Fall of Man
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Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent
MessageSujet: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptyLun 18 Aoû - 18:30

Juliette Bourgeois

Feat Sarah Michelle Gellar

Avant tout autre chose, rendons à César ce qui est à César. Mon avatar a été fait par : Kanala

Je suis né(e) le 30/08/1981  à Lyon (France). On me décrit souvent comme étant Entière - calme - Patience - sans compromis - Aimante - Sociable - cachotière - Peureuse. J'ai décidé de me spécialiser dans un domaine. Appelez moi à présent : Black Widow. Entre survivants, on doit se serrer les coudes. Ainsi, je fais partie du groupe Ordre Comme tout le monde, je fais partie d'une famille. Je vous les présente, un peu pèle mèle. Il y a donc: mon fils, Gaby, mon compagnon Phil' et ma belle fille Chloé. Mes frères sont restés en France, ainsi que mes parents. Je prie tous les jours pour qu'ils soient saufs, en vie et en sécurité. Mon groupe de survivants est aussi constitué d'êtres humains. Je vous les présente : il y a donc Phil' un Lucky Luke, Lélé une docteur Queen femme médecin, Gaby un Indiana Jones, Eva une Xena, et Evelyne une Xena également




Comment avez vous réagit, en fin d'année dernière et au début de cette année, quand les rumeurs d'épidémies se multipliaient autour de vous ? Soyons honnête, je n’y ai absolument pas cru. L’état français a cafouillé avec la grippe A, et j’ai parmi de ses français qui sont allés se faire vacciner et qui ont eu plus de problème qu’autre chose. Je me suis retrouvée à l’hôpital pendant plusieurs jours à cause de leur vaccin de merdre. Alors franchement, après une telle expérience, quand des rumeurs sur une épidémie ont commencé à se multiplier, je n’y ai pas cru. J’étais la première à dire à tous que c’était des conneries et qu’il ne fallait pas s’inquiéter. Je ne me doutais absolument pas qu’elles étaient vraies et que nous tomberions dans un chaos total.

Où étiez vous au moment où la Grande Panique a débuté début juillet, et comment y avez vous survécu ? La grande panique… Rien que d’y penser, j’en ai encore des sueurs froides dans le dos. Quand elle s’est déclarée, j’étais à l’aéroport. Nous essayions de trouver un vol pour la France. Cela faisait déjà trois jours que nous attendions dans la salle d’embarquement, y passant autant nos journées que nos nuits. Je commençais à être à bout de nerf et de fatigue. Et puis, Ils ont débarqué. Ces monstres ont débarqué et ont répandu la folie et le carnage autour d’eux. J’ai pas vraiment réagit sur le coup. C’est Philippe qui nous a sorti de là. Il m’a foutu une sorte de barre dans la main qu’il avait trouvé je ne sais pas trop dans les mains, et on s’est mis à s’enfuir. J’ai dû tuer ces choses… Bon sang, j’en ai vomis toutes mes tripes après coups. J’ai dû tuer des êtres vivants pour protéger ma famille et sauver ma peau. Les premières fois, je ne pouvais pas m’empêcher de culpabiliser. A présent… Et bien, j’en ai plus rien à foutre. Je dois protéger les miens, peu importe ce qu’il faut faire pour ça. Passer outre mon aversion et ma peur n’ait pas cher payé pour la sécurité des miens.

Comment êtes vous arrivé à Coaticook et ses environs ? Quel est votre plan de survie, à court terme ? Nous avons marché pendant de nombreux jours. Philippe était à la tête de notre petit groupe de quatre. Les premiers jours furent très durs, et puis, on a pris le pli. Nous nous sommes organisés et nous arrivions à être efficaces. Oh bien sûr, ce n’était pas parfait. On cafouillait quelques fois, souvent au début, moins à présent. On a fait ce qu’il fallait pour survivre, et pour protéger les enfants. Et puis nous avons rencontré sur notre chemin un premier survivant, puis un autre, et plus tard, encore un autre. Ils se sont joints à nous. Bien entendu, lorsque notre groupe a pris de l’importance, Philippe s’est imposé en tant que chef. Il était le plus apte d’entre nous et personne n’a cherché à discuter ce fait. Il commandait et nous exécutions. Et si l’un des survivants n’était pas content, et bien il n’avait qu’à s’en aller. Ou ils suivent les règles, ou ils se débrouillent seuls. C’est notre « devise » en gros, que nous avons tous acceptés implicitement. Et quand ce n’est plus le cas, et bien on est poussé vers la sortie par Philippe bien entendu. C’est déjà arrivé trois fois. Marjorie, John et Eden en avaient assez de suivre sans broncher les ordres de mon compagnon. Alors, ils ont été « remerciés » et ont pris un autre chemin que le notre. On ne les a jamais revu et si vous voulez mon avis, ils n’ont pas du survivre bien longtemps seuls, dans la nature. Bref. On est arrivé à Coaticook en nous rendant vers le Canada. Des rumeurs nous sont parvenues sur un possible refuge là bas, alors cette ville est devenue l’une de nos étapes. Nous nous y sommes installés le temps de reprendre un peu notre souffle et de renforcer notre groupe. Marcher et combattre ces monstres a épuisé beaucoup de nos forces et de nos ressources. Alors pour pouvoir continuer notre route plus vers le nord, il était impératif que nous nous arrêtions ici





Si je devais faire le bilan de ma vie ? Je ne sais pas vraiment ce que vous attendez que je vous dise. Je suis une petite princesse qui a toujours vécu  dans un conte de fée. D’ailleurs, je suis vraiment une princesse. J’ai une couronne et je dirige un royaume. Je chevauche des dragons et j’ai de beaux chevaliers sous mes ordres.  Quand j’étais petite, une vilaine sorcière m’a jeté un sort. Mais heureusement, le baiser d’un prince m’a sauvé. C’était un baiser d’amour véritable comme il n’en existe qu’un seul dans notre vie. Depuis, nous régnons sur notre royaume, dans une paix incassable. Nous avons quinze enfants, et j’ai seulement vingt et un ans.

Ou pas. Mon histoire n’est pas vraiment de celle que l’on raconte pour bercer les petites filles le soir. Pour autant, je n’aimerais pas la changer. Après tout, c’est elle qui a construit celle que je suis aujourd’hui. Si ma vie actuelle n’est pas un conte de fée, elle aurait pu être plus tragique. Je m’en suis sortie et je suis plus ou moins heureuse. Plus que moins… Quoi que. Enfin, commençons par le début. Alors, il était une fois…

Des cris poussés par un nouveau-né, dans un hôpital de Lyon. Je n’étais pas la toute première à rejoindre les Bourgeois. Mes parents avaient déjà eu le temps de faire deux fils avant ma venue : Antoine, de huit ans mon ainé, et Mickaël, qui avait bien entamé sa cinquième année le jour où je l’ai rencontré pour la première fois. Ma mère, ce n’était pas la reine du royaume. Non c’était tout simplement une assistante sociale, qu’on décrivait comme étant douce, prévenante et patiente. Si elle était quelque fois collante, je ne lui ai jamais trouvé de défaut. Ma mère est un modèle, cette femme que j’ai toujours rêvé d’être, même si je n’ai pas l’impression de lui arriver à la cheville. Je l’aime extrêmement comme vous vous en doutez.  Mon père… C’est différent, mais je l’aime tout autant, voir peut-être un peu plus ? Allez savoir. Il tenait un bar dans lequel nous avons souvent joués mes frères et moi. Nous en étions les mascottes en quelque sorte, même s’il devait souvent nous remettre sur les rails. Nous étions heureux tous les cinq. Nous vivions dans une petite maison avec un jardin, mes deux frères partageant la même chambre, et moi ayant le luxe d’avoir mon propre antre – après tout j’étais une fille ! – chambre que j’avais très vite redécoré à mon image. J’ai toujours aimé… Disons laissé courir mes crayons sur les papiers peints au gré de mon imagination. Puis à la pré-adolescence, je laissais tomber mon art qui ne ressemblait à rien pour me tourner vers une autre forme de décoration. S’il y avait à l’origine du rose sur les murs, des princesses et des licornes en fresque – que j’avais détourné sur bien des aspects –, elles finirent par être recouvertes de poster en tout genre. Non, pas de boysbands… Enfin il y un peu... Qui n’a jamais eu de poster de beaux mecs à moitié à poil sur ses murs ?  Mais ce n’est pas le sujet ici. Mes rares affiches de stars se heurtaient à des affiches de postures art-martiaux, et de portraits asiatiques. La faute au frère de ma mère, Franck, comme elle le soupirait régulièrement, alias « Parrain ». Je ne le voyais pas souvent, - enfin, un week-end tous les mois quoi –  mais il m’avait transmis sa passion pour les arts martiaux, et plus précisément pour l’Aïkido.

Dès que je fus en âge de le pratiquer, mes parents n’eurent pas vraiment le choix que d’accepter que leur fille unique mord plus d’une fois un tatami, plutôt que de passer son temps libre à coiffer des poneys et imaginer une superbe fin à l’histoire « Ken&Barbie à la mer ». Cette passion dévorante que j’avais à l’époque explique sans mal le métier que je pratique aujourd’hui. Pour autant, je n’étais pas devenue un « garçon manqué ». J’avais des amies filles comme toutes les autres de mon âge, j’adorais passer des soirées pyjamas à piquer les vêtements et le maquillage de nos mères et je trouvais que les mecs étaient tous des connards et des pervers. Bref, une adolescence normale quoi. Ma pauvre maman… A présent  je me rends bien compte de la patience dont elle avait pu faire preuve... Et du budget que je pouvais lui couter aussi. Quand je repense à tous ce qu’elle finissait par m’accepter lorsque je faisais mine de me mettre à pleurer. Oui vraiment, j’abusais de sa gentillesse même si bon, j’étais pas non plus une trop sale gosse donc ça allait. Et puis c’était pas pire qu’Antoine qu’empruntait la voiture et qui faisait jamais un plein d’essence en la rendant, ni même Mickaël qui s’était mis en tête de jouer dans un groupe de rock, en tant que chanteur et guitariste. Juliette la capricieuse, Antoine l’inconscient et Mickaël le casseur d’oreille.  Et pourtant mes parents étaient heureux et fiers de leurs gamins… Comme je les comprends à présent. Mais chaque chose en son temps, continuons donc cette fameuse histoire.


D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours adoré être au centre des attentions de tout le monde : de mes parents, de mes grands-frères, de mes camarades, de mes professeurs, et de toutes les personnes entrant en interaction avec ces premiers. Je me donnais beaucoup de mal pour ça. Et c’est ainsi que j’ai rencontré Lucas. Ma plus belle et mauvaise fréquentation. J’ai tout de suite eut un coup de cœur pour lui. Grand brun ténébreux aux yeux bleu… Bon ok, il était blond, de taille moyenne, les yeux noisette… Mais chuuut ça faut pas le dire. Bref. C’était le frère d’un ami à Mickaël, beaucoup plus âgé que moi donc. Enfin, pas aussi « vieux » que ça, mais à l’époque, je n’avais que 14ans et lui 19ans. Autant vous dire que cette différence d’âge donnait l’impression d’être très importante. Pourtant, elle ne dérangeait ni lui ni moi. Cela ne fut clairement pas  du goût de mes parents, ni même à mes proches. Que je sorte avec un garçon de mon âge ouais, pourquoi pas, même si ça faisait grincer les dents à mon père et mes frères. Mais là, cela ne leur paraissait pas concevable ni convenable.

Officiellement cela ne dura qu’un mois. Officieusement, nous étions toujours ensembles. Sans vraiment d’étonnement il fut mon premier, même si j’étais loin d’être la première à partager sa couche. Il ne s’agissait pas d’une histoire basée sur du sexe non. Il avait attendu que je me sente prête pour cela. Je peux affirmer sans me tromper que nous nous aimions. En tout cas c’était ce que nous pensions à l’époque. On se disait que, vraiment, nous étions fait l’un pour l’autre. Le fait que je tombe par accident enceinte deux ans plus tard ne fit que me conforter dans cette idée. Il aurait pu exiger que j’avorte, me tourner le dos, me renier, s’en aller sans un seul regard derrière lui. Mais non. Il fut heureux, alors que je flippais énormément de mon côté. Encore une fois, il ne me força la main en rien, me laissant le temps dont j’avais besoin, et acceptant que j’en parle à mes parents. On les affronta à deux, et lui essuya les regards haineux de mon père sans broncher, et un pain dans la figure Et de Mickaël, Et de Antoine. Si pour ceux qui m’avaient mis au jour, il n’était pas question que je devienne mère aussi jeune, je décidais de ne pas les écouter. Par esprit de contradiction, je me mis que j’en étais capable. Juste pour leur prouver qu’ils avaient torts. Alala les ados, je vous jure... C’est bête hein, ce que l’on est prêt à faire juste pour prouver le contraire à ses parents. Certains fument, d’autres boivent ou se droguent… Moi je décidais d’aller au bout de ma grossesse, les forçant, par amour pour moi, à accepter ma décision.

Ils finirent par le faire bien entendu, ils l’avaient toujours fait après tout, même s’ils m’apposèrent une condition : celle de finir mon secondaire et d’obtenir mon baccalauréat. Ils pourvurent à beaucoup de nos besoins, nous aidant du mieux qu’ils le pouvaient, en payant quelques pleins de courses, ou l’électricité. Contrairement aux parents de Lucas, ils ne nous mirent pas à la porte, mais s’arrangèrent pour nous louer un appartement dans lequel nous vivrons tous les deux avec Gabriel.  Il n’était pas question que je reste chez eux. J’allais devenir mère et je devais assumer ce rôle. Ca m’avait fait flipper sur le coup, mais au fond, en faisant le bilan, je me rends compte que  je ne pourrais jamais leur rendre tout ce qu’ils ont pu me donner, jamais, même si je ne peux que les comprendre. Ne ferais-je pas tout pour Gabriel ? La question ne se pose même pas.


J’ai obtenu mon bac comme la plupart des jeunes de mon âge, même si mes notes ne furent pas les plus brillantes qui soient. Dix virgule zéro deux. Très très juste, mais je l’avais quand même. Concilier une vie de couple, de mère et d’étudiante, ce n’était pas du tout ce qui était le plus simple. Et surtout les choses avec Lucas allaient de moins en moins bien. Lui n’arrivait pas à trouver de travail, alors que de mon côté, je me décidais de profiter du fait qu’il puisse s’occuper de Gaby pour poursuivre mon projet professionnel. Je me consacrais de plus en plus à la compétition d’Aïkido, brillant et avançant alors que lui n’arrivait pas à obtenir de résultats. C’est cette frustration qui finit par avoir raison de lui. Il se réconforta dans l’alcool, et les soirs où il était trop ivre pour vraiment se rendre compte de ses actions, il s’en prenait physiquement à moi. N’est-ce pas ironique ? J’avais beau être une bonne combattante sur un tatami, je n’arrivais pas à faire face à celui qui partageait ma vie. Foutus sentiments d’amour qui m’éloignèrent des miens et de moi-même. Je me renfermais à chaque coup que je prenais, finissant par tout laisser tomber d’ailleurs. Je ne parlais plus à ma famille, et mes meilleurs amis étaient composés de membre du corps médical de l’hôpital qui remettait en place chaque partie de moi que Lucas déplaçait par colère certains soirs. Je l’ai caché à tout le monde, et personne n’aurait pu deviner le cauchemar que je vivais. Il m’arrivait quelques fois de me dire que je le méritais et que c’était ma faute. J’étais vraiment tombée bien bas. Je n’arrivais pas à le quitter. Il avait besoin de moi, il était désespérer, et je croyais encore et encore à ses promesses. Cela dura un peu plus de cinq ans. Cinq longues années avant que je ne finisse par reprendre ma vie en main. Mon déclencheur ? Mon fils bien évidemment. Il s’en prit une fois à lui, mais cela suffit. Une claque dans un excès de colère, une minuscule claque comparé aux poings que je rencontrais régulièrement me fit le quitter. Tout mais pas Gabriel. Moi, mais pas mon enfant, ma vie, mon rayon de soleil.  Le lendemain, j’avais fait nos valides et le temps qu’il s’en rende compte, nous étions déjà dans le train. Rien n’aurait pu me retenir. Pas cette fois-ci.

J’ai trouvé refuge, non pas chez mes parents, ni même chez mes frères, mais chez mon parrain. Je revois encore son visage lorsque je m’étais pointée devant sa porte, en lui demandant si je pouvais rester quelques jours chez lui avec Gabriel, le temps de trouver une solution. En rentrant, il m’avait demandé d’enlever mes lunettes de soleil et d’écarter mes cheveux que je gardais bien devant mon visage. Lui si calme et tempéré… Ce fut la seule fois où je le vis en colère et je peux vous garantir que cela fut des plus terrifiants. Il était autant en colère contre Lucas qu’envers moi qui m’était enfermée dans un profond mutisme. Pas besoin que je lui raconte ce qui se passait. Mes bleus parlaient d’eux même. Il m’accueillit chez lui, me forçant à reprendre l’aïkido que j’avais abandonné, devenu synonyme de mon échec amoureux. Je me reconstruisais et me retrouvais sous ses attentions et son amour très paternaliste.

Il m’obligea à renouer avec les parents, et mes frères et à porter plainte contre ce compagnon que je ne revis plus jamais. Je le soupçonne d’être allé le menacer en personne pour qu’il cesse de m’appeler et d’essayer de me retrouver. C’était le mieux pour tout le monde, même si j’avais des remords à priver mon fils de son père. Cependant je me raisonnais en voyant mon parrain avec mon fils, ainsi que mes frères. Ils prirent part entière à son éducation, n’hésitant pas à passer de nombreux week-end à s’en occuper, et des vacances à prendre la route en sa compagnie. Non, à bien y réfléchir, Gaby n’a jamais manqué de figure paternelle, même si rien ne peut remplacer un père. Mais il avait la chance d’avoir deux supers oncles gâteux et gâteaux et un grand oncle qui le considérait comme le petit-fils qu’il n’avait jamais eu.  Sans compter que mes parents venaient nous voir une fois par mois, et qu’ils en profitaient pour gâter leur petit fils.


Je n’ai jamais plus quitté Tarbes. Et cette nouvelle demeure est toujours rester un foyer réconfortant pour moi. Je n’ai pas déménagé dans une autre ville, et si j’ai pu m’en éloigner quelques temps, j’ai fini par y revenir. Mon parrain… Je l’ai perdu et sa perde est toujours douloureuse. Il n’a laissé personne derrière lui et m’a tout légué. J’ai hérité de nombreux biens, y compris le Dojo qu’il avait acheté et dans lequel je travaillais, et donnais des cours. Me retrouver seul avec mon fils, de nouveau, ne fut pas facile, mais je relevais rapidement la tête, en sa mémoire. Il aurait voulu que je continue à avancer et non pas que je me morfonde. Et puis, j’avais mes fabuleux deux grands frères qui étaient toujours là pour moi. Quand bien même ils étaient mariés et avaient eux-mêmes leurs propres enfants, ils prenaient toujours le temps de nous voir et de s’occuper et de Gaby et de moi. J’avais vraiment énormément de chances de les avoir. Ma famille est finalement ce que j’avais de plus précieux au monde et ils me manquent à un point que vous n’imaginez pas. Mais continuons mon histoire.

J’ai eu de nombreuses relations, mais elles n’ont jamais menés à grand-chose. Une jeune femme, mère de famille, qui ne parle jamais d’elle-même, qui ne fait pas confiance, qui refuse qu’on rencontre son enfant, cela met des barrières incontournables. Le problème venait de moi, j’en avais bien consciente. Je faisais un blocage dès qu’il s’agissait d’entrer réellement dans ma vie. Et comment avancer avec quelqu’un de complètement secret, qui voit le mal partout ? C’est impossible. Alors mes relations ne dépassaient pas les six mois. Je ne me rendais pas compte du mal que cela pouvait aussi me faire et ce à quoi je me fermais. Je l’ai découvert avec Philippe et c’est pour cela que j’ai accepté de lui donner une seconde chance. Il est vraiment arrivé dans ma vie de manière impromptue, alors même que je ne l’attendais pas du tout. J’ai aidé, à un moment donné sa fille à aller mieux et à remonter la pente. Et lui m’a aidé à faire face à mes vieux démons lorsqu’ils ont refait surface.

Nous sommes devenus amis et confidents avant finalement de devenir un couple. Je le revois encore arriver d’un pas vif, juste après que je me sois fait agresser, lors d’un car-jacking. Je le revois encore venir frapper à ma porte, pour me proposer un café, et être là, sans poser de questions. Il me tenait juste compagnie, me parlant de tout et de rien, ne me jugeant pas finalement. Je sais pas s’il avait fait à l’époque une recherche sur moi ou s’il avait simplement compris derrières mon masque toutes les blessures que je trainais. Allez savoir. Tout ce que je sais, c’est qu’à partir de là, nous avons commencé à nous voir de temps en temps, autour d’un café dans un bistro, en allant au cinéma ou au restaurant, sans autre objectif que celui de partager du temps avec quelqu’un qui nous écoutait. Et inversement. Finalement, je ne lui ai parlé de moi que bien après que nous ayons commencé à nous fréquenter, lui dévoilant des choses qu’il savait déjà, qu’il avait déjà deviné. Nous n’attendions rien de l’autre et c’est pour ça que finalement entre nous, cela a collé. Il arrivait à percevoir mon passé derrière mes réactions, sans que je mette vraiment des mots dessus. Après deux ans de relation, j’emménageais chez lui avec Gabriel. Nous avions pris notre temps, pour nos enfants respectifs et pour nous même. Je gardais l’appartement de mon parrain, même si plus personne n’y habitait. Notre idée était de le proposer à sa fille ou mon fils lorsqu’ils auraient l’envie de voler de ses propres ailes. Je ne pensais pas le considérer de nouveau comme mon foyer principal.

Nous avons eu une belle relation, très épanouissante et même si j’en souffre à présent, je ne regrette rien. Nous envisagions même avoir peut-être un enfant l’un avec l’autre, et nous marier. Je nageais en plein bonheur et je me voyais de nouveau me construire avec quelqu’un d’autre durablement. Philippe était celui avec qui j’avais envie de vieillir. Alors tout n’était pas toujours tout beau tout rose, mais on s’aimait, on se respectait et on s’écoutait. Nous n’avions pas besoin de plus. Enfin c’était ce que je pensais, mais encore une fois, le « prince » de ma vie a montré un visage que je ne lui connaissais pas. Vous l’avez compris, tout a fini par tomber à l’eau. J’interprète cet échec comme une peur de la part de Philippe face à nos projets, même si ce fut inconscient. Tout a éclaté peu de temps après que son ex-femme soit venue lui rendre visite. J’apprenais plusieurs semaines de la bouche de mon fils qu’ils s’étaient embrassés. J’en ai énormément voulu à mon compagnon. Non pas pour le geste en lui-même, mais surtout à cause de ses cachoteries et de sa malhonnêteté. Je nous pensais plus proches et plus forts que ça. J’aurais pu lui pardonner une faiblesse passagère. Mais pas qu’il m’ait menti, par omission ou consciemment. J’avais besoin de lui faire confiance et ce n’était plus possible après ça. Bon sang, il a laissé mon fils me l’apprendre ! Vous voyez le tableau que c’est ?

Alors avec Gaby, nous avons fait nos valises et nous sommes partis. J’ai refusé de parler à Philippe pendant deux bons mois avant de céder aux demandes de sa fille et aux appels incessants de l’homme. S’il m’a expliqué le pourquoi du comment, il avait quand même perdu ma confiance. Et sans confiance, je ne me voyais plus continuer avec lui. J’acceptais de lui donner une seconde chance, mais sans grand espoir. J’en suis devenue méfiante voir parano, et je n’aime pas cela. Je n’ai pas réaménagé chez lui. Si nous sortons de nouveau ensembles, cela ne colle plus. Je n’y arrive pas. C’est humain, je me protège car notre séparation m’a fait énormément de mal. L’histoire de Lucas n’était finalement pas aussi loin que ça dans ma tête et je craignais qu’il me refasse souffrir. Cette méfiance a détruit notre couple à petit feu. Nous nous prenions de plus en plus la tête jusqu’à ce que je finisse par baisser les bras et me dire que nous étions arrivés dans un cul de sac. Je pense qu’il l’a senti car avant même que je lui annonce qu’il serait plus sage de nous arrêter là, il m’a contrecarré. Un voyage tous les quatre, en famille. J’ai hésité, mais je ne sais pas, quelque chose m’a poussé à accepter. Son regard, son ton… Lui aussi souffrait de cette situation, je le voyais bien. Il avait eu l’air si… Désemparé, si désespéré même.  Alors j’ai dit oui et quelques semaines plus tard, nous nous sommes envolés pour un road trip aux Etats-Unis. Ce voyage devait être une sorte de lune de miel, un moyen de vraiment recoller les morceaux brisés. Nous étions loin de nous doutiez qu’il virerait en véritable cauchemar…


Quand des rumeurs sur une épidémie ont commencé à se multiplier, en début d’année, je n’y avais pas cru. J’étais la première à dire à tous que c’était des conneries et qu’il ne fallait pas s’inquiéter. Je ne me doutais absolument pas qu’elles étaient vraies et que nous tomberions dans un chaos total. Sinon, nous ne serions jamais allés à l’étranger. Je serais restée chez moi, auprès des miens. Quand la grande panique se déclara, j’étais à l’aéroport. Nous essayions de trouver un vol pour la France. Nous avions eu un mémo de l’ambassade française demandant à tous leurs ressortissants de revenir au plus tôt. Mais nous n’en neumes pas vraiment l’occasion. Nous avions passé trois jours  dans la salle d’embarquement, y passant autant nos journées que nos nuits. Nous espérions vraiment être sur le premier vol de retour, mais il ne décolla jamais. Nous attendions, mort de fatigue quand ces monstres ont débarqué et ont répandu la folie et le carnage autour d’eux. Je l’avoue, je n’ai pas vraiment réagit sur le coup. C’est Philippe qui nous a sorti de là. Il m’a foutu une sorte de barre dans la main qu’il avait trouvé je ne sais pas trop, et on s’est mis à s’enfuir. J’ai dû tuer ces choses… Bon sang, j’en ai vomis toutes mes tripes après coups. J’ai dû tuer des êtres vivants pour protéger ma famille et sauver ma peau. Les premières fois, je ne pouvais pas m’empêcher de culpabiliser. J’avais beau me dire qu’ils n’étaient plus humains, ça ne changeait rien. J’étais passée de l’autre côté de la frontière et je ne faisais plus parti de ces gens biens. Oui, je l’avais fait pour une bonne cause, et comme me l’avait répété Philippe, ce n’était que de la légitime défense. Mais je restais quand même une meurtrière, qui avait les mains très sales. A présent… Et bien, j’en ai plus rien à foutre. Je dois protéger les miens, peu importe ce qu’il faut faire pour ça. Passer outre mon aversion et ma peur n’ait pas cher payé pour la sécurité des miens. Quelques fois, je me réveille le matin, et j’imagine que tout ce que j’ai vécu, que tous ces zombies, que toute cette folie n’était qu’un mauvais cauchemar, que j’avais juste rêvé d’un des jeux vidéo de mon fils. Mais la réalité nous rattrape toujours.

Ensuite ? Et bien, nous avons marché pendant de nombreux jours, et de nombreuses semaines. Je ne compte plus tous les kilomètres que nous avons parcourus, toutes les maisons que nous avons pillés, et tous les zombies que nous avons tués. Philippe a toujours été à la tête de notre petit groupe de quatre. Les premiers jours furent très durs, et puis, on a pris le pli. Nous nous sommes organisés et nous arrivions à être efficaces. Oh bien sûr, ce n’était pas parfait. On cafouillait quelques fois, souvent au début, beaucoup moins à présent. On a fait ce qu’il fallait pour survivre, et pour protéger les enfants. Et puis nous avons rencontré sur notre chemin un premier survivant, puis un autre, et plus tard, encore un autre. Ils se sont joints à nous. Bien entendu, lorsque notre groupe a pris de l’importance, Philippe s’est imposé en tant que chef. Il était le plus apte d’entre nous et personne n’a cherché à discuter ce fait. Il commandait et nous exécutions. Et si l’un des survivants n’était pas content, et bien il n’avait qu’à s’en aller. Ou ils suivent les règles, ou ils se débrouillent seuls. C’est notre « devise » en gros, que nous avons tous acceptés implicitement. Et quand ce n’est plus le cas, et bien on est poussé vers la sortie par Philippe bien entendu. C’est déjà arrivé trois fois. Marjorie, John et Eden en avaient assez de suivre sans broncher les ordres de mon compagnon. Alors, ils ont été « remerciés » et ont pris un autre chemin que le notre. On ne les a jamais revu et si vous voulez mon avis, ils n’ont pas du survivre bien longtemps seuls, dans la nature. Bref. On a fini par arriver à Coaticook en nous rendant vers le Canada. Des rumeurs nous sont parvenues sur un possible refuge là bas, alors cette ville est devenue l’une de nos étapes. Nous nous y sommes installés le temps de reprendre un peu notre souffle et de renforcer notre groupe. Marcher et combattre ces monstres a épuisé beaucoup de nos forces et de nos ressources. Alors pour pouvoir continuer notre route plus vers le nord, il était impératif que nous nous arrêtions ici.






Gabriel Lacroix

(c) Mind Gaby est toute ma vie. Et je pèse mes mots. Il est mon unique enfant, et je l’aime plus que tout au monde. Nous sommes très proches et je n’aurais pu supporter qu’on ne le soit pas. Il est ma fierté, mon enfant, et il me remplit de joie. J’ai peur de le perdre, peur de ne pas être capable de le protéger, peur de ne pas être la mère qu’il mérite d’avoir. Je me remets souvent en question vis-à-vis lui, et j’essaye de lui donner le meilleur de moi-même. L’idée qu’il puisse m’en vouloir me ronge. Je sais que mon refus catégorique de parler de ma séparation avec son père le ronge. Tout comme ma relation avec Philippe. Le voir en conflit avec lui me tranche le cœur, d’autant plus que j’ai de plus en plus de mal à pacifier leur relation. J’ai tellement peur pour lui…




Phillipe Esclavier

(c) CréditEntre Phil’ et moi c’est… Compliqué. Je n’y arrive plus. J’essaye, mais… c’est plus fort que moi. Il m’a blessé et je n’arrive pas à lui pardonner. Je l’aime oui, plus que de raison et c’est pour ça que c’est si douloureux. Je lui ai ouvert mon cœur, mon passé, ma vie, mon âme. Et il a tout piétiné, tout balayé d’un revers de main. Je sais que je ne suis pas parfaite, mais j’ai toujours cru qu’à deux, nous pourrions tout surmonter. Ce n’est pas tant pour le baiser que je lui en veux non. Je lui en veux de me l’avoir caché, de ne pas m’en avoir parlé dès que cela s’est produit. Si cela avait si peu d’importance à ses yeux, pourquoi ne me l’a-t-il pas dit ? S’il a pu me cacher cela, que me cache-t-il d’autre ? Je doute, et je n’y arrive plus. Je n’arrive plus à lui faire confiance et ça nous détruit. Je le sens au fond de mes entrailles. Il me cache des choses. S’il n’est pas capable de me faire confiance, s’il n’est pas capable de s’ouvrir à moi totalement, alors nous n’avions plus aucun avenir.



Chloé Esclavier

(c) Barda Je pense ne pas me tromper en affirmant que Chloé – Loé comme je l’appelle – et moi sommes assez proches. C’est une jeune fille adorable, et je l’aime vraiment beaucoup. C’est un peu la fille que je n’ai jamais eu. Je fais tout pour ne être envahissante avec elle, pour ne pas qu’elle est l’impression que je veuille remplacer sa mère. Je ne veux pas prendre la place de Roxane dans son cœur, et je fais tout pour essayer de pacifier sa relation avec elle. Malgré tout ce qu’elle a pu faire à mon couple, je ne veux pas que Loé lui en veuille. Ne suis-je pas une mère après tout ? Je sais qu’elle compte sur moi et j’essaye de tout faire pour ne la décevoir. J’essaye d’être un exemple pour elle, et d’être là, quand elle en a besoin. Loé est vraiment importante pour moi, et je ferais toujours tout pour la protéger et la préserver.



Salut moi c'est Kanala J'ai 25 ans  Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent 3261072431   et je suis passionnée de de musique, de jeux de plateau, de rp, de graphisme, de mon chéri et mon chat  Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent 568796360  Voici mon avis sur le forum : Je ne suis pas objeeeeective ! Impossible Je finirais par vous donner le code du règlement :


Dernière édition par Juliette Bourgeois le Dim 31 Aoû - 21:06, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptyJeu 21 Aoû - 4:09

et alors, la fiche est pas finie? Qu'est ce que c'est que ce bordel, femme Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent 2667491445 ?
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MessageSujet: Re: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptyJeu 21 Aoû - 4:10

Franchement c'est la loose  Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent 31413206 

:D
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MessageSujet: Re: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptyJeu 21 Aoû - 11:00

Je vous défèque et vomis dessus Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent 2155397862
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MessageSujet: Re: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptyJeu 21 Aoû - 11:10

Quelle gentillesse et quelle élégance venant des staffiens... Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent 2667491445
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MessageSujet: Re: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptyJeu 21 Aoû - 13:01

T'as vu Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent 2667491445
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MessageSujet: Re: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptySam 30 Aoû - 13:14

J'ai fini ma fiche, ça y est, enfin What a Face
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MessageSujet: Re: Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent   Juliette Bourgeois ⱷ Depuis, quand le soleil est sombre  Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent EmptyDim 31 Aoû - 10:23

je te valide; mais n'oublies pas tes démarches! (en plus des fautes dont je t'ai parlé, il y a quelques constructions maladroites mais rien de bien méchant!)
Philippe Esclavier

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