; l'obscurité. Le progrés était une illusion ; la nature humaine restait maîtresse de l'adaptabilité... Il n'empêche qu'avec un peu moins de lampadaires, nos chances seraient bien meilleures. Une voiture de police manque de nous renverser en dérapant sur la chaussée alors qu'on débouche sur l'avenue derrière la banque ; on l'évite et on coure plus loin, entendant portières et appels à la reddition derrière nous. On continue de courir, et mes poumons me brûlent. Je suis Bruce qui s'engouffre dans une ruelle, beaucoup plus sombre que les autres, et haletants, nous pensons avoir une chance, une toute petite chance, de rejoindre le véhicule de secours. Mais une ombre sort des ténèbres, happe le bras de Bruce et l'attire sur le côté. L'instant d'après, un hurlement à vous déchirer le sang retentit. Je vois la chose qui mord mon amant dans le creux du coude, déchiquetant sa veste de cuir et souillant son propre visage de sang.
Les flics arrivent, et matraquent tout le monde sans discrimination avant de nous jeter à l'arrière de leur voiture. Je suis séparée des autres, mais pas de Bruce qui se tient le bras, fébrile. Ma lèvre est fendue, et du sang coule de mon arcade ouverte. Là, on est grave dans la merde. Je me rends compte au fil des secondes qui passent, que mon cœur bat un rythme d'enfer, et que je suis terrorisée. Pas par la perspective d'une vie derrière les barreaux, pas même pour l'homme à mes côtés, blessé, qui partage mes nuits. Pour moi. A cause de cette chose qui s'est jetée sur lui. J'ai vraiment peur pour la première fois depuis longtemps.
…...
Mes parents sont morts dans un accident de la route il y a plus de vingt ans. Je n'en garde très peu de souvenirs ; papa avait beaucoup bu en revenant de chez mon oncle, et il s'était fort disputé avec maman qui voulait prendre le volant à sa place. Je me rappelle sa voix douce et ses paroles rassurantes, alors que je n'étais pas franchement emballée pour rentrer de nuit par la route de la vieille forêt avec papa qui avait trop bu. Elle retire sa ceinture pendant qu'il jure au volant, maudissant les foutus arbres et la foutue brume. Maman qui lui souffle de se calmer, qu'on va tous bientôt se coucher. Elle se tourne vers moi pour me sourire. Et la voiture percute un tronc, éclairé par les pleins phares de la voiture. Black Out. Je me réveille cinq jours après à l'hopital, branchée de partout. Des gens qui pleurent à mon chevet. Mon oncle, que je n'ai jamais vu aussi bouleversé. Il me faut du temps pour réapprendre à marcher ; la tôle de la voiture s'étant enfoncée dans mon flanc après le choc. Une énorme masse de tissus cicatriciels me barre le dessous des côtes. Oncle Patrick s'occupe de moi à partir de ce jour là, mais plus rien ne sera jamais comme avant. Papa et maman sont morts dans l'accident ; ils sont déjà enterrés quand je suis en état de quitter mon lit d'hopital.
Il me faut des semaines pour parler à nouveau. Des mois pour marcher. Je n'ai jamais oublié la seconde de panique quand l'arbre surgit droit devant nous, alors que papa loupe un virage à toute allure. Je me réveille parfois la nuit. Pourtant, je m'endurcis. Trop. Tonton Patrick, c'est un doux avec moi. Mais une vraie canaille dans la vraie vie. Il vit en ermite au milieu de la forêt, à des kilomètres de la ville. Il a plein d'armes, une grosse moto, et il ne jure que par le FLQ de mes grands pères. Il n'arrête pas de penser au passé, comme mon père dit il toujours. Le Québec, notre langue, « Je me souviens » dit il toujours non sans fierté. Je ne crois pas en sa cause, je ne crois pas au passé. Moi aussi, je m'encanaille. Je rentre tard, avec des mauvais garçons, et je ne garde pas longtemps ma virginité. Je découvre très tôt l'alcool, la drogue aussi, mais une mauvaise expérience porte ma préférence sur la bouteille. Comme mon oncle, comme mon père. On dit de nous en ville que nous sommes de la mauvaise graine, des anarchistes alcoolos. Je m'habille de cuir, je m'achète une moto. J'apprends à utiliser les flingues de Patrick. Je commence par goût de l'aventure à fréquenter des garçons moins fainéants mais de plus mauvaise fréquentation encore.
Je braque mon premier fourgon a 18 ans, et ne sors de prison qu'à 21.
…..
| Gardien ! Un médecin, vite! |
Bruce convulse sur le sol de la cellule voisine, et je tape contre les barreaux pour appeler quelqu'un. On est en surnombre dans la première cellule, on est une bonne dizaine dans quelques mètres carrés seulement. Dans la sienne, c'est pareil. Personne ne répond. Les flics sont partis les uns après les autres, en panique. Il nous semble entendre par dessus le brouhaha et les cris des détenus, les sirènes d'alarme des pompiers à côté de ce bâtiment qui hurlent dans la nuit. Personne ne sait ce qu'il se passe. Un ivrogne qui a vomi ses tripes y'a une heure sur la paillasse dit que c'est la fin du monde, que l'épidémie de Rage Africaine touche Chicago et le reste des USA. Personne ne l'écoute, tout le monde a peur. Je pousse un juron quand Bruce se cogne contre le mur, et s'entaille le front. Le sang coule sur son beau visage. Je m'accroupis à côté de lui, et prend son visage entre mes mains passées au travers des barreaux. J'entends un grognement qu'exhalent ses lèvres.
Et un cri.
Je me retourne. Un homme tatoué de la tête aux pieds, le visage blême et le regard mort est en train de se jeter sur l'ivrogne, et le mord férocement en pleine gorge. Le sang gicle dans la pièce et nous asperge tous. Les prisonniers, pour la plupart des gros bras et autres gangers, se ruent à l'opposé de la cellule en hurlant de terreur et en appelant à l'aide. L'ivrogne s'effrondre dans les bras de son agresseur, qui mastique bruyamment sa trachée. Le regard sans âme se pose vers moi. L'horreur vient de commencer.
…..
J'ai vécu pendant plus de six ans en liberté, sans jamais me refaire prendre. Pourtant je ne me suis jamais rangée, bien au contraire. J'ai juste été plus prudente, plus intelligente. J'ai arrêté de faire semblant de me sentir apparentée à un groupe, à une équipe, à un gang. Je travaille en solo et on me recrute ; les serrures n'ont que peu de secrets pour moi. Le genre de trucs qui passait pour un hobby chez l'oncle Pat'.. Qui est mort, d'ailleurs. Descendu par un mec dans un bar, dans le Maine. J'enchaîne les aventures d'un soir, je n'ai pas de logement fixe ni de compte en banque. Mon argent se trouve dans mon blouson, mon équipement dans mon sac de voyages que je fixe à l'arrière de ma moto. J'enchaîne les contrats. Banques, fourgons. Je réussis quelques beaux coups. Je suis amenée à tuer, quelques fois. Je l'avais déjà fait, une fois en prison. Je recommence. Un flic qui me tire dessus ; je le tue presque sans le vouloir, essayant de le désarmer. Et un ancien collègue trop gourmand, qui a voulu ma part et mon cul après le contrat. Je finis par rencontrer une équipe que j'estime, mais j'évite de m'attacher. Tous ceux que j'ai jamais connu sont morts ou en prison, et je me suis tellement blindée avec le temps et avec l'expérience carcérale que je ne ressens plus énormément d'attachement envers qui et quoi que ce soit. Je suis avant tout dévouée à ma propre existence, et mes quelques relations plus ou moins sérieuses n'y changent pas grand chose. Même si avec Bruce, c'est un peu différent
…...
[i]Les mecs attaqués et tués se relèvent et nous attaquent. On se défend avec les pieds, avec les mains. Bruce est revenu à lui, blême et couvert de transpiration, mais il aide ses co détenusà maintenir les enragés à distance. Mais rien n'y fait. On tombe comme des mouches. Les sirènes hurlent toujours, dehors. Et loin au dessus de nous, ce qui ressemble à des hurlements et des coups de feu mais on le note à peine. Ils sont trois contaminés par la Rage, maintenant. Ceux qui ont été mordus et tués par le premier se sont relevés et nous attaquent. Deux d'entre nous ont également été mordus, mais continuent à se battre. Il ne reste plus qu'à prier pour un miracle, car lentement mais sûrement nous sommes submergés et contaminés les uns après les autres. L'odeur du sang et de la merde se fait plus forte, les autres cellules sont elles aussi la proie de luttes sans merci. Plusieurs personnes infectées se trouvaient de toute évidence parmi les détenus. Un autre s'effondre, le plus costaud des afro-américains qui se trouvait avec nous. Il tombe en sang, et c'est comme le signal de la curée. Les enragés submergent et font tomber les autres comme des mouches. J'en fais tomber un à la renverse, mais ils avancent vers moi. Je suis dos aux barreaux, bloquée ! Je suis bloquée !
C'est alors que la porte du bloc s'ouvre sur un flic en sueur et couvert de sang. Le type passe son badge devant un boitier à côté de la serrure de la cellule et déverouille la porte. En criant alors que des mains et es mâchoires se referment là où je me trouvais l'instant d'avant, je bondis hors de la cellule et tombe par terre. Le flic est aussitôt assailli ; il a le temps de tirer une balle à bout portant d'un de ces monstres en pleine poitrine sans aucun effet avant d'être renversé et mordu à de multiples reprises. Dans la cellule d'a côé, Bruce hurle mon nom, m'appelle à l'aide. Je lui jette un regard, et mes yeux se posent ensuite sur les enragés qui dévorent le flic, et qui choisissent ce moment pour me dévisager d'un air morne avant de se remettre en route, lentement, mécaniquement, vers moi. Je me relève et coure vers la sortie, laissant loin derrière moi les hurlements et les appels à l'aide de mon compagnon.
…...
S'échapper du bloc de détention, du commissariat, de Chicago même, a été un véritable enfer. Heureusement, je suis naturellement douée pour m'évader de l'enfer. J'évite les combats, les civils et les contaminés. J'évite comme la peste les autorités. Je ne comprendspas vraiment ce qu'il arrive ; la ville est en flammes, des tirs résonnent partout. Il me faut des jours pour la quitter. Le nord. Aller vers le nord. Tous les réfugiés n'ont que ça à la bouche. Je suis une survivante dans l'âme, depuis l'enfance. Je ferais ce qu'il faudra pour survivre. Alors je me mêle aux colonnes qui montent vers mon pays natal pour survivre, et lorsque le carnage rattrape les rescapés... Je taille ma propre route, jusqu'à tomber sur un petit groupe. Je me montre utile ; je sais entrer et sortir sans me faire voir dans les bâtiments, identifier et prendre tout ce qui peut être utilisé. J'aide à éviter les groupes de zombies, à les combattre s'il le faut. Le groupe aussi, m'est utile. Les gens qui le composent sont déterminés. Je n'ai rien compris à leur histoire, et n'ai pas trop cherché jusque là. Ils me sont utiles aussi et je compte rester tant qu'ils continuent à l'être.
Et pour le moment, je marche.
Spoiler:
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(c) Crédit de l'avatar Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu. Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.Blabla ici. On décrit le lien. On réécrit lorsqu'il s'agit d'un scénario bien entendu.
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Salut moi c'est Torben J'ai 24 ans et je suis passionnée de jeux de rôles, histoire, jeux de figurines et plateau, cinéma, litté...Voici mon avis sur le forum : Je suis une fââââme !Je finirais par vous donner le code du règlement :
Dernière édition par Morgane Beaulieu le Mer 17 Sep - 15:01, édité 1 fois
Invité
Invité
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Ven 12 Sep - 23:24
Même pas je suis surprise du caractère de ta perso... C'est honteux, de rendre Odette Yustman mauvaaaise ! *sort*
Rebienvenue sur ton forum
Invité
Invité
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Ven 12 Sep - 23:25
c'est l'hopital qui se fout de la charité
Invité
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Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Ven 12 Sep - 23:27
Je vois pas du tout de quoi tu parles
Invité
Invité
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Ven 12 Sep - 23:32
Citation :
Sans scrupule, sociopathe
Je sens que le groupe Marche va s'éclater
Rebienvenu alors o/
Invité
Invité
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Ven 12 Sep - 23:32
Oh un jolie DC :D Je plussoie le choix de l'avatar :D
Messages : 5602 Membre du mois : 0 J'ai : 29 ans Je suis incarné(e) par : Bob Morley Crédit(s) : Nono Je suis un(e) : Lucky Luke Mes hauts faits :
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Sam 13 Sep - 9:54
Moi ça m'étonne même plus. Et puis en même temps, il lui fallait un perso comme ça, il y a toujours au moins un sociopathe sur chaque fo, ça équilibre ici *baf*
Rebienvenue sur le forum !
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Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Dim 14 Sep - 20:09
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
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Philippe, mon père, tout ce qu'il me reste.
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Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Mer 17 Sep - 14:57
Me voilà enfin Alors il faudrait juste égaliser le nombre de qualité et de défaut dans la première partie de ta fiche, et je pourrais te valider ! Ta fiche est très bonne et j'ai pris beaucoup de plaisir à la lire
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Mer 17 Sep - 15:02
J'ai ajouté, et j'ai aussi modifié ma sign' pour toi (a)
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Invité
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Jeu 18 Sep - 10:47
Félicitations Morgane Beaulieu
● Points de vie total : 23
● Niveau de compétence Fouille : 0/5
● Niveau de compétence Défense physique : 0/0 (compétence bloquée)
● Niveau de compétence Tir avec Arme à feu : 0/5
● Niveau de compétence soin : 0/5
● Niveau de compétence Arme Blanche : 0/5
● Niveau de compétence Esquive : 1/5
Te voilà validé sur FOM. Je me présente, je m’appelle pas Henri, je voudrais quand même bien réussir ma vie mais surtout… Être détesté ! Vous allez le comprendre, je suis impitoyable mouhahahahahahahaha *ou pas* Arhem, donc dans mon immense bonté, j’ai décidé d’être votre guideenfin c’est que, surtout, j’ai pas eu trop le choix ! On m’a forcé ! Si si je vous jure. Tous les liens ci-dessous sont à visiter Obligatoirement (oui avec un O majuscule en plein milieu de phrase ! C’est vraiment super important de le faire afin de pouvoir bénéficier de toutes les dimensions proposées par et sur le forum. On compte sur vous !Yes YOU CAN ! !
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :
Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Jeu 18 Sep - 13:50
tu as même pas remarqué
Invité
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Sujet: Re: Morgane Beaulieu - The Bright Flash Sam 20 Sep - 10:11
Avant j'étais branchée et habillée à la dernière mode... Mais ça c'était AVANT
Messages : 905 Membre du mois : 0 J'ai : 23 piges déjà ! Le temps ça passe trop vite mon gars ! Je suis incarné(e) par : Marie Avgeropoulos Crédit(s) : (c)Halloween Je suis un(e) : Black Widow. Mes hauts faits :